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Le blog de Hervé Villard Njiélé

Patrice Beling Nkoumba :La santé de tous les étudiants qui prennent part aux jeux universitaires nous préoccupe

30 Mai 2014, 15:47pm

Publié par Hervé Villard

Patrice Beling Nkoumba :La santé de tous les étudiants qui prennent part aux jeux universitaires nous préoccupe

Rencontré à l’université de Douala, lieu où se déroule la 17ème édition des jeux universitaires, Patrice Beling Nkoumba secrétaire général de la fédération nationale des sports universitaires (Fenasu) revient sur les cas d’intoxications alimentaires observés à l’université de Douala durant ces jeux. Dans une interview accordée à La Nouvelle Expression, il revient également sur les cas d’injustices dénoncés par le recteur de l’Université de Yaoundé1 lors des finales de Judo.

Le recteur de l’université de Yaoundé 1 dénonce une  forme d’injustice contre les athlètes de son établissement que pensez-vous de cela en tant que responsable de l’organisation?

 Chacun à son niveau ne fait que son travail. Les jeux sont organisés  pour permettre à chacun d’exprimer son potentiel. Et, C’est celui qui est le mieux préparé qui va pouvoir gagner. Et par conséquent, les juges et les arbitres sont là pour faire leur travail et ils ont prêtés serment. Je pense qu’ils sont en train de faire leur travail. Et si d’aventure, nous remarquons dans leurs comportements de  l’impartialité, nous seront obligés de les sanctionner. Puisque l’objectif des jeux c’est que, tout se déroule dans  le cadre le plus meilleur possible.

Que dites vous des cas de favoritisme dénoncés par les responsables de l’université de yaoundé1 ?

Nous n’avons pas encore été saisis. Parce qu’il est impossible que dans un match ou dans une compétition une équipe estime qu’elle a été lésée. Mais, quand les hommes font des réserves, nous ne pouvons pas agir quand nous n’avons pas été saisis.

On a relevé des cas d’ingestions durant ces jeux et cela concernait les étudiants de l’université de Yaoundé1. Quand est-il exactement ?

Ça ne concerne pas seulement les étudiants de l’université de Yaoundé1. Pourquoi se focaliser seulement sur le cas des étudiants de l’université de Yaoundé1. Ça peut également concerner toutes les autres universités qui participent aux jeux. La santé de tous les étudiants qui prennent part aux jeux universitaires nous préoccupe autant que ceux de Yaoundé1. Il y a une commission d’organisation locale qui s’occupe de ce genre de situation. C'est-à-dire l’organisation de Douala. Et, les médecins sont à pied d’œuvres pour résoudre ce genre de chose.

Est ce que cela signifie qu’il n’ya pas d’inquiétude ?

Il n’ya pas encore de cas alarmant jusqu’à présent.

Les responsables déclarent que cela déteint sur les jeux ?

Ça dépend de quel coté on se place. Parfois, on est bien placé, c'est-à-dire au coté de ceux qui critiquent. Vous savez quand on est organisateur, on doit donner le meilleur de soi. Et la seule motivation qu’on a c’est que les jeux se déroulent bien.

Est-ce que ce problème de diarrhées ne met pas en mal la commission culinaire ?

Il existe une commission qualité au sein de l’université de Douala. Et elle a pour devoir de faire toutes les investigations nécessaires pour ce genre de chose. C’est à elle de répondre à la question.

Que comptez-vous faire pour que ce genre de chose ne se reproduise plus ?

Les autorités sont déjà alertées. Et c’est sûr qu’elles sont  déjà en train de faire ce qui est de leur devoir.

Réalisée par Hervé Villard Njiélé

 

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Jeux universitaires de Douala: 17 cas de diarrhées déjà enregistrés

30 Mai 2014, 15:41pm

Publié par Hervé Villard

Jeux universitaires de Douala:  17 cas de diarrhées déjà enregistrés

Les responsables de l’université de Yaoundé1 victime, parlent d’une intoxication alimentaire due à la qualité des repas consommés par leurs athlètes.

S’il y a un fait qui est venu entacher la 17ème édition des  jeux universitaires qui se tiennent depuis le 3 mai 2014 dans les deux campus de l’université de Douala, c’est bel et bien ce scandale autour de la restauration des étudiants  et surtout de la qualité des repas servis à ces derniers depuis le début des jeux.   Selon des informations publiées par les responsables de l’université mère du Cameroun, 17  cas de gastro-entérites  viennent d’être signalés au sein de  l’effectif de leurs athlètes. D’après ces derniers,  onze cas ont été observés mardi 6 mai 2014 dernier et six autres cas hier mercredi 7 mai. Ce qui porte à dix sept le nombre de victimes observés dans leur rang jusqu’à présent.

 

 Dans un message porté à l’attention du président de la fédération nationale de sport universitaire, le Pr Paul Henri Amvam Zollo, le Pr Aurelien Sosso recteur et chef de la délégation de l’université de Yaoundé1 au 17ème jeu universitaire de Douala, évoque un probable cas d’intoxication alimentaire. Il demande pareillement au comité d’organisation des jeux de prendre des mesures afin que cela ne se reproduise plus. Il propose par exemple  que les repas soient pris en un lieu unique pour toutes les délégations.

 

Même si jusqu’à présent, aucun cas grave n’a été signalé du coté des athlètes ayant été victimes de ce malaise, les responsables pensent que cela aurait déteint un peu sur la performance de ces derniers. «Car, au top de leur forme, ils auraient certainement fait un rendement meilleur», regrettent ces derniers en dénonçant les conditions d’alimentation des étudiants au jeu. «Les étudiants mangent le haricot, le riz tous les jours. On s’interroge même sur les conditions de préparations de ce repas», déclare tout furieux l’un des encadreurs. «Moi aussi j’ai subit cela. Mais, je pense que c’est d’avantage lié à un changement climatique. Et puis, quand on part d’une ville à un autre, cela peu arriver. Mais jusqu’à présent il n’ya encore rien de grave. Ils ont pris des médicaments et ça va », rassure ce membre de la délégation de yaoundé1. Pour ce dernier,  les compétiteurs de la délégation de Yaoundé1 sont assez aguerris pour surmonter ce genre de situation. «Quand on est compétiteur, on s’attend à tout genre de situation. Nous continuons de travailler», déclare-t-il.

 

Injustices

Toujours au sujet de ces jeux, l’université de Yaoundé 1 déjà affaibli par les cas de crise de gastro anthérite qu’il y a eu au sein de sa délégation, dénonce pareillement les nombreux cas injustices qui entachent les jeux et les empêchent de glaner les médailles. Selon la lettre que le Pr Aurelien Sosso, recteur et chef de la délégation de l’université de Yaoundé1 au 17ème jeux universitaires de Douala a envoyée au président de la fédération nationale de sport universitaire, le Pr Paul Henri Amvam Zollo, pour dénoncer le dysfonctionnement  et l’injustice observés pendant l’arbitrage des rencontres de Judo, tous ses athlètes sinon la majorité ont subi les foudres des arbitres. Il dénonce en passant le fait que les trois finales de judo aient été dirigées par le même trio arbitral, le 5 mai dernier. Il dénonce pareillement l’absence de l’expert de la commission de Judo, maitre Tanekeu à ces finales pour ne citer que ces cas. Celui-ci a d’ailleurs à la suite de son courrier, menacé de quitter les jeux si  les choses ne changeaient.

Rencontré, les responsables de la commission d’organisation assurent avoir tout mis sur pied  pour que tout se passe bien. Il pense pareillement que les plaintes en compétition ne sont que normales. Selon ces  derniers, il n’ya rien d’alarmant jusqu’à présent. Et, toutes les commissions travaillent d’arrache pied pour que tout marche bien Affirme  Patrice Beling Nkoumba, le secrétaire général de la Fenasu. Pour l’instant, l’université de Yaoundé est toujours dans la compétition et les jeux se poursuivent.

Hervé Villard Njiélé.

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Jeux universitaires 2014: Les cop’s contre le Sida

30 Mai 2014, 14:58pm

Publié par Hervé Villard

Ces derniers participent activement à la campagne de dépistage du  Vih-Sida depuis le lancement de la 17èmeédition des jeux universitaires qui se tient à Douala depuis le 3 mai 2014.

 

http://76crimes.files.wordpress.com/2012/08/act.jpg

« Tous se passe bien. Il y a des jeunes qui viennent nombreux  se faire dépister. C’est parfois nous qui les renvoyons au moment de quitter nos stands le soir. Ils sont vraiment intéressés. Pour ne pas vous mentir, le message de la sensibilisation passe et très bien d’ailleurs.» Cette déclaration est de  François  Ndombel Nloga, pair éducateur en service dans le stand du centre national de lutte contre le Sida dressé au campus un de l’université de Douala à l’occasion de la 17ème édition des jeux universitaires 2014.

 Chargé de l’accueil et de l’enregistrement de tous ceux qui veulent connaitre leur statut sérologique, il fait savoir que l’affluence est au rendez-vous. «le dépistage est volontaire. C’est chaque jeune ou étudiant qui vient se faire dépister et de  manière consciencieuse. On oblige personne », poursuit-il en s’occupant des étudiants qui affluent à son poste de travail.

Tout près de lui, Miriam Tsopkeng est toute concentrée. Accompagnée de l’une de ses collègues pairs éducateurs comme elle, toutes les deux s’emploient à recevoir les centaines d’étudiants qui arrivent par flux pour se faire dépister. Elles n’ont pas le temps de répondre aux questions. Car, entre enregistrer le jeune, lui faire remplir la fiche d’enquête  qui porte sur la lutte contre le Vih-Sida et remettre à ce dernier un tube  qui servira au prélèvement de sang, il faut beaucoup de concentration. Car, la moindre confusion de n° d’identification est fatale. «Si on confond  les numéros au niveau de l’enregistrement, on risque de confondre les résultats après le test et remettre à l’un les résultats du test de l’autre. Et, si celui qui est infecté ne reçoit pas son résultat réel, il risque contribuer à propager la maladie», nous explique un médecin spécialiste assis tout près.

 Pour se faire dépister à l’université de Douala dans l’un des stands aménagés dans ce campus, la procédure est simple. Il faut d’abord se faire enregistrer à l’accueil, remplir une fiche d’enquête anonyme  disponible à cet endroit. Après qu’un numéro de code vous est attribué, on vous remet un tube et on  vous envoie au second stand où se font les prélèvements du sang en vue des examens. En réalité, le processus est simplifié parce que tous les responsables sont sur place  y compris les laborantins qui  font les études sérologiques. Ils sont tous installés sous les tentes dressées dans les deux campus.

Un test de dépistage en 45min

 Le fait d’être regroupé sous la même tente et en plein air ne pose aucun problème de fiabilité des résultats de ce test de dépistage gratuit. Tout se passe bien et il n’y a pas de risque d’attribuer le résultat de l’un à l’autre. «Il n’y a pas de risque de confusion de fiche. Parce que ce sont les professionnels qui sont là. Je fais ce métier depuis plusieurs années», rassure le laborantin visiblement concentré. «On a tout le matériel pour bien faire ce test ici. Quand les tubes finissent, on amène les autres», déclare-t-il tout confiant, avant d’ajouter que les étudiants qui se soumettent au test de dépistage gratuit ont 45 minutes pour connaitre leur statut sérologique.

Dans le stand, c’est une file interminable d’étudiants et de jeunes qui s‘avancent vers les bureaux d’accueil, et de prélèvement de sang. Ces derniers très enthousiastes, ne manquent pas de donner les mobiles de leur motivation. «Je veux juste savoir mon statut sérologique. Aujourd’hui, on ne doit plus avoir peur de faire le test de dépistage du Vih. Surtout que c’est important de connaitre son statut sérologique. Puisque, le Sida fait des ravages  dans le monde entier», déclare Yanick Ymélé, étudiant de Douala Institute of technologie. Les deux stands aménagés au campus 1 et 2 de l’université de Douala depuis lundi 5 mai 2014  font leur plein d’œuf tous les jours.

Selon les informations, plus de 2000 jeunes se seraient déjà fait dépister durant  le début des jeux. Organisée par la commission nationale de lutte contre le sida (Cnls) en partenariat avec le ministère de la Santé publique et le centre médicaux-social de l’université de Douala, cette campagne vise à lutter contre la propagation du Vih dans le campus. Les étudiants sont pareillement édifiés sur l’usage du préservatif féminin. Une campagne gratuite de dépistage de l’hépatite y est pareillement organisée.

 

Hervé Villard Njiélé

 

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Enseignement secondaire:Emile Yomkil prend les commandes dans le Littoral

30 Mai 2014, 14:33pm

Publié par Hervé Villard

Le nouveau délégué régional des enseignements secondaires pour le Littoral a été installé dans ses nouvelles fonctions vendredi 16 mai 2014 par Ludovic Étienne, Ngbwa représentant le gouverneur de la région empêché

 Le sourire qui illuminait le visage d’Émile Yomkil, ce vendredi 16 mai 2014  traduit à suffisance le sentiment de joie qui l’anime. Au coté de son épouse  qui tenait en main un bouquet de fleur  que venait de lui remettre un de ses meilleurs amis, il était tout heureux. La présence de ses collègues  de service, des membres de sa famille, des amis et pleins d’autres personnes venus lui apporter leur soutien et lui adresser leurs encouragements lui a donné un boum au cœur.  Il était pratiquement heureux. «Je suis un homme comblé et je remercie tous ceux qui m’ont aidé dans ce sens là. Et précisément le ministre de l’enseignement secondaire qui m’a fait cette confiance. J’ai un sentiment de lourde responsabilité et je  crois que je dois résolument me mettre au travail pour mériter la confiance qui a été  mise en ma modeste personne», déclare-t-il tout joyeux.

 

 La joie qui anime Émile Yomkil est d’autant plus grande parce qu’il vient  d’être Installé comme  délégué régional des enseignements secondaires pour le Littoral par le secrétaire général du service du gouverneur de la région du Littoral.  Il  remplace ainsi à ce poste Guillaume Hondt.  Délégué départemental des  enseignements secondaires pour la  Sanaga Maritime, où il a exercé pendant plus de dix ans, Emile Yomkil a été nommé par le ministre des enseignements secondaire, délégué régional des enseignements secondaires pour le Littoral le 11 mars 2014

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Pendant son installation à la salle des banquets de la région, Ludovic Étienne Ngbwa, le représentant du gouverneur de la région du littoral lui a rappelé ses nombreuses missions. Parmi cette liste non exhaustive, il a été demandé au nouveau délégué des enseignements secondaires pour le Littoral, de faire des élèves de la région des véritables vecteurs de développement pour un Cameroun émergent à l’horizon 2035. Entre autres missions, le nouveau délégué  a été sommé de rechercher des moyens  pour une éducation de qualité dans la région, pour un résultat escompté. De rechercher des stratégies de formation pratique, pour une gestion qualitative de l’éducation  dans la région du Littoral.  Et surtout de construire une base de données fiable et faire la promotion de l’éducation à l’excellence dans le Littoral.

 

Portrait

Né en 1956 dans le département de la Sanaga Maritime, Émile Yomkil est titulaire d’une licence en lettre bilingue. Il est pareillement titulaire d’un Dipes2 obtenu à l’Ecole Normale supérieure de Yaoundé. Marié, il est père de deux enfants. Professeur et animateur pédagogique, le nouveau  délégué régional des enseignements secondaires pour le Littoral est pareillement chef traditionnelle de troisième degré dans la Sanaga maritime. Avant sa nomination à la tête de la région, il était délégué départemental des enseignements  secondaires pour la Sanaga Maritime. Après son installation officielle, celui qui est promu délégué régional après environs trente un ans de service a  reçu séance tenante une bénédiction de ses pairs chefs traditionnels.

 

Hervé Villard Njiélé

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Incendie au Port autonome de Douala: Le bureau de recouvrement carbonisé

30 Mai 2014, 14:20pm

Publié par Hervé Villard

Incendie au Port autonome de Douala: Le bureau de recouvrement  carbonisé

Le feu qui a consumé ces bureaux s’est déclaré très tôt dans la matinée du jeudi 22mai 2014 aux environs de 7h

 Les employés du service du recouvrement du Port Autonome de Douala  ont passé une journée blanche ce jeudi 22 mai 2014.  Jusqu’à 10h  hier, personne d’entre eux  n’avait accès à son bureau. Ceci  à cause de  l’incendie qui s’est déclaré très tôt ce jeudi 22 mai 2014 dans ce service, poumons du Port Autonome de Douala. 

 

 En effet, selon des informations, un incendie meurtrier s’est déclaré dans  les bureaux du recouvrement du Port autonome de Douala aux environs de 6h 30 alors que les premiers employés de cette structure portuaire s’apprêtaient à regagner leur bureau.  Le feu donc l’origine reste inconnue jusqu’à présent a dans son élan, dévoré tout ce qui se trouvait  sur son chemin.  Ainsi, les factures, les souches de factures  et d’autres documents importants ont été brûlés par cet incendie qui était sans pitié pour les occupants de ces  bureaux. Les flammes  vont ainsi  consumer les bureaux du chef service de recouvrement, la brigade de recouvrement  et les bureaux de madame Mbella en service au Port Autonome de Douala de même que des matériels de bureaux se trouvant en ce lieu. C’et l’intervention rapide des sapeurs pompiers alertés qui va permettre de circonscrire les flammes qui s’apprêtaient déjà à attaquer les services de facturation et de marketing situés juste en face. «Aucun employé n’était encore là quand cela s’est produit. Ce sont les riverains qui ont aperçu le fumé sortant des bureaux  en feu qui ont alertés les responsables du Port Autonome de Douala et les sapeurs pompiers qui sont aussitôt arrivés » déclare un riverain témoin de la scène.

 

Au Port Autonome de Douala hier aux environs de 10h, l’air sens le brulé. Un camion citerne des sapeurs pompiers  est immobilisé dans la cour. A coté, une demi-douzaine de sapeurs pompiers visiblement fatigués, discutent. Le rez-de-chaussée de l’immeuble est mouillé par les eaux ayant permis de stopper les flammes. Les usagers qui vont dans d’autres services sont obligés de sauter ou de marcher sur la pointe des pieds pour ne pas mouiller leurs chaussures. Les escaliers  qui mènent au 10ème étage, sont  également mouillés. Malgré l’effort du service de nettoyage, ces eaux sales continuent de couler. Au bureau de recouvrement lieu où s’est déroulé l’incendie, impossible d’y avoir accès. La zone est quadrillée par les éléments de la gendarmerie du Port  qui mènent l’enquête. Selon le vigile en faction ici, les éléments du commissariat du Port Autonome de Douala étaient également sur les lieux. Pour l’instant impossible d’apprécier les dégâts et les pertes causées par cet incendie. Seule l’enquête ouverte pourra permettre d’en savoir plus.

 

Hervé Villard Njiélé.

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Ligue1 : Apejes de Mfou éteint Dac 2000

30 Mai 2014, 14:01pm

Publié par Hervé Villard

Ligue1 : Apejes de Mfou éteint Dac 2000

Le club de Yaoundé a battu  celui de Douala par un but à zéro. C’était lors de la rencontre comptant pour la 20ème journée  de la Ligue1 qui s’est jouée au stade de la réunification de Bépanda ce dimanche 25 mai 2014.

 

 

La joie des poulains de Bertin Djiepnang, le coach d’Apejes de Mfou, était débordante ce dimanche après midi. Avant que le dernier coup de sifflet mettant fin à la rencontre qui les opposait à Dac 2000 ne retentisse, ces derniers  sautaient déjà de joie et se félicitaient mutuellement.  Leur joie était aussi grande parce qu’ils ont gagné leur premier matche de la phase retour du championnat  et surtout parce que cette  victoire était à l’arrachée. Après avoir été dominé sur tous les compartiments de jeu durant cette rencontre par Dac 2000, leur adversaire du jour, ils ont réussi à inscrire  à la fin de la rencontre, la seule occasion de but qu’ils ont créé. Sur un ballon perdu au milieu de terrain par  Douala Athlétic Club,  Olih  jacques qui le récupère, met dans le vent toute la ligne défensive de Dac 2000 et sert  Tako Noué bien positionné dans la surface de réparation. Celui-ci, d’un plat de pied, pousse le cuir au fond des filets (89éme). C’est sur ce score que cette rencontre va s’achever. Et Apejes va empocher les trois points de cette 20ème journée. Des points qui vont lui permettre d’améliorer son classement et de se rapprocher du titre de leader.

Du coté de Dac, C’est la déception totale, après  avoir dominé toute  la rencontre,  les poulains de Gabriel Zabo, n’ont pas pu inscrire le moindre but. Ils ont raté toutes les occasions de but qu’ils ont créé. Une chose qui ne laisse pas indifférent leur entraineur. Celui-ci, dénonce  l’inexpérience de ses poulains. «Ce qui est énervant c’est que dans un match comme celui-là où le match nul devait être considéré comme une défaite, on le perd aussi facilement. Je dirai  que c’est ça le football. On prend un but parce qu’on a  perdu un latéral qui s’est fait mal. J’ai demandé au gars de jouer bas en attendant qu’il revienne. Mais hélas. Seulement, avant qu’Apejes ne marque ce but, on aurait déjà du mener par trois, quatre cinq, voir même six but à zéro.  Mais, on ne l’a pas fait. Et sur l’une des rares occasions qu’ils se sont créé, ils on marqué. C’est aussi ça la vérité du football», déclare Gabriel Zabo tout fâché.

Dans  les autres rencontres de cette 20ème journée du championnat national, Fovu de Baham a contraint Bonaventure Djonkep et New-star de Douala au partage des points de cette journée. L’équipe des rochers sacrés  réalisé un match nul et vierge (0-0) contre New-stars de Douala.

A Bafang, Unisport du Haut-Nkam qui recevait Les Astres de Douala a largement dominé son adversaire du jour (2-0). Les Astres de Douala conduit par Clément Nzéko et le coach Towa n’ont pas pu faire mieux que de subir la fureur de «Flambeau Tamkwoua» encore sous le choc de la défaite que lui a infligé scorpion de Bé (0-1) la semaine dernière. Cette victoire permet à l’équipe du Haut-Nkam qui totalise désormais 38points au marquoir, de conforter sa position de leader et surtout de distancer ses concurrents immédiats.  Sable de Batie qui recevait Ums de Loum à Bafang a battu l’équipe de Pierre Kouémo, maire de cette ville (1-0).

A Bafia, Cosmos a  neutralisé Canon de Yaoundé (2-0) tandis que Panthère de Bangangté contraignait Tonnerre de Yaoundé au partage des points (0-0). En match avancé, il faut noter qu’Union avait battu scorpion de Bé à Garoua par un but à zéro. Quant aux autres rencontres  à savoir Coton- Bamboutos et Renaissance-Njalla Quan, ils ont été renvoyées parce que Coton jouait la coupe de la Caf ce dimanche après midi et  à cause du décès du  président de Renaissance de Ngoumou.

 

Hervé Villard Njiélé

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Cameroun: Paul Biya parmi les 16 chefs d’Etat agonisants du monde

30 Mai 2014, 13:54pm

Publié par Hervé Villard

Cameroun: Paul Biya parmi les 16 chefs d’Etat agonisants du monde

Selon le journal américain The Huffington, le président de la République Paul Biya fait partie des dictateurs de la planète malade qui vont bientôt mourir.

L’information  qui parait anodine au départ est pourtant vraie. Le nom du président de la république du Cameroun Paul Biya  figure bel et bien dans la liste des présidents de la planète terre qualifiés de dictateurs  et donc le décès n’est plus loin.  Cette information a été publiée par le  journal Américain The  Huffington Post et repris par plusieurs autres sites internet présents sur la toile.

Selon le journal américain en ligne qui  publie cette information, l’intérêt n’est nullement de nuire. Mais, de permettre aux gouvernements des puissantes nations d’anticiper sur la mort des dictateurs et de miser sur des remplaçants potentiels pour garantir leurs intérêts.  

Selon des informations, The Huffington Post s’est inspiré d’une liste que l’organisation mondiale de la santé (Oms) a mise sur pied pour produire la liste de ces chefs d’Etat croulants.  Au nombre de seize au total ces  chefs d’Etat cités ont en commun, leur longévité au pouvoir, leur vieillesse, la dictature et le fait qu’ils sont tous malades.

 L’Afrique se taille la part du Lion

Des seize chefs d’Etat de la planète qui  vont bientôt mourir selon The Huffington Post, la majorité se trouve en Afrique. Le continent africain se taille la part du Lion dans ce classement avec sept chefs d’Etat sur les 16 annoncés.  Parmi ces derniers, on compte  Paul Biya du Cameroun au pouvoir depuis 1982. Le site d’information américain  qui s’est d’ailleurs trompé sur l’âge du président de la république déclare que  Paul Biya a plutôt  79ans au lieu de 81ans  comme il en est exactement.  Il est suivi par Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, président de la  Guinée équatoriale. Au pouvoir depuis 1979  il est aujourd’hui âgé de 71 ans. Denis Sassou Nguesso, le président du Congo-Brazzaville  figure aussi dans cette liste. Ayant accédé au pouvoir  à deux reprises, c'est-à-dire de 1979 à 1992  puis en 1997,  il y est toujours  malgré son âge avancé. 71 ans. José Eduardo dos Santos de  l’Angola y est également. Au pouvoir depuis 1879, il est âgé de 70 ans.   Dans la suite de cette liste se compte  le président Ougandais Yoweri Kaguta Museveni,  qui est  pouvoir depuis 1986, le président Ouattara de la République de Cote d’Ivoire, au pouvoir depuis 2011, et âgé de 70 ans. Robert Mugabe de la  Zimbabwe vient sceller ce tableau. Agée de  88 ans, il est au pouvoir  depuis 1987.

Dans la suite de cette liste, on note la présence de Abdullah Bin Abdul-Aziz Al Saud,  d’Arabie Saoudite au pouvoir depuis 2005 et  âgé de 88 ans, Qaboos Bin Said Al Said de la république d’Oman, 73 ans, au pouvoir depuis 1970,  de Raúl Castro président du Cuba qui a 81ans au pouvoir depuis 2006, d Ali Hosseini-Khamenei de l’Iran avec 73ans et au pouvoir depuis 1989, de Jaber Al Hamad Al Sabah du Koweit  83ans ,au pouvoir depuis 2006, Noursoultan Nazarbaïev , président  du  Kazakhstan au pouvoir depuis 1990,et âgé de 72 ans, Ratu Epeli Nailatikau  du Fidji âgé de71 ans, Tony Tan Keng Yam  du Singapour ,au pouvoir depuis 2011et âgé de  72 ans, et de Choummaly Sayasone de l’Etat du Laos  âgé de 76 ans.

 

Hervé Villard Njiélé

 

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Décentralisation: L’Allemagne vole au secours du Cameroun

30 Mai 2014, 13:03pm

Publié par Hervé Villard

Le pays de la chancelière Angela  Meckel vient d’octroyer près de 57 milliards  de Fcfa  au gouvernement camerounais pour soutenir ce processus qui tarde à être effectif.

 

http://www.cameroun24.net/images/news/paul_biya_angela_merkel670.jpg

Proclamée par la loi constitutionnelle du 18 Juin 1996, le processus de  décentralisation engagée au Cameroun peine à trouver ses marques. Il n’est pas encore ancré dans les mœurs des responsables de collectivité décentralisées, malgré les efforts que  fournit le gouvernement chaque jour. Si l’on peu déclaré que le processus est en cours  avec la création du Feicom et la distribution au commune de la région du Sud et de l’Est, les retombées des fruits de l’exploitation du bois, il n’en demeure pas moins  que des efforts doivent être conjugués pour que  les résultats de cette décentralisation soit visible dans toutes les contrés du pays.

Pour donc faciliter cela et rendre la décentralisation au Cameroun visible,  la République fédérale Allemande a signé le week-end dernier des accords de financements avec le gouvernement camerounais pour booster ce processus. Selon  l’agence Pana Press qui  rend public cette information, les accords de financement ont été signés le week-end  dernier par le ministre camerounais de l’Economie, Emmanuel Nganou Djoumessi et l’ambassadeur d’Allemagne au Cameroun, Klaus-Ludwig Keferstein. D’après les termes de l’accord, la République fédérale d’Allemagne va soutenir  le processus de Décentralisation en cours au Cameroun, ainsi que le développement local à hauteur de 86,5 millions d’euros, soit environ 56,7 milliards Fcfa, sur une  période  de deux ans (2014-2016).


Ces accords de financement paraphés entre les deux pays, à en croire le ministère camerounais de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire, Emmanuel Nganou Djoumessi, comportent un don de 38,5 millions d’euros, soit 25,2 milliards FCFA, et un prêt de 48 millions d’euros, soit 31,5 milliards FCFA. Il faut dire en passant que, ce n’est pas la première fois que l'Allemagne vole au secours du Cameroun. Pour le compte de la triennale 2011-2013, la République fédérale d’Allemagne avait déjà débloqué en faveur du gouvernement camerounais environ 99,5 milliards FCFA, au titre de l’Aide publique au développement, enveloppe qui a été revue à la hausse de 11 pour cent en 2014-2016 pour un montant de 110 milliards FCFA.

En avril dernier, l’Agence de développement et de coopération allemande (Kfw) a octroyé un financement de 10 milliards FCFA, disposés pour 16 communes camerounaises, dans le cadre du «Programme de décentralisation villes moyennes (Pvdm) et le Fonds d’équipement intercommunal (Feicom)».

D’après, l’ambassadeur de l’Allemagne au Cameroun, Klaus- Ludwig Keferstein,  engagé dans ce processus, la sollicitude de son pays est la résultante des négociations intergouvernementales entre les deux pays entamées en 2013.  L’on annonce d’ailleurs de nouveaux appuis financiers de la République fédérale d’Allemagne en faveur du Cameroun dans le cadre du développement rural, en plus du financement du processus de Décentralisation, de la santé et de la gouvernance, les domaines traditionnels dans lesquels la coopération Cameroun-Allemagne est implémentée ces dernières années.

A titre de rappel, il faut dire que L’enjeu majeur de la décentralisation est de promouvoir le développement durable en impliquant les populations de la base à la gestion de leurs affaires. Il s’agit d’aller bien au-delà de ce que l’institution communale permettait de faire jusque-là. Et oser franchir le pas décisif d’une grande responsabilisation des populations. Une incitation à prendre des initiatives au plan local et de s’investir dans la recherche des solutions idoines aux problèmes locaux

 

Hervé Villard Njiélé

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L’Eec vole au secours de l’environnement.

30 Mai 2014, 12:13pm

Publié par Hervé Villard

 A Travers les actions de reboisement engagé dans ses différentes régions synodales, l’Eglise Evangélique du Cameroun entend limiter les actions du gaz à effet de serre.

 

 

Amener  le monde entier à lutter contre la destruction de la couche d’ozone, pousser ces derniers à lutter contre tout processus de destruction de l’environnement, notre cadre de vie. Mieux encore amener  les chrétiens  et le monde entier à prendre conscience que l’environnement est devenu folle et qu’il faut poser des actes allant dans le sens de sa protection. Voilà entre autres les missions que s’est assigné l’Eglise Evangélique du Cameroun depuis quelques  années.

Consciente  du fait que Jésus  Christ ne prêchait pas seulement l’Evangile de la Vérité, qu’il ne sauvait pas seulement des vies, mais qu’il posait  aussi des actes concrets en enseignant et guérissant les malades, l’EEC en plus de sauver les âmes  à travers les missions d’évangélisation s’est pareillement porté garante de sauver la terre, milieu de vie des hommes.

Pour joindre l’acte à la parole, les responsables de cette congrégation ont lancé depuis plusieurs années déjà, l’opération «Grow with tree» ou encore  « un enfant un arbre »  dans la région du Moungo Nord plus précisément à Ntolo. Dans ce grand orphelinat qui existe ici et sur la supervision d  la directrice de la Diaconie, Mme Josette Fossuo, les responsables de cet orphelinat initie les enfants à la protection de la nature en donnant à chacun d’entre eux  un arbre à planter chaque année.

Selon les responsables de cette congrégation religieuse, avec le projet «grow with tree», chaque enfant qui plante un arbre a le droit de le surveiller et surtout de veiller sur sa bonne santé et sa croissance jusqu’à sa sortie de l’orphelinat ou de l’école. Ainsi, pendant que  l’enfant grandit,  son arbre aussi fait pareil.

 D’après Josette Fossuo directrice de la diaconie à l’Eec, cette initiative a déjà permis à l’Eglise évangélique du Cameroun  de créer une réserve d’arbre fruitier important dans la localité  de Ntolo où se trouve l’orphelinat de  l’église. Pour y parvenir à la création de cette  réserve d’arbre, l’église prend la peine de créer des pépinières  d’arbres en disparition tel le kolatier, le fruit noir et autres arbres importants encore.

A coté de cette initiative qui prend progressivement corps et qui est copiée par les autres régions synodales, l’église d’après ses responsables, ne cesse de sensibiliser sur ce sujet.  Elle procède pareillement par des plaidoyers sur les questions de reboisement pour atteindre le maximum de personnes. Le 7 décembre de chaque année à l’occasion de la  journée d’action de la jeunesse des jeunes  chrétiens de l’Eec  sensibilisent sur la protection de l’environnement.

 

Hervé Villard Njiélé

 Une savane en perdition fruit de la dstruction de la couche d'ozone par l'action des hommes

Une savane en perdition fruit de la dstruction de la couche d'ozone par l'action des hommes

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Lutte contre l’ulcère Buruli: Le club Croix rouge de l’Insam passe à l’action

30 Mai 2014, 12:02pm

Publié par Hervé Villard

A l’occasion d’une campagne de lutte contre l’ulcère de buruli  organisée dans le campus de l’Insam, cette association avec l’appui de Médecins sans Frontière ont sensibilisé ont sensibilisé les étudiants et les riverains sur cette maladie encore ignorée.

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 «L’ulcère de Buruli est une maladie qui n’est pas connue. Et, nous voulons non seulement  la faire connaitre mais aussi et surtout susciter de l’émulation au niveau de la prise en charge et du traitement de cette maladie ». Cette déclaration est de Luc bastide Mafo  président du club croix rouge de  l’institut universitaires et  stratégique  de l’Estuaire (Insam).   Engagé pour la lutte contre plusieurs maladies tropicales et la protection de la santé humaine,  le club croix rouge dont il préside aux destinées et les responsables de ce club ont sensibilisé tout l’établissement et les populations riveraines sur l’Ulcère de Buruli, une maladie chronique débilitante de la peau et des tissus mous, pouvant entraîner des déformations et des incapacités permanentes que tout le monde ne connait pas. Pour le faire,  le club croix rouge a invité les médecins et les responsables de l’Ong Medécins sans Frontière(Msf) pour parler de cette maladie.

 

Pendant les échanges qu’il y a eu entre les médecins et les étudiants, on a pu apprendre que  l’ulcère de Buruli est l’une des 17 maladies tropicales négligées qui  résulte de l’infection par Mycobacterium ulcerans, un micro-organisme appartenant à la famille des bactéries responsables de la tuberculose et de la lèpre. Cette maladie selon des informations est présente  dans 33 pays, situés dans des zones de climat tropical, subtropical et tempéré. Chaque année, 15 des 33 pays concernés par la maladie  dénoncent en moyenne  5000 et 6000 cas recensés et dont la moitié sont des enfants de moins de 15 ans.

 

Selon des informations  partagées avec tous ceux qui étaient présents à cette campagne, les spécialistes de l’ong Médecins sans frontière ont fait comprendre que, L’infection à l’ulcère de Buruli entraîne une destruction de la peau et des tissus mous avec des ulcérations étendues, en général sur les jambes ou sur les bras. Et que, faute d’un traitement précoce, les patients souffrent d’incapacités fonctionnelles sur le long terme. «Le diagnostic et le traitement précoces sont les seuls moyens pour réduire au maximum la morbidité et éviter les incapacités»,  apprend-on.

 

 Cette maladie d’après Laeticia Martin, responsable de la communication de Médécins Sans Frontière, «sept endroits plus précisément au Cameroun sont concernés par cette maladie. Et,  le district d’Akonolinga  est l’endroit le plus touché au Cameroun », déclare-t-elle avant d’ajouter que  le mode de contamination n’est pas toujours connu parce que les germes se trouvent dans la nature.   

Pour permettre aux étudiants d’éviter cette maladie et surtout de sensibiliser leurs proches, les médecins de l’Ong médecins  ont demandé aux étudiants de toujours laver les mains avant de manger et surtout de respecter les règles d’hygiène élémentaires.

 

Hervé Villard Njiélé.

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