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Le blog de Hervé Villard Njiélé

Douala:Un enfant trouvé mort dans une piscine à Akwa

30 Mai 2011, 22:36pm

Publié par hervy

 

 

Un enfant trouvé mort dans une piscine à Akwa

 

 

 

 

La découverte macabre a été faite  hier par les parents de la victime aux environs de 10h.

 

 Le Carrefour   communément appelé « carrefour direction Activa » à Akwa, a connu une ambiance toute particulière hier matin.  Des curieux venus de toute part, ont afflué à cet endroit pour témoigner de l’effectivité du décès de  cette jeune fille,  découverte morte dans la piscine  d’un des appartements appartenant à la famille Sowen,  situé non loin de là.

 


En effet, Hilda Symphorelle Fotue Djoutue portée disparue depuis samedi dernier, a été découverte morte, le corps flottant  sur les eaux verdâtres de la piscine abandonnée, se trouvant à l’arrière du domicile de Madeleine Wougo, membre de sa famille.  

 


 Sur les lieux de l’incident, Denise Negue, la maman de la défunte est inconsolable. Abattue par cette triste nouvelle, elle n’en croit pas  yeux : « remettez moi ma fille, remettez moi ma fille, J’avais refusé qu’elle ne vienne pas ici, vous avez forcez. Je veux ma fille » se lamentait –elle. Des cris, des pleurs des membres de la famille qui arrivaient au compte goutte fusaient de part et d’autre.

 


Tous sont surpris du décès tragique de la petite Hilda Symphorelle Fotue Djoutue âgée de xians.  « Je ne sais pas quoi dire. On était  tous ensemble ici samedi dernier, pendant les préparatifs de la fête qui s’est déroulée ici  dans la soirée. Elle jouait avec Emma son frère. Puis, autour de 15h on ne l’a plus revue, malgré les recherches menées. C’est maintenant qu’on vient de m’informer de son décès. » Explique Jean Fotue, le grand père du décédée visiblement éploré.  Tout abattu, il tient à peine sur ses deux jambes.

 


Selon des informations recueillies sur les lieux de l’incident,  Hilda Symphorelle Fotue  Djoutue  la victime était venue accompagnée de sa tante à une cérémonie qui devait avoir lieux dans cette cité. Pendant que sa tante et les autres membres de sa famille s’attelaient aux préparatifs de la cérémonie, la petite Hilda jouait avec Emma, qui déficient mentale.  C’est aux environs de 15h que cette dernière a disparu jusqu’à  ce matin. Des riverains affirment  d’ailleurs l’avoir vu  ce jour en compagnie de son frère.  « Ils sont passés plusieurs fois ici dans la journée. Je les ai vus acheter la banane ce jour là. »  Raconte-til.

 


Le corps déjà en état de décomposition avancé de la défunte  a  été extrait de la piscine abandonnée par les éléments du corps des sapeurs pompiers de Ngodi alertés. Ceci en présence des éléments de la brigade de  gendarmerie D’Akwa  Sud située à la salle de fête  descendus sur les lieux pour besoins d’enquête.

 


Salle temps pour la famille Sowen


S’agit-il d’un acte de sorcellerie d’un assassinat ou juste un coup de malchance ? Nul ne peut donner avec précision la réponse à cette question au vue de la situation qui se présente. Les commentaires  vont dans tous les sens. Mais, ce qui  demeure vrai est que la famille Sowen vient encore de perdre un de ces membres. A l’hotel Akwa palace où se trouvent les bureaux du milliardaire, règne  une sérénité. Les employés vaquent à leurs occupations. A son secrétariat, on apprend que celui-ci à voyagé et ne sera de retour que dans un mois.

 

 

  Ce décès  tragique de plus, donc  est victime la famille Sowen, vient grossir le nombre de morts mystérieuses que cette famille a enregistré ces derniers mois. On se souvient il y a plus d’un mois, le fils de ce milliardaire camerounais s’était suicidé en sautant du 12ème étage de l’hôtel Akwa Palace.  Son jardinier également bien après, a été retrouvé mort dans la piscine de son domicile à Bonapriso.  Une situation qui suscite des intérrogations.

 

Hervé Villard Njiélé.

 

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Examen de fin d’année; La fièvre monte chez les candidats.

30 Mai 2011, 22:28pm

Publié par hervy

 

 

 La fièvre monte chez les candidats.

 

 

A quelques  jours du début effectif des examens de fin d’année de l’enseignement secondaire générale, l’heure est aux  révisions. Les élèves mettent toutes les chances de leur coté en relisant leur cours.

 

 

 Kameni Rebecca, élève en classe de 3ème espagnole au lycée bilingue de Deido, révise tranquillement  son cours de science naturel dans l’une des salles de cet établissement d’enseignement général de la ville de Douala. Seule dans cette salle, elle n’est pas au courant  de ce qui se passe autour d’elle. Car, absorbée par cette leçon portant sur la circulation sanguine qu’elle tient à comprendre avant d’aller affronter les épreuves du Bepc qui pointe à l’horizon. « Nous avons arrêté les cours depuis le début du mois de mai. Et je lis pour maximiser mes chances de réussite à l’examen. » Affirme-t-elle. Chantal Djemba sa camarade de classe, entrée quelques minutes après est venue suivre les cours de remise à niveau en cours dans cet établissement. Organisés par M.issouk, enseignant de philo dans le dit lycée, ces cours permettent aux élèves de rattraper le retard accusé durant l’année scolaire. Ici des séances de travaux pratiques portant sur la correction des épreuves de type examen ont lieu. Chantal B compte ainsi maximiser ses chances de réussite.


Non loin de là, Ngoma Handson qui prépare le Gce Advanced level corrige une épreuve  d’économie avec ses camarades de classe. La fièvre de l’examen est plus forte ici. Car, ils composent dans cinq  jours et  plus précisément le 30 mai  2011.L’épreuve d’économie étant la première matière, il faut mettre toutes les chances de son coté. « Nous avons la peur de l’examen. C’est pourquoi nous travaillons en groupe. La première épreuve étant l’économie, nous avons besoins de maximiser nos chances en cette matière  quand l’un d’entre nous ne comprend pas un exercice, l’autre le lui explique» précise-t-il.   Faisant des va et vient entre le tableau et leur cahiers, ils s’assurent que ce qu’ils écrivent est vrai.


 

Au lycée d’Akwa,  l’ambiance est la  même quelques élèves trouvés dans les salles révisent les leçons. Selon un enseignant, beaucoup préfère lire  à la maison  en  ce moment. C’est pourquoi on ne trouve qu’une poigné  d’élève à l’école. Clarisse M candidat libre au probatoire A4esp traite un sujet de dissertation. Il est question pour celle qui n’a pas eu la chance de suivre normalement les cours durant l’année comme ses camarades, de se mettre au pas.


 Au Collège Alfred Saker de Deido, Mme Njoh Eteki vice principal n°2 chargé du premier cycle range quelque document dans son bureau. Pour cette année, l’administration  a mis des petits plats dans des grands, en encadrant les élèves comme il faut, et plus particulièrement  les élèves de classes d’examen. « Nous avons organisé des cours de remise à niveau dans ce collège depuis le début de l’année et c’est au début du mois de mai qu’ils se sont achevés. Les travaux pratiquent  qui consistent à traiter les épreuves  de type examen ont été accélérés au début du mois d’avril, et  ont été intensifs ces derniers jours, question de mettre les enfants au pas. Les contrôles continus n’ont pas été des restes. » Affirme la responsable. Cette dernière très confiante du travail réalisé espère que ses élèves se comporteront bien le jour de l’examen.

 « Nous avons fait notre devoir, nous avons joué notre partition, A eux de jouer la leur. » ajoute-t-elle.


 Ebeh ²  sandrine, Mireille Fonkou, ETonde Klorane, Soelle Elessa Miguel, Loïc Mony et Mouelle Darryl  rencontrés dans ce collège affirment  leur sérénité quand aux examens qui son proche. Tous, élèves en classe de Tle A, ils sont confiants quant à la formation reçue « Nous avons été bien formés cette année, contrairement aux années antérieures. On nous a tout donné, c’est pourquoi nous n’avons pas de pression. Nous ne sommes  pas là pour composer le bac, mais pour passer le bac.» Affirment-ils. Avec sérénité.

 


 Si certains élèves sont confiants à la veille de ces examens qui ont déjà commencé chez les ceux qui font l’enseignement secondaire technique, beaucoup d’entre sont sous pression. Car estiment qu’ils ne sont pas prêts. Mais comme l’a dit un enseignant,  « prêts ou pas  ils vont composer. »

 

Hervé Villard Njiélé.

 

 

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Douala;La médecine traditionnelle fait sa promo

29 Mai 2011, 23:12pm

Publié par hervy

 

La médecine traditionnelle fait sa promo

 

Une foire des guérisseurs traditionnels se tient  à l’espace Camtel de Bépanda depuis le  8 mai  dernier

 


 

Promouvoir la médecine traditionnelle, présenter ses atouts au public de la capitale économique du Cameroun,  rassurer les populations  de son efficacité et surtout de la complémentarité qui existe entre ce mode de traitement des maladies et la médecine moderne. C’est l’objectif que visent les promoteurs de cette foire des guérisseurs traditionnels en cours au complexe Camtel de Bépanda depuis le 8 mai 2011 et qui s’achève le 15 juillet prochain. Organisé par le groupe international des guérisseurs traditionnels et africains(GIGTA), branche du Cameroun, cette foire ne connait pas l’engouement que connaissent les foires dans la ville de Douala. Olive Sengue, secrétaire du Docteur traditionnelle Abdelaziz Nimotalahi,  rencontrée dans l’un des stands aménagés pour cette foire  n’est pas surprise par cette  situation. « La foire médicinale est différentes d’une foire commerciale.  Explique-t-elle.  Si on venait ici pour boire et manger,  je suis sûre que vous trouverez beaucoup de personnes. Mais  comme  des gens viennent pour les consultations et  les soins,  ils y repartent aussitôt qu’ils sont servis. » Malgré ce caractère particulier  que revêt cette foire des guérisseurs traditionnels les exposants reconnaissent du moins que l’affluence n’est pas au rendez-vous. « Les personnes arrivent au compte goutte.  La fréquence des patients  que je reçois varie en fonction des journées. Elle oscille entre deux et trois personnes par jours ». Précise Olive Sengue. Pour un autre exposant situé non loin,  ces derniers passent parfois des journées sans recevoir le moindre patient. Ce qui complique d’avantage cette activité. Selon le Dr El Hadj,  qui pratique ce métier depuis plusieurs années,  l’affluence n’est jamais au rendez-vous dans cette activité. « Même dans nos bureaux, c’est au compte goutte que les patients arrivent. » Ceci poursuit-il, « est du au fait  que ce mode de traitement des maladies n’est pas encore ancrer dans les mœurs des populations de la ville de Douala, qui vont le plus souvent se faire soigner dans les centres de santé  modernes »  Les vingt deux exposants de ce petit village de la médecine traditionnelle s’accorde sur la rareté des patients et affirme leur détermination à poursuivre cet œuvre. «C’est vrai que difficile et très difficile d’ailleurs, mais on n’a pas le choix. Nous gardons espoir parce que nous sommes sérieux dans ce que nous faisons. Et nous sommes certains que tous ceux qui ont trouvé la guérison grâce à nos soins feront de la publicité pour nous. Et à ce moment là, les autres accourront. Il  faut juste être patient et bien s’occuper du peu de patients qui sollicitent nos soins » argue le Dr Adulaziz Nimotalahi optimiste.

 


 

Du sérieux dans les soins.

Tous les visiteurs qui s’aventurent au complexe sportif de Camtel pour découvrir les prouesses  de la médecine traditionnelle qui s’y déroule sont surpris par ce qu’ils trouvent sur les lieux.  Pas d’exposition des décoctions, pas d’exposition des plantes naturelles ni d’écorces d’arbres comme on le voit souvent dans les marchés de la capitale économique du Cameroun ou dans certains carrefours de la ville.  On y trouve dans  les stands construits à l’occasion des gérants de stands et des Dr traditionnels, des naturopathes. Ici, les médicaments ne  se vendent pas à la volé. Tous patients qui arrivent  en ce lieu est soumis à une séance de consultation  moyennant un carnet qui est acheté sur place. C’est après avoir diagnostiqué le patient que les docteurs traditionnels lui prescrivent les médicaments qu’il peut acheter sur place. Tous ceux qui viennent uniquement pour achetez des produits ne sont pas servis. « Nous ne vendons pas nos produit à la volé. C’est pourquoi nous soumettons nos patients à la consultation moyennant un carnet. C’est pour faciliter le suivi du malade et pour notre propre sécurité. En cas de pépin, le malade sait comment nous contacter grâce aux contacts  qu’il ya sur le carnet. C’est une exigence de notre association qui veut améliorer le visage de la médecine traditionnelle » Explique Dr  papa koffi naturopathe.

 


Au sujet des produits médicinaux qui ne sont pas exposés les professionnels de ce domaine explique que, c’est pour un souci d’hygiène et de sécurité. « Les produits destinés à la consommation doivent être soignés et bien traités. Nous protégeons les produits contre les intempéries » affirment-ils. Et de poursuivre « A la pharmacie les produits ne sont exposés ni au soleil ni à la pluie concluent-ils ».

 


 Baptisé « foire de la médecine traditionnelle et de la pharmacopée africaine » qui se tient au complexe Camtel s’ouvre tous les jours de 8 h à 19 heures. Elle est la deuxième du genre organisée  à Douala  après celle qui s’est tenue à Bali du 28 mars au 5 mai 2011.

 

Hervé Villard Njiélé.

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Société:Une femme abandonne son bébé dans la broussaille à Maképé Missoké.

29 Mai 2011, 23:04pm

Publié par hervy


  Une femme abandonne son bébé dans la broussaille à Maképé Missoké.

 


 Le nouveau né sauvé de justesse  par les riverains, se trouve actuellement à la délégation régionale du service social de Douala.

 


Ntui Esame  Tabot, une jeune femme âgée de 27 ans est gardée à vue au commissariat du 10ème  arrondissement  de Douala depuis hier. Elle est accusée d’avoir jeté son bébé, un nouveau né de deux jours, dans une broussaille  non loin  du quartier Maképe Missoke, où elle  réside. Arrêtée  dans la journée d’hier par les populations riveraine qui l’ont reconnue comme  étant  l’auteur de cet acte ignoble, elle a été conduite au commissariat du 10 ème   manu militari.

 


D’après  Géraldine Ewi  , commissaire adjoint du 10ème arrondissement, la jeune femme est passée au  aveu complet ,car a reconnu les faits.  D’après les sources  proches de l’enquête, Ntui Essame tabot puisqu’il s’agit d’elle  affirme avoir agit par dépit.   « C’est  parce que  le père du dit bébé  l’a abandonné  pendant la grossesse qu’elle a décidé  de poser cette acte ». Nous a rapporté la  source.  « Elle n’était plus  en mesure de s’occuper du bébé car étant démuni » ;a-t-il affirmé. D’après cette même source, elle  regrette l’acte posé.

 


Au quartier Makepe Missoké où la scène s’est déroulée, la nouvelle est sur toutes les lèvres et alimente les conversations.  « Comment  une femme  peut-elle  accoucher et jeter son bébé  après? Est-ce que celle-là a un cœur ?  S’interrogent  les riverains. « Il faut être un criminel pour poser un acte pareil»  concluent-ils.

 


Adeline Koudjio la dame qui a sauvé  le nouveau né ne se fatigue pas de raconter l’histoire aux nombreux visiteurs, qui affluent à son domicile. « C’est autour de 20h trente que  j’ai entendu les premiers pleurs de ce bébé. Dans un premier temps, j’ai cru que ces cris provenaient  chez les voisins. Mais,  c’est quand ils sont devenus stridents aux environs de 1h la nuit que j’ai réveillé mon mari qui  a constaté que c’était ceux d’un nouveau né abandonné à l’arrière, de la maison dans la broussaille. Pendant  qu’il portait  le  nouveau né, moi je suis allée alerter les voisins qui sont venus aussitôt. » Raconte-t-elle. « Nous avons amené le bébé ici chez moi et nous avons alerté la police. ».

 


Avec l’aide des éléments des commissariats du 10 ème arrondissement descendus sur les lieux après l’alerte, le bébé  sera conduit  à l’hôpital de la cité des palmiers où il a reçu des soins avant d’être remis au service social de ce commissariat, qui s’occupe de ce genre de dossier. Après formalités usuelles, le bébé sera acheminé  à la délégation régionale du service social du littoral.

 


Ntui Esame  Tabot Tabot  déjà mère  de deux enfants, sera quant à elle , arrêtée par les populations quelques heures plus tard, et conduite au commissariat du 10ème où elle est en garde à vue . Avant que nous ne mettions sous presse, elle était encore dans ce commissariat. Selon une source  la police serait déjà sur les traces du papa irresponsable.

 

Hervé Villard Njiélé.

 

 

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Coupe du Cameroun; Avenir de Bertoua qualifié pour les quart-finales.

29 Mai 2011, 22:52pm

Publié par hervy


 

Avenir de Bertoua qualifié pour les quart-finales.

 

Le club de la région  de l’Est  a arraché son ticket de qualification grâce au  match nul réalisé hier à Douala.

 

 C’est tout joyeux que les nombreux supporters d’Avenir de Bertoua, le club du chef lieu de la région de l’Est  Cameroun, ont quitté le stade omnisport de Bépanda à Douala. Venus nombreux, supporter l’équipe qui fait rêver toute la région de l’Est,  depuis qu’elle s’est qualifiée pour les 16èmes de final de la coupe du Cameroun, ils n’ont pas dissimulé leur satisfaction. « Nous sommes très contents et nous sommes sûrs que notre équipe ira jusqu’en finale de la coupe du Cameroun.»  ont-ils  affirmé à la sortie du stade.  Très contents de cette rencontre qui s’est soldée par un score vierge de zéro but partout, ils ont tenu à remercier personnellement les joueurs en leur serrant la main.


Avantage


 

Ayant pris un large avantage sur leur adversaire du jour au match aller à Bertoua, grâce à une victoire de trois but à zéro, Avenir de Bertoua  n’avaient pour seul et unique mission  que de préserver cette avance. Chose qui a été faite grâce à ce match nul réalisé hier après midi à Douala. C’est sur un nuage, qu’ils ont quitté l’antre de Bépanda  tout en souhaitant que la suite de la compétition leur soit favorable. « Je suis satisfait de la rencontre et plus particulièrement de notre qualification parce que, cela fait plus de quarante ans qu’un club de Bertoua n’avait atteint ce niveau dans cette compétition. Nous sommes fiers de nous et nous promettons bien travailler pour aller le plus  loin possible. » A assuré Emmanuel Edjenguele Ntone, Libéro de la formation d’Avenir de Bertoua.

Pour ce joueur qui a causé de sérieux problèmes aux attaquants de jeunesse de Bonamoussadi pendant la rencontre, le secret de leur qualification n’est autre que « le respect des consignes du coach, le travail, la confiance et l’amitié qui existe entre  ses coéquipiers et lui ».

 

 

Déception

 

Orcelle Nkuigna, coach de jeunesse de Bonamoussadi qui croyait renverser la tendance hier après midi, a terriblement été déçu.  Ces poulains n’ont pas respecté les consignes données. Ils  ont brillé par leur manque de lucidité et par un manque d’engagement. «C’est vrai que les trois buts encaissés au match aller à Bertoua ont pesé lourds. Mais, il faut noter que les consignes données n’ont  pas été respectées et que les attaquants ont pêché par leur manque de lucidité », a déclaré le coach.

 Malgré cette élimination de la coupe du Cameroun, Orcelle Nkuigna tient à remercier ses joueurs pour le travail abattu. « Ça n’a pas été facile pour moi et pour les joueurs. Je tiens à les féliciter pour le travail abattu. Pour une équipe comme la notre (qui évolue en D2 régional), c’est un record à apprécier. Je dis encore Bravo au gars pour ce parcours. »

 

Pour la poigné de supporter qui ont fait le déplacement du stade omnisport de Bépanda, cette rencontre n’a pas tenu son pari.

Venus voir la revenge de l’équipe de jeunesse de Bonamoussadi, ils sont restés sur leur soif.  Les poulains d’Orcelle Nkuigna qui les ont donnés satisfaction depuis le début des qualifications de cette coupe n’ont pas renversé la tendance comme d’habitude. 

Engloutis par le système de jeu mis sur pied par le coach d’Avenir, ils  sont restés timorés durant  toute la rencontre et n’ont pas inscrit  le moindre but.  Les multiples occasions  qu’ils ont eu ont été mal négociées. C’est ainsi qu’ils ont  fini le match sans réellement fait peur à l’adverse ni gratifier les spectateurs d’une belle action de jeu.

 

Hervé Villard Njiélé.

 

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Education:Les écoles françaises promeuvent la culture à Douala.

26 Mai 2011, 23:37pm

Publié par hervy

 

Célébrées sur thème « Pass-sport culturel », les journées d’échanges culturelles qui ont eu lieu à Douala du 25 au 26 mai 2011 ont permis aux élèves de ces établissements d’enrichir leur connaissances.

 

L’école primaire Dominique Savio de Bonapriso a connu une ambiance toute particulière ce 25 et 26 mai 2011. Et pour cause, elle a accueilli dans l’enceinte de son établissement, les élèves de cinq autres établissements scolaires en plus de la sienne. Regroupées à l’occasion de la célébration de la journée des écoles françaises, -un évènement qui permet aux enfants de se connaitre mutuellement, d’apprendre à s’aimer, à se supporter bref à cultiver les valeurs humanitaires,-les deux jours d’intenses activités ont permis aux enfants de bien s’amuser tout en améliorant leurs connaissances.

Les près de deux cent enfants que la cérémonie à rassemblé ont passé des moments intenses pleins de joie.  Cheick élève en classe de cm2 n’est pas près d’oublier ce qui s’est passé. «J’ai trouvé tout ce qui a été organisé très bien. Mon équipe baptisé Yorobo est sortie  17ème (sur les 20 groupes d’enfants constitués pour les jeux) mais je suis content parce que je me suis bien amusé » affirme-t-il.

Pour occuper les enfants pendant ces deux jours d’intenses activités, plusieurs jeux ont été organisés. Les enfants répartis par groupes se sont  affrontés dans les disciplines comme : la course de relaie, le saut en hauteur, le saut en longueur, le lancé de bois, le pingpong et le quiz. Bien qu’ayant revêtue une forme de compétition inter scolaire, s’en était pas une. Car, les groupes étaient constitués des élèves provenant des différentes écoles présentes. Au niveau de la représentativité ; six écoles françaises étaient présentes : A savoir, l’école Henry Dumont de Douala, Le groupe scolaire la Sonara de Limbe, le groupe scolaire Alluda d’Edéa, l’école  La gaieté de Yaoundé, L’école Dominique Savino primaire de Douala, et Le groupe scolaire  Les Flamboyants de Yaoundé.

A la fin de cette compétition, le groupe Zangalewa s’est démarqué en gravissant la plus haute marche du podium. Ceci à la satisfaction des écoliers constituant le groupe. Les encadreurs qui ont suivi avec attention le déroulement des activités n’ont pas pu dissimuler leur émotion.  « C’était un rendez-vous culturel  et sportif important et très enrichissant. Les enfants ont beaucoup gagné. Si on pouvait l’organiser pour les écoles camerounaises ce serait une bonne chose. » Affirme Julienne Nkontchou fondatrice du groupe scolaire la gaieté.

 Pour Olivier Rivière, directeur du groupe scolaire  Les flamboyant et membre d’organisation de ces journées, l’objectif a été atteint.  «A voir la joie et l’enthousiasme des enfants, je dirai que l’objectif a été atteint. Le projet a été bien reçu par les responsables des écoles. C’est un aboutissement car, à la fin d’un événement comme celui-ci, on ne peut être que fier. » Les trophées ont été remis au membre du groupe vainqueur, de même que les tee-shirts. Tous les participants ont eu droit à un diplôme de participation.

 

                                          Hervé Villard Njiélé.

 

 

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20 mai 2011:Le CARJM invite les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales

22 Mai 2011, 22:17pm

Publié par hervy

 

A travers une conférence organisée à son siège le 20 mai dernier, les responsables de ce mouvement des jeunes ont instruit les invités sur l’importance des élections dans un pays.

 

 

Enjeux électorale et la question du développement en Afrique : Cas du Cameroun. C’est le thème de la conférence que le Cercle d’animation et de Réflexion des jeunes de Makepe (CARJM°) a organisé en son siège le 20 mai 2011.Prévue à 15 h 30, c’est avec une heure de retard que cette conférence a effectivement commencé. Animée par un panel constitué de Lucas Ayé, économiste mathématicien et économètre et de M.Atangana, panafricaniste et doctorant en droit public et science politique à l’université de Douala, il était question de démystifier les élections et le processus électoral et surtout de faire ressortir l’ importance que ce mode de suffrage peut avoir pour un pays comme le Cameroun.

 

 

 Prenant la parole en premier M atangana a préalablement défini ce que c’est que les élections. On a pu apprendre d’une manière plus simple que, c’est un mode de désignation des gouvernants dans les pays républicains. Et, ce mode donne la latitude à tout citoyen dont le vote est indispensable pour la construction du pays  en question de le faire librement. Car, la construction de la nation interpelle tous les citoyens sans distinction de sexe.

 

 

Pour jouer ce rôle citoyen, précise le paneliste, le préalable est de s’inscrire sur les listes électorales.  Pour M Atangana, participer aux élections est important pour quatre raisons au moins. Elle permet de défendre notre existence et surtout de l’assumer. On doit participer aux élections parce qu’on a un seul pays ; la participation aux élections est une contribution à la défense de notre pays et de l’intégrité nationale. Et enfin participer aux élections  c’est aussi s’assurer que le pays s’occupe de nous.

 

 

Pour l’économiste Lucas Ayé, qui s’intéressait  aux rapports existant  entre les élections et le développement dans un pays, il a constaté que les élections et leur organisation sont à l’origine du sous développement de certains pays africains. Prenant l’exemple de la Côte d’Ivoire victime d’un conflit post électorale, il a montré comment celui-ci a contribué à ruiner le pays. Des centaines de personnes ont été assassinés, l’économie au ralentie pendant toute cette période ; ce qui n’est pas de nature à contribuer au développement.

 

Partant également du fait que ce sont les dirigeants choisis qui décident de la marche du pays et par conséquent de la politique de développement à appliquer, il a estimé que la participation aux élections est capitale pour tous. Car le vote peut être un châtiment pour des dirigeants qui ne font pas bien leur devoir.

 

A la question de savoir si  voter était encore important dans un pays comme le Cameroun, où le processus électoral est truqué et l’organe responsables de la supervision contesté ? M Atangana qui a d’ailleurs bénéficié d’une formation sur le processus électoral a rappelé à l’auditoire présent que le vote est un processus long qu’il faut suivre jusqu’à la fin.  Qu’Il ne suffit pas de jeter le bulletin dans l’urne, pour dire qu’on a voté. Mais, il faut aussi s’assurer après que, les bulletins ont été bien comptés, que les procès verbaux sont identiques, et que les règles régissant les élections ont scrupuleusement été respectées. Il faut également être près à recourir aux instances indiquées par la loi quand des erreurs électorales sont constatées. Bref, il faut être prêt à défendre son vote.

Après ces rappels, il a répondu par la affirmative, tout en expliquant que c’est parce que les citoyens camerounais ne sont pas suffisamment informés qu’ils pensent que voter dans ce pays est inutile.

 

Organisée à l’occasion de la 37ème édition de la  fête de l’unité nationale, qui s’est célébrée sous  le thème « armée camerounaise, creuset de l’unité nationale, socle des institutions stables et démocratiques, garant du développement socio-économique. », cette conférence vient mettre fin à une semaine d’activités qui a débuté par une séance d’investissement humain  dans ce quartier le 15 mai 2011.

 

Hervé Villard Njiélé

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20 mai 2011:Des Chaussures aux talons cassés défilent à Douala

22 Mai 2011, 21:32pm

Publié par hervy

 

L’une des curiosités du défilé du 20 mai à Douala  a été  le passage des défilants avec des chaussures aux talons cassés. Alors que l’on croyait que la scène ne se reproduirait plus après ce qui s’est passé l’an dernier (une défilante avait eu un déboitement de la cheville pendant le défilé). Une enseignante de surcroit s’est illustrée négativement.

 

Pendant la parade des établissements et plus particulièrement lors du passage du collège Saint Esprit pourtant très bien habillé, cette enseignante à eu de la peine à parcourir les deux cent mètres de marche prévus à cet effet. Ne pouvant sortir des rangs ni enlever sa chaussure elle a perturbé l’harmonie qui y avait dans ce groupe, décidé à remporté le prix réservé aux établissements qui se sont distingués durant le défilé. En lieu et place des pas cette dernière à passer le temps à traîner le pied pendant la parade. Elle ne respectait plus aucun rythme ni cadence.

 

Cette situation qui a donné un goût amer à cette fête, à sidérer Junior Kaparan, journaliste à Stv. Selon lui pour éviter que de tel acte se reproduise et perturbe l’harmonie une fête d’une aussi haute facture, il faudrait que de tel acte soit sanctionné par l’administration et  les responsables d’établissements.

 

Hervé Villard Njiélé

 

 

 

 

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20: mai 2011: le reporter de Hervevillard-over-blog.com sequestré par les agents du services des renseignements généraux

22 Mai 2011, 21:11pm

Publié par hervy

N’eût été l’intervention  énergique des militants du Social Democratic  Front,(Sdf), Hervé Villard   pour le blog hervevillard.over -blog.com  aurait terminé la fête de la réunification dans on ne sait quel geôle de la capitale économique du Cameroun.

Pendant  qu’il prenait les images de l’altercation qu’il y a eu entre les forces de l’ordre et les militants du  parti de la balance le 20 mai  à la place de l’Udeac, il  a été froissé  par un agent des renseignements généraux  non identifié. où.  Après avoir arraché l’appareil photo du reporter  l'agent en question l’a sommé de le suivre.

 heureusement pour lui, un responsable du parti de la balance, qui a vécu la scène, s’est immédiatement interposé.  C’est Après  de longues disputes  qui ont attiré l’attention des militants du Sdf venus à la rescousse que le reporter sera relâché et son appareil rendu.  Bernard Tchami venu en alerte après information à eu de la peine à retrouver la tribune des journalistes après la fin de l’incident. Il a fallu qu’il se laisse fouiller  par les éléments  des  forces de l’ordre qui avaient érigé une barrière de sécuriter  à cet endroit pour finalement regagner la tribune des reporters.

                                                                   Herve Villard Njiélé

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20 mai 2011: Les militants des partis politiques de l’opposition soumis à la fouille.

22 Mai 2011, 20:58pm

Publié par hervy

  

Après l’altercation qu’il y a eu entre les forces de l’ordre et les militants du sdf, les militants des autres partis politiques qui participaient au défilé étaient soumis à une fouille systématique. Les hommes les comme les femmes étaient soumis à cet acte qualifié « d’ignoble » par les spectateurs venus nombreux à ce défilé.  Il était question  pour les éléments des forces de l’ordre de s’assurer que les militants n’ont pas de tracts dissimulés sur eux.

Les poches de kabas,  des pantalons et chemises des militants étaient soigneusement fouillées par les bidasses rompus à la tâche.  Tous ceux qui portaient des sacs à main ou à dos étaient tout simplement  sortis des rangs sans une autre explication. Une attitude qui   a surpris les militants suscité le courroux de ces derniers plusieurs. «Je ne  sais pas pourquoi on m’a sorti des rang. Je n’ai rien fait et je n’ai rien à cacher dans  mon sac » affirme un militant  expulsé des rangs par les forces de l’ordre, en présentant sa sacoche qui contient  ses portables et quelques pièces de monnaie.  Celui-très courroucé de ne pas participer au défilé n’a pas digéré sa colère. « Ces gens là se prennent pour qui ? On n’est venu les voir ici ? On n’est  plus libre de défilé dans son pays ? » a- fulminé le militant avant d’ajouter : « ça va finir un jour ».  Comme lui, plusieurs autres personnes y compris des mamans  ont subi le même sors

                                                  Hervé Villard Njiélé

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