Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Hervé Villard Njiélé

Douala:L’un des gardiens de nuit du collège Chevreul interpellé par la police judiciaire.

29 Septembre 2010, 20:30pm

Publié par hervy

 

Celui-ci est accusé de complicité avec les malfrats qui ont cambriolé ce collège il y a deux semaines.

 

 

Robert un des gardiens de nuit du Collège Chevreul est dans les mailles de la police judiciaire depuis quelques jours. Il est accusé d’être de mèche avec les malfrats qui ont cambriolé ce collège privé confessionnel, la nuit du jeudi 9 septembre 2010.  Selon certaines indiscrétions, ce sont les membres de ce gang déférés à la prison centrale de New-Bell depuis quelques jours qui auraient révélé l’information aux enquêteurs. Au collège Chevreuil où le reporter du Messager s’est rendu, le personnel est peu disert sur ce sujet. Tout le monde affirme avoir suivi l’information à la radio. « Depuis qu’il y a eu cambriolage au collège Chevreul, je ne suis au courant de rien, C’est à la radio où à la presse que j’apprends ce qui se passe. Ce sont les sœurs qui peuvent vous entretenir à ce sujet, elles ne nous ont rien dit » affirme Jeannette Mbamba, standardiste dans cet établissement. La sœur Gertrude Bekele, la principale de cet établissement, n’a pas voulu s’étendre sur ce sujet « Je ne parle pas aux journalistes, est ce que je suis obligée de vous répondre ? » A-t-elle déclaré d’un ton menaçant avant de préciser « Je n’ai pas le temps, On m’attends à la gendarmerie.» Probablement pour cette nouvelle interpellation

A titre de rappel, huit malfrats armés d’armes à feu s’étaient introduits par effractions dans l’enceinte du collège Chevreul après avoir tenu en respect les agents de sécurité en service cette nuit là. Ces derniers après avoir fouillé minutieusement les chambres des sœurs qui sont au service de cet établissement, ils ont défoncé les portes de l’économat et emporté une somme de 14 millions de francs Cfa. Alertées, les forces de l’ordre descendues sur les lieux avaient pu neutraliser un des malfrats en fuite en lui tirant une balle dans la jambe Selon nos confrères de mutations, cinq de ses malfrats donc Ondoa Yanick,Franklin Fonkoua, Ernest Djébondé, Jean Mari Tagoua et Sédjé Ngankam avaient été arrêtés par les éléments de la légion de gendarmerie de Bonabéri la nuit du samedi 11 septembre 2010, Après enquête nous rapporte ce journal tous étaient passés aux aveux complets.  Selon des indiscrétions, un autre membre de ce gang a été appréhendé ce week-end par les éléments de la légion de gendarmerie de Bonabéri avec en sa possession, des armes à feu et des munitions.  En attendant que les différents responsables de ce coup de vol soient démasqués, le personnel du collège Chevreul se remet peu à peu de ce drame qui les a tous paralysé.

  

Hervé Villard Njiélé

Voir les commentaires

L’ambassadeur de la République d’Allemagne visite le Messager

29 Septembre 2010, 20:24pm

Publié par hervy

 

Le diplomate est attendu ce jour mercredi 6 octobre  2010 au siège du journal à la rue des écoles à Akwa. Reinhard Buchholz y effectuera une visite de courtoisie et d’échanges à la direction et à la rédaction du journal. Il faut dire que depuis le décès de Pius N Njawe, président de Free Media Group, ils sont nombreux des amis et sympathisants de le Messager qui n’ont eu de cesse de prendre langue avec le personnel pour lui adresser de bien gentils mots d’encouragement à l’endroit d’une équipe pratiquement déboussolée et sans repères dès l’annonce de la disparition tragique de son coach. La visite de l’ambassadeur de la République d’Allemagne au Cameroun au Messager  est d’autant plus attendue qu’elle témoigne de la marque d’estime qu’à ce diplomate pour le Messager.

 H.V.N

 

 

Voir les commentaires

Douala:Une prison à l’hôpital Laquintinie

29 Septembre 2010, 20:12pm

Publié par hervy

Des  femmes y sont séquestrées depuis hier matin selon des sources bien informées. Des indiscrétions fusant sur place à l’hôpital Laquintinie, elles sont nombreuses ces  femmes qui se trouveraient actuellement enfermées dans l’une des salles de ce centre hospitalier.   Mères de nouveaux nés, elles seraient  enfermées pour non paiement des frais d’hospitalisation et d’accouchement.  Là bas, l’on affirme qu’elles n’ont pas le droit de voir leur bébé ni de les nourrir. D’après des informations glanées sur place, ce sont les proches de ces femmes désemparées qui s’occuperaient  de leur progéniture. En attendant bien évidement que la note soit payée.  A l’hôpital Laquintinie, c’est motus bouche cousue. Aucun des responsables n’osant se prononcer sur le sujet.

 Hervé Villard votre reporter  qui a cherché à en savoir un peu plus  a été rabroué par les responsables  notamment  la secrétaire du directeur de l’hôpital.

 Hervé Villard Njiélé

Voir les commentaires

Douala: Un mort sur le pont du wouri

29 Septembre 2010, 18:54pm

Publié par hervy

 

 La circulation sur le pont du Wouri a été un tout  pétit peu perturbée dans la nuit de  mardi 29 septembre 2010. Pour cause, un conducteur de moto taxi a trouvé la mort au cours d’un accident de la circulation qui s’est produit à cet endroit. Napoléon Mbero puisqu’il s’agit de lui, s’est fait écrasé par un camion alors qu’il tentait un dépassement. Dans la course folle qu’il a engagée, il a glissé sur les rails se trouvant au milieu de la route et  s’est retrouvé sous un camion qui l’a aussitôt écrasé.  Il trouvera la mort sur le champ sans avoir la chance d’être conduit dans un centre de santé.

Selon des sources concordantes, Le conducteurs se rendait à Bonabéri quand l’inévitable s’est produit.   Ce sont les éléments de la compagnie de gendarmerie  du port  qui interviendront pour évacuer le corps et faciliter la circulation sur le pont obstrué pendant plusieurs minutes par  cet accident. Ce énième accident de la circulation qui vient grossir le nombre de mort sur nos  routes en cette rentrée scolaire vient remettre sur la sellette le sempiternelle problème de la sécurité routière dans nos cités. Et recommander la prudence à tous les usagers de la route.

hervé Villard Njiélé

Voir les commentaires

Une dame obtient son Certificat d’Etude Primaire à 62 ans

1 Septembre 2010, 21:09pm

Publié par hervy

 
Elle a été la star le jeudi 29 juillet 2010 au Cercle municipal de Douala. Marie Ekidi Eyidi a été élevée au titre de diplômée du cinquantenaire. Cette distinction lui a été décernée par le ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille et remis par Elong Emilienne, la déléguée régionale dudit ministère. C’était à l’occasion du lancement officiel des activités de la journée de la femme africaine à Douala. Pour Elong Emilienne, Marie Ekidi Eyidi est un exemple à suivre, un spécimen du courage. L’heureuse élue n’a eu des mots que pour remercier Dieu. « Merci mon Dieu. J’ai travaillé et j’ai réussi à mon Certificat d’étude primaire (C.E.P, Ndlr) », s’est-elle exclamée. Il y a environ deux mois Marie Ekidi Eyidi s’est présentée à l’examen national de C.E.P, session de 2010.

Elle est alors âgée de 62 ans. « Mes petits enfants se moquaient de moi parce que je ne connaissais par parler français. J’ai donc décidé de me mettre au travail afin d’apprendre à mieux m’exprimer en français et obtenir au moins un diplôme » justifie-t-elle. Elle passe donc les épreuves écrites de cet examen à l’école primaire « Les Dauphines » sis au quartier Ndog-bong à Douala. Avec succès. Comme l’indique le bordereau de réussites affiché au centre d’examen de Ndog-Bong depuis près de deux semaines.

Ses encadreurs, amis et autres admirateurs saluent son courage. « Nous sommes très heureuses pour maman Marie. Elle a fait preuve de beaucoup de courage. Elle mérite des encouragements. Qu’elle reçoive nos félicitations. Elle sera un modèle pour nos enfants » félicite Evelyne Dipita, une admiratrice. Dans ce centre d’examen, cinquante (50) candidats se sont présentés au Certificat d’Etude Primaire. Au final, quarante- neuf (49) ont été admis. Quand à Ekidi Eyidi, la nouvelle diplômée de 62 ans, elle n’a pas encore dit si elle entend continuer ses études.
 
 
Franck William Batchou 

Voir les commentaires

Société/Education:L’école primaire publique toujours payante au Cameroun

1 Septembre 2010, 20:51pm

Publié par hervy

 

 

 Rentrée scolaire

 

Les parents sont obligés de débourser de sommes colossales pour assurer l’instruction et l’éducation de leurs progénitures.

 

 

Bien accueilli par les nombreux parents qui se voyaient alléger des frais d’éducation de leur enfant, le décret du président de la république annonçant la gratuité de l’école primaire dans notre pays peine encore à être appliqué véritablement. Un tour dans les établissements primaires de la ville de Douala conforte l’idée selon laquelle celle-ci reste une utopie. Car, « c’est difficile de fréquenter gratuitement. » Comme l’affirme un parent.

 

 A l’école publique  de la Cité sic groupeI, les parents après l’inscription de leurs progénitures doivent payer les frais d’Ape qui s’élève à trois milles francs et les frais exigibles pour les examens officiels pour les élèves du Cm2. Pour Rosalie Ouemba directrice de cette école, en dehors de ces frais d’Ape, on ne demande plus rien aux parents. Selon cette dernière, l’école est gratuite dans son groupe parce qu’on ne paye aucun frais durant l’inscription. Et, s’agissant des frais D’Ape, c’est le bureau des parents d’élèves qui exige ces frais et non pas l’administration. « L’inscription est gratuite dans mon établissement.  En ce qui concerne les frais d’Ape  on laisse  aux parents tout le premier trimestre pour s’acquitter de cette somme. Et le plus souvent, tous ne paient pas ce montant. » Déclare t-elle. A l’école publique d’Akwa groupeI, c’est le même son de cloche. Salomon Ekouam Manyobe le directeur de l’école confirme la gratuité de l’école primaire publique «L’inscription est gratuite.  Quand un enfant arrive ici je l’enregistre juste et le jour de la rentrée, il présente seulement son carnet de note portant ma signature et la maîtresse ou le maître l’admet en classe. Il n’y a plus d’autres formalités sauf  celui concernant les élèves de Cm2 qui doivent payer les frais d’examen. » Déclare-t-il. Concernant les frais d’Ape, « cela ne me concerne pas » argue t-il. « C’est le conseil d’établissement qui gère cette affaire là. La gestion de l’Ape n’est pas de mon ressort surtout qu’aucun texte officiel ne m’autorise à toucher cet argent. » Ces frais dans cet établissement, s’élèvent à trois milles franc et selon le directeur, cette argent permet de résoudre des problèmes urgent que rencontre l’établissement  à la veille de la rentrée et pendant l’école. « L’Ape permet de mettre  la propreté dans l’école, d’arranger les bancs,  d’entretenir les toilettes de payer les gardiens etc. Mais je rappelle que l’école est gratuite à l’Ecole Publique d’Akwa « renchérit le directeur. 

 

 Si les directeurs des écoles publiques sont unanimes sur la gratuité de l’école primaire publique au Cameroun, et que l’inscription n’est qu’une simple procédure d’enregistrement comme le rappelle Salomon Ekouam Manyobe directeur de l’école publique d’Akwa groupe I « Pour  les nouveaux élèves, on demande juste aux parents de produire un certificat de radiation, un carnet de santé, une copie d’acte de naissance pour voir leurs enfant être inscrits »,les parents d’élèves dans la quasi- totalité ne partagent pas ce point de vue.

 Selon Lotin Bona un parent d’élève rencontré à Akwa., les parents sont obligés de monnayer pour voir leurs enfants être inscrits dans les écoles surtout, quant ceux-ci changent d’établissement. « Les directeurs disent souvent que les places sont toutes prises et nous sommes souvent obligés de leur donner un peu d’argent pour faire admettre nos enfants. » Affirme-t-il. Pour cet autre parent d’élève qui a préféré garder l’anonymat, parler de gratuité de l’école primaire c’est  un peu exagéré au Cameroun. Car les parents payent toujours les frais d’Ape qui ne devraient plu exister si l’école primaire publique était réellement gratuite. Selon les parents, en plus de frais  d’Ape qu’ils payent, ils sont obligés de  payer certaines sommes forfaitaires exigées par l’école à chaque fois que ces derniers font des examens. « L’école aujourd’hui est encore plus cher qu’au moment où  c’était payant.  Aujourd’hui l’enfant vous dit que l’enseignant a demandé qu’on vienne avec 300 demain 500fcfa et a près 1000fcfa, ça devient plus chère » affirme Joseph Ngandjié commerçant. Si  la gratuité de l’école primaire reste encore une vue de l’esprit, il n’en demeure pas moins que les frais d’Ape perçue, selon les responsables, aident beaucoup l’administration. Car, comme l’affirme Olive Manga Trésorière du Conseil des parents élèves (Cpe) à l’école publique groupe I de la Cité Sic, cet argent sert «  à acheter le matériel didactique car, le paquet minimum arrive souvent tardivement et on ne peut pas croiser les bras, il faut encadre les enfants entre temps ».

 

Hervé Villard Njiélé

 

Voir les commentaires

Javier Clemente, nouveau sélectionneur des Lions indomptables du Cameroun

18 Août 2010, 11:18am

Publié par hervy

 

Fini les spéculations. C’est officiel. L’espagnol Javier Clemente succède Paul Le Guen à la tête des Lions indomptables du Cameroun. L’ancien technicien de l’Olympique de Marseille a signé un précontrat de deux ans avec la Fédération camerounaise de football (Fécafoot). Le nouveau sorcier blanc a pour mission principale : qualifier et remporter la coupe d’Afrique des nations de football Gabon-Guinée Equatoriale 2012. Des détails restent à régler concernant son contrat final et l'identité de ses adjoints.

 

Un technicien expérimenté…

Agé de 60 ans, Javier Clemente est présenté par des observateurs de la scène footballistique comme le technicien qu’il faut pour le Cameroun. Sa carrière de footballeur s’est achevée très tôt pour cause de blessure. Par la suite, il a entamé une carrière d’entraîneur. Il a ainsi entraîné entre autres l’Athlético Bilbao (1981-1986, 1989-1990, 2005-2006), l’Espanyol Barcelone (1986-1989, 2002-2004), l’Athlético Madrid (1989-1990), l’Olympique de Marseille en 2000 et sélectionneur de l’équipe nationale d’Espagne entre 1992 et 1998. Ses résultats avec cette dernière sélection ont été plutôt mitigés. Mais Javier Clemente conserve une bonne cote dans la péninsule ibérique. Avant la signature de son précontrat, il était pressenti pour prendre les commandes de la sélection de l’Iran. Le destin en a décidé autrement.

Des soucis se présentent déjà à Javier Clemente. D’abord, il n’a, en revanche, aucune expérience en Afrique. Ensuite, il y a le climat tendu au sein de l’équipe nationale du Cameroun avec un mondial 2010 raté a cause des tensions entre certains cadres de l’équipe. Javier Clemente va donc devoir rebâtir une tanière où règne l'instabilité. La victoire 3-0 en Pologne, en match de préparation, est toutefois un signe encourageant pour lui avant le début des éliminatoires de la CAN 2012, le  3 septembre, à l’Ile Maurice.

Voir les commentaires

Société/ Environnement: La cité sic a son banc public

17 Août 2010, 16:43pm

Publié par hervy

Cet espace de divertissement est d’avantage visité par les habitants de ce quartier de la capitale économique du Cameroun et ceux des quartiers voisins La cité sic a son banc public Depuis son aménagement il y a environ trois mois, le banc public de la cité sic accueille beaucoup de monde. Jeunes vieux enfants, tous visitent espace de loisirs.

 

 

 

Situé à la Cité sic, le long de l’axe carrefour Agip –Ndokoti, plus particulièrement à l’entrée Camrail, cet espace grouille de monde chaque après midi et particulièrement le week-end. Parmi les nombreuses personnes qui visitent cet endroit, se recrutent les amoureux et des personnes de toutes les couches de la société. Constitué de six bancs, faits en bétons et disposés dans les différents angles cet espace public, le banc public de la cité sic est aujourd’hui le site touristique de ce quartier de Douala. Il lui donne une fière allure et est visité de jour comme de nuit.

 

 

Aménagé sur une surface d’environ vingt mètres carrés, les pavés qui recouvrent le sol empêchent à ce lieu touristique d’être boueux pendant la saison des pluies. Un lampadaire à trois ampoules éclaire cet espace pendant la nuit. Des espaces verts aménagés en ce lieu et où sont plantées des fleurs de variantes qualités rendent attrayant cet espace qui redonne à la cité sic un nouveau et beau visage. Cet espace fait par ailleurs la fierté des populations dudit quartier et de la ville de douala en général.

 

 

 

Selon joseph Galemo un habitant de la cité sic, depuis la construction de ce joyau, les habitants de ce quartier ont changé leur mode de vie. Chaque après midi, ils se rassemblent en ce lieu pour discuter. Beaucoup ne vont plus au stade. « Depuis que cet espace a été aménagé, c’est ici que nous passons la majorité de notre temps. Ici, il y a de l’air frais qui passe. » Déclare-t-il en souriant. Assis sur l’un des bancs publics de cet espace, celui-ci discute calmement avec son amie chantal. Non loin de lui, Josiane très concentrée lit un roman photo. Venue se distraire avec ses enfants elle trouve l’espace attrayant. « Quand j’ai un peu de temps pendant le week-end je viens me distraire ici avec mes enfants. Pendant qu’ils s’amusent, je me repose un peu. » Affirme t-elle.

 

 

Aménagé par la communauté urbaine de Douala dans le cadre du programme de l’embellissement de la capitale économique du Cameroun, le banc public de la Cité sic fait la fierté de quartier qui connaissait un manque criard d’espace de loisirs. Ces derniers saluent l’initiative du délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de Douala, Frizt Ntone Ntone. « La construction du banc public de la cité sic est une bonne chose. C’est la preuve que le délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de douala veut réellement embellir la ville de douala. Nous sommes fiers de cet acte. Car, nous irons plus au « plateau Joss » ou à la « douche municipale » nous détendre. » Affirme Gaétan Ndi tout joyeux. Joseph Mbah ?étudiant à l’université de Douala est plutôt critique et pense à l’entretient de cet espace de loisirs. « C’est bien de penser à la construction des espaces publics comme celui-ci. Mais qui va entretenir? » S’interroge-t-il. Il évoque pareillement le problème de l’ameublement donc souffre ce lieu. « Ici il y a que six bancs pour environ 24 personnes ce qui est insuffisant. Regardez le nombre de personnes debout, ce n’est pas normal. A quoi servent ces espaces vides là ? Il faudra multiplier les bancs pour permettre au moins à quelques personnes de pouvoir s’asseoir. » Propose-t-il.

 

 

Parmi les nombreux problèmes évoqués par les nombreux visiteurs du banc public de la cité sic, figure celui de l’insécurité. « On peut facilement se faire agresser ici la nuit. Il faut que la Cud pense à sécuriser les lieux. » Affirme une jeune dame. Pour Samuel qui prend du bon temps en lisant un roman, il faut que la Cud aménage des espaces similaires dans tous les quartiers de la vielle de Douala car, « cela permet de s’épanouir »

 

 

Hervé Villard Njiélé

Voir les commentaires

Hommage à Pius Njawe:Ascom au coté du Messager

3 Août 2010, 19:48pm

Publié par hervy

 La journée de vendredi généralement moins saturé dans les rédactions des quotidiens était une fois de plus laborieuse pour Jacques doo-bell le sécrétaire général des rédactions du Messager la semaine dernière. Pour cause celui-ci a reçu la visite de plusieurs groupes de personnes venues annoncer leurs condoléances et  apporter leurs soutiens au personnel du Free Media Group éploré depuis le décès de Pius Njawe le Directeur de publication de Le Messager. Parmi ces nombreux groupes qui ont pris d’assaut la direction de la rédaction du Messager ce vendredi 16 juillet dernier,   Se trouvait le personnel du cabinet de conseil en communication Ascom.    Conduite  par leur Duvalier Kamdoum Soh  son Directeur général, cette délégation était constitué d’une douzaine de personnes parmi lesquelles des communicateurs et des journalistes.  Ces derniers comme a su bien le dire leur directeur général sont venus assistés un ami un grand frère et surtout partagé sa douleur  «  Le Messager est notre ami. Il nous a toujours accompagnés dans notre action. J’ai des amis dans cette maison à l’instar de Alain Njipou (le chef service culture ndrl). Nous sommes venus après la nouvelle compatir à votre malheur. Cette jeunesse croit que Le Messager doit survivre à Puis Njawe c’est pourquoi nous sommes venus vous apporter notre soutien. » A- t-il déclaré   Jacques Doo-Bell, agréablement surpris  par cette marque de compassion accordée au Messager par cette jeune structure de Communication a tenu à les remercier tout en les encourageant dans le geste qu’ils sont entrain d’accomplir. Après avoir fait état du coup que tout le personnel de Le Messager a subi il a rappelé du moins que tout le personnel souffre. « Depuis la mort de notre directeur de publication, Le ciel nous est tombé sur la tête. Ceux qui me connaissent me disent que j’ai perdu au moins 5kg. Ce qui veut dire que nous sommes vraiment touchés » Ila par ailleurs rappelé à ces derniers l’engagement de tout le personnel à poursuivre les œuvres du « camarade » « la tache que nous lègue Pius est grand. Mais au nom de mes collègues je peux vous dire que nous nous battrons pour que ces œuvres survivent » Dans ces propos il a exalté les membres de Ascom à tenir le bon bout et à continuer à leur manière à perpétrer les œuvres de Njawe. Car il faut le mentionner, ce sont les nombreux combats mené par le Dp du Messager de son vivant qui est à l’origine aujourd’hui de la libéralisation de la presse. Dans la forte délégation de L’Ascom, se trouvaient Dora Notio, Esther Polena,Tchouta Rosine, Friede Flore Ngo Yetna, Laetitia Mekolo, Fanny Meniaga, Laure Christiane Djeune, Matoko Mbongo,…

 

Hervé Villard Njielé

Voir les commentaires

Compassion:L’Upc rend hommage à Pius Njawe

3 Août 2010, 19:46pm

Publié par hervy

Une délégation des membres de l’union  des populations du Cameroun s’est rendue au siège de la rédaction de L e Messager vendredi dernier Sise à la Rue des Ecoles.

« Pius Njawe était un véritable combattant des libertés, un homme qui a marqué  les consciences et qui  a œuvré  pour l’évolution de  la démocratie au Cameroun ».  En témoignent les nombreuses visites et condoléances que reçoit la rédaction du quotidien Le Messager de Douala sise à la Rue des écoles, et le personnel du Free Media group en général.    Les acteurs de la société civile, les hommes de média  les citoyens camerounais de plusieurs ordres, les membres du gouvernement, les lecteurs, et les hommes politiques ne cessent de boycotter leur emploi de temps pour accourir  au siège de Le Messager depuis l’annonce de la disparition subite et tragique de Pius Njawe, le Directeur de publication du journal qui est à l’écoute du peuple depuis sa création en 1979.  

Vendredi 16 juillet dernier, c’était au tour de l’union des populations du Cameroun (Upc) de rendre hommage à  « ce combattant  invétéré de la liberté mort au front ». Conduite  par le professeur Moukoko Priso le secrétaire générale de l’Upc, la  forte délégation constituée des membres du bureau national parmi lesquels Jose Kombi Baya  le secrétaire national  à la coordination administrative,  Hilaire Han Ekwe le secrétaire national à la communication sont venus rendre un vibrant hommage et apporter leur soutient à la rédaction de Le Messager et du Free Media Group. 

Le professeur Moukoko Priso, le chef de cette délégation, a affirmé être meurtri après avoir appris la nouvelle du décès du désormais Ex-Dp de LE Messager  « Quand un de nous  s’en va, il y a un grand vide qui se créée » Il a pareillement affirmé le soutien de son parti au groupe tout entier. « L’importance que l’Upc portait à ce journal du vivant de Njawe, nous allons continuer à le porter. Car, ce malheur est  un malheur pour nous tous.  Si vous avez un problème et pensez que l’Upc peut vous aider à quelques niveaux que ce soit, n’hésitez pas à nous solliciter. Nous répondrons dans la dimension de nos possibilité» A-t-il déclaré. 

Dans ces propos, l’imminent professeur a en outre  exalté l’équipe rédactionnelle du journal de rester solidaire et de ne pas baisser les bras malgré les difficultés qu’elle rencontre. Car ajoute-t-il « Quand on est frappé par un tel drame, des gens attendent pour voir ce qui va se passer. Il ne faut pas faire plaisir à ces derniers, il faut que l’œuvre de Pius Njawe survive à lui.» 

Dans un échange avec le secrétaire générale des rédactions Jacques Dooh Bell et  le Chroniqueur Jean Baptiste Sipa, qui ont accueilli la délégation de l’Upc, le professeur Moukoko Priso a émis l’idée de la création d’une fondation Njawe. Ceci dans le but de pérenniser ses œuvres  et l’élever au panthéon des hommes qui ont marqué l’histoire du Cameroun, de l’Afrique et même du monde entier. «  Njawe doit être un prototype, un référent pour la jeunesse camerounaise et africaine. Car, il n’est pas un vulgaire personnage. C’est un homme d’une renommé internationale et il faut qu’il survive à travers  ses œuvres » 

Jacques Dooh Bell  réconforté comme toute la rédaction par cette visite a réaffirmé la détermination de l’équipe du journal à poursuivre  l’œuvre laissée par Njawe malgré les difficultés. « Je peux vous assurer que nous sommes déterminés  à faire vivre le journal. Quand je vois chaque fois ces jeunes qui sont constamment là malgré les problèmes que nous avons je sens qu’il y a de la volonté » A sa suite, jean Baptiste Sipa  s’est  dit déterminer à faire survivre ces œuvres « Le meilleur hommage à rendre Njawe c’est d’arroser et de fertiliser le jardin qu’il a laissé. Puis est un arbre que j’ai vu grandir pour devenir un baobab il est donc hors  de question de laisser ces œuvres en déperdition. » A-t-il rappelé afin d’inviter tout le monde à se joindre à ce projet.

 

Hervé Villard Njiélé

Voir les commentaires