Joseph Wamba Ngankou :«Ce sont les ennemis de l’Aigle tapis dans l’ombre qui ont produit cet acte »
Le blog de Hervé Villard Njiélé
Blog a caractère informatif éducatif et culturel qui vise la formation de tous ses lecteurs. Blog important à visiter. ce blog vous renseigne sur l'actualité camerounaise en générale et africaine.
Directeur général de l’Aigle de la Menoua, Joseph Wamba Ngankou revient sur l’incident qui s’est produit au stade de la réunification de Bépanda le 12 mai 2014. Dans une interview accordée à La nouvelle expression, il nie en bloc toutes accusations formuées contre les supporters de l’Aigle de Dschang. D’après celui qui développe plutôt la théorie du complot contre son club, aucun de ses supporters ne peut poser ce genre d’acte. Lisez plutôt !!!
On accuse les supporters de l’aigle de Dshang d’avoir jeté les projectiles sur l’arbitre Sylvain Bella aujourd’hui interné à l’hôpital du district de Deido. Quelle est votre réaction ?
Si quelqu’un accuse les supporters de l’Aigle de la Menoua c’est qu’il est malhonnête. Pour ceux qui étaient au stade. Au moment où l’arbitre a sifflé la fin de la première mi-temps, quand il s’apprêtait à entrer aux vestiaires, il était accompagné des joueurs et du staff technique de l’Aigle de la Menoua. C’est le joueur de l’aigle qui était visé. Il a seulement eu de la chance que cela ne l’atteigne pas. Et, c’est par malheur que ça a atteint l’arbitre qui était neutre. Lorsque l’arbitre chute, séance tenante, c’est le Kinésithérapeute de l’aigle qui se retourne et utilise le matériel médical de l’équipe pour le sauver et empêcher le saignement. Aucune presse n’a évoqué cela. Je prends à témoin, les deux autres juges de touche et le quatrième arbitre qui ont vécu cela. Vous pouvez également voir mon entraineur Alain Djeukam qui a suivi la scène pendant qu’il voulait au secours de cet arbitre puisqu’il saignait abondamment, son habit a été entièrement mouillé par le sang et il était obligé d’emprunter un autre habit pour sortir du stade de la réunification. Au moment où nous attendions que le corps des arbitres nous félicite pour avoir sauver un de leur collègue, il se précipite plutôt pour déclarer qu’ils ne vont plus arbitrer les rencontres de l’aigle de Dschang. Ce sont les ennemis de l’aigle de Dschang qui sont en train de monter des coups pour déstabiliser cette équipe. Quand des équipes viennent nous gagner à Dschang, nous escortons les arbitres et il n’y a pas d’incident. Vous croyez que c’est parce qu’on est mené (0-1) à Douala que nous allons décider de jeter les projectiles sur les arbitres ? Est-ce que c’est la première fois qu’on est mené à Douala. Nous avons joué contre matelots à Douala à la mi-temps on était mené (1-0) mais nous avons gagné la rencontre à la fin (2-1). Il n’avait donc aucune raison au monde pour pousser les supporters de l’Aigle à jeter les projectiles sur les officiels. Ce sont les ennemis de l’Aigle tapis dans l’ombre qui ont produit cet acte.
Maintenant que le président national de l’association camerounaise des arbitres de football pris des résolutions pour boycotter les rencontres de l’Aigle de la Menoua. Quelle est votre réaction.
Je ne suis pas un responsable de la ligue professionnel de football du Cameroun. Mon rôle s’est de mettre mon équipe à l’abri et de m’assurer que tout le monde va bien et de les présenter devant l’adversaire dans tous les stades où je suis appelé. Le reste là ne me concerne pas. Je ne suis pas là pour décider sur le sort des arbitres de football. Ce n’est pas moi qui les gère, je ne suis pas concerné par leur programmation.
Tous les arbitres sont ligués contre l’aigle de Dschang est ce que vous pensez que c’est un complot contre votre équipe ?
Ce ne sont pas les arbitres qui ont fait le complot. Ils ont seulement trouvé ce complot. Il était déjà là et est monté de toute pièce par les ennemies de cette équipe. Les gens ont comploté et ils sont tombés dans le piège de ce complot. Ce ne sont pas les arbitres qui ont lancé le projectile contre leur propre frère. Ce sont les ennemies de l’Aigle tapis dans l’ombre qui ont jeté les projectiles. Les arbitres sont seulement en train de consommer seulement le complot. Je constate une fois de plus qu’il y a la jalousie au Cameroun. Il faut que cela cesse. Ce n’est pas parce que l’Aigle de la Menoua est premier sans concurrent à la phase aller du championnat de première division qu’on va se liguer contre lui. Que les camerounais apprennent à être honnête avec eux-mêmes et que ce genre de complicité ne se répète plus. Qu’on laisse le football se jouer, qu’on laisse le meilleur gagner.
Réalisée par Hervé Villard Njiélé
Directeur de l’Hôpital du district de Deido, Dr Louis Joss Bitang revient sur l’état de santé de Sylvain Bella interné dans son hôpital. D’après le chirurgien qui rassure sur l’état de santé de l’arbitre de football, celui-ci déclare que l’arbitre avait perdu beaucoup de sang avant d’arriver à l’hôpital du district de Deido.
Dans quel était l’arbitre Sylvain Bella quand il est arrivé chez vous ?
Il va assez bien, il sort d’une intervention chirurgicale qui s’est déroulée hier (lundi 12 mai 2014Ndlr). Il présentait un hématome extra durale post traumatique. Cela signifie qu’il a reçu un gourdin sur la tête, il a saigné abondamment et le sang a coulé dans le cerveau. Ce qui mettait en jeu son pronostic vital. Après le scanner, ça a été décelé et toute suite il fallait passer à l’opération et ça s’est bien passé. Il est arrivé ici dans un état de choc hémorragique. Vous savez après le choc, il a beaucoup saigné au stade. La blessure était très profonde. Il a abondamment saigné. A l’urgence, on a d’abord arrêté l’hémorragie. On a fait le scanner pour déceler les anomalies.
Quel est son état actuellement ?
Il est encore en observation et on le surveille. Car, il faut qu’il se réveille normalement et qu’il retrouve sa lucidité. On espère seulement que tout va bien se passer. Son pronostic vital n’est pas mis en jeu. Il a un bon pronostic vital. Il suffit d’être vigilant et de surveiller son état et tout va rentrer dans l’ordre.
Combien de temps lui faut-il pour être sur pied ?
D’ici cinq à six jours ou une semaine, si tout fonctionne bien, il pourra être rétabli et pourra sortir de l’hôpital. Maintenant pour vaquer à ses occupations arbitrales, il lui faut un repos au moins d’un mois pour bien se rétablir. Il lui faut un certificat médical d’aptitude qui lui permet de reprendre ses activités.
Réalisée par Hervé Villard Njiélé
Sylvain Bella, militaire et arbitre de football est interné à l’hôpital du district de Deido depuis le 12 mai 2014 après midi. Il y a été conduit par les équipes de la croix rouge suite à un incident grave dont-il a été victime. En effet, à la fin de la première manche de la rencontre qui opposait Botafogo à l’équipe de l’Aigle de la Menoua, manche remportée par Botafogo par un but à zéro, l’arbitre centrale de cette rencontre a reçu une pierre sur la tête alors qu’il s’apprêtait à regagner dans les vestiaires. Selon des informations recueillies auprès de ceux qui ont vécu la scène, Sylvain Bella a été visé par un des supporters mécontent de son arbitrage.
Ne s’attendant pas de ce geste dangereux de la part des supporters furieux et massés à l’entrée des vestiaires, il a reçu se projectile sur la tête. Suite au choc de ce projectile qui n’était autre chose qu’une pierre, il s’est directement écroulé, perdu connaissance et beaucoup de sang. Ce sont les éléments de la croix rouge du stade de la Réunification appelés au secours et l’appui des kinésithérapeutes de l’Aigle de la Menoua que celui-ci sera conduit d’urgence à l’hôpital du district de Deido. Où, il a été pris en charge par les médecins de cet hôpital sous l’instruction Louis Joss à Bitang, directeur général de l’hôpital du district de Deido
«A la fin de la première manche du match Botafogo contre aigle de Dschang, je trainais encore sur le stade quand j’ai été appelée d’urgence par le photographe Lema. Il m’a fait comprendre qu’il y avait un arbitre en danger. Aussitôt arrivé, j’ai constaté que Sylvain Bella a le crane ouvert et qu’il saigne abondamment. Il a réçu un caillou sur le crane en amorçant les marches qui conduisent aux vestiaires. Il avait perdu connaissance. Nous avons pareillement constaté que sa blessure était profonde (5cm de profondeur). Nous l’avons directement conduit à l’hôpital du district de Deido pour la prise en charge » raconte, Bebe Aurore Ndongo secouriste du stade de la Réunification de Douala.
Admis sous soins intensif apprend on, l’état de l’arbitre s’est dégradé. Et, c’est après le scanner fait à l’hôpital général qu’on a décelé le mal.
En fait, Sylvain Bella, souffrait d’un hématome extra durale post traumatique. Selon Dr Louis joss Bitang qui l’a consulté, la victime a saigné abondamment et le sang a coulé dans le cerveau. Et, il fallait directement l’opérer pour lui sauver la vie. Avec l’appui de Claude Bernard Kamta neurochirurgien à l’hôpital général de Douala, l’opération qui a duré près de 2h30min va bien se dérouler.
A l’hôpital du district de Deido ce mercredi 14 mai 2014 aux environs de 13h, l’anxiété qui animait le visage des proches et amis de sylvain Bella s’est dissipée. Ces derniers sourient d’ailleurs en faisant des commentaires. «D’ici cinq à six jours ou une semaine, si tout fonctionne bien, il pourra être rétabli et pourra sortir de l’hôpital. Son pronostic vital n’est pas mis en jeu », rassure le Dr Louis joss Bitang très serein. Sylvain Bella quant à lui, est sous perfusion sur le lit n°4 de la salle d’hospitalisation des hommes. Sous perfusion, il dort abondamment. Sa femme Michelle venue lui rendre visite ne s’inquiète plus trop car, la vie de son mari selon le docteur est hors de danger.
Pour l’instant, les supporters ayant commis ce forfait n’ont pas encore été identifiés. Un doit accusateur est néanmoins porté sur les supporters de l’Aigle de la Menoua furieux de l’arbitrage de fait au courant de cette rencontre. Mais, cet argument est démenti par Joseph Wamba Ngankou, Directeur général de l’équipe de la Menoua qui évoque la thèse de complot contre son équipe. « C’est le joueur de l’aigle qui était visé. Il a seulement eu de la chance que cela ne l’atteigne pas. Et, c’est par malheur que ça a atteint l’arbitre qui était neutre. Lorsque l’arbitre chute, séance tenante, c’est le Kinésithérapeute de l’aigle qui se retourne et utilise le matériel médical de l’équipe pour le sauver et empêcher le saignement », déclare-t-il.
Informé de la situation, Gilbert Yankam, Prédisent national de l’association camerounaise des arbitres de football (Acaf) après une réunion de crise qui s’est tenue hier ont décidé de ne plus jour les matches de l’Aigle de Dschang jusqu’à nouvel avis. «Nous avons décidé que jusqu’à nouvel avis, il faut que nous cessons de diriger les matches de l’Aigle. Ceci pour donner une autre leçon à d’autres clubs qui doivent chercher à contrôler leurs équipes et surtout leurs supporters», déclare-t-il avec véhémence. En dehors de cette décision prise par les arbitres, la ligue professionnelle de football du Cameroun n’a encore pris aucune mesure. En dehors de condamner avec la dernière énergie, cette acte, le match qui s’est achevé à queue de poisson n’a pas encore été homologué. Tout le monde attend.
Hervé Villard Njiélé
La décision de boycott des rencontres de l’Aigle de Dschang à l’origine de cette crise qui oppose les deux responsables de l’association des arbitres.
L’agression de l’arbitre central Sylvain Bella au stade de la Réunification de Bépanda pendant la rencontre Botafogo contre Aigle de Dschang n’a pas encore fini de faire couler des encres et des salives. Alors qu’il est encore interné à l’hôpital du district de Deido où il suit des soins intensifs, les responsables de l’association à laquelle il appartient ne s’entendent pas sur la sanction à infliger à l’Aigle de la Menoua, soupçonné d’être à l’origine de cette agression.
En effet selon des informations recueillies auprès de ceux qui ont vécu la scène, il s’avère que c’est un supporter de l’oiseau de Dschang qui aurait blessé l’arbitre sylvain Bella à la tête alors que celui-ci se rendait aux vestiaires. Face à cet acte antisportif qui porte atteinte à l’intégrité des « hommes en noir », Gilbert Yankam, le président de l’association camerounaise des arbitres de football (Acaf) a dénoncé cet acte odieux et demander aux membres de cette association de boycotter toutes rencontres de l’Aigle de Dschang jusqu’à nouvel avis. D’après celui qui déclare que ses membres sont en insécurité chaque fois qu’ils sont sur un stade, cette décision va servir de leçon aux différents clubs de la ligue1 et 2. Ainsi, ces derniers prendront désormais sur eux d’éduquer leurs membres et leurs supporters.
Alors que cette décision du président de l’Acaf est en train de faire son effet. Et que tous les arbitres ou du moins la majorité s’apprêtaient à mettre en exécution cette décision de leur président, le 2ème vice président de l’Acaf, Joseph Njog a lui aussi publié un communiqué invitant les « hommes de sifflet » à ne pas respecter ce mot d’ordre lancé par le président de l’Acaf. «Je ne me reconnais pas dans cette décision, et, j’invite tous les arbitres à reprendre service partout où ils seront envoyés en attendant que la lumière soit faite sur le dossier.» D’après celui qui pense que le boycott des rencontres de l’aigle Dschang ne changera rien à l’incident déjà commis. Il faut aller jouer pour ne pas perturber le championnat.
Apaiser les esprits
Face à cette cacophonie au sein du corps arbitral au Cameroun, une réunion de crise pour apaiser les esprits a été organisée à Yaoundé le 14 mai 2014 dernier. Au cours de cette réunion à laquelle avaient pris part, Franck Happi représentant le Bureau du Comité Provisoire de Gestion de la Ligue professionnelle de football du Cameroun (Lfpc), Gilbert yankam, président du bureau de l‘Association Camerounaise des Arbitres de Football (l’Acaf), Pierre Noungui, représentant la Commission Centrale des Arbitres(Cca) et de la Commission Homologation et de Discipline de la Ligue, représenté par Mathias Eric Owona Nguini.
Les différents responsables ont condamné à l’unanimité l’agression de Sylvain Bella au stade de la réunification. Ils ont invité l’Acaf, à surseoir à leur décision du 13mai 2014 et à attendre le verdict des instances juridictionnels de la Ligue. De s’engager à prendre toutes dispositions susceptibles d’établir les responsabilités de cet acte répréhensible, afin que le ou les coupable (s) soi(en)t sévèrement sanctionné(s). Une plainte contre inconnu a été déposée par la Ligue, avec constitution de partie civile. Dans l’ensemble, les participants à cette réunion ont décidé; d’œuvrer pour le renforcement des mesures de sécurité dans les stades sur toute étendue du territoire.
Hervé Villard Njiélé
Le nouvel opus de cette musicienne camerounaise a été officiellement présenté au public de Douala le 16 mai 2014 à l’institut français
Il s’appelle «Mokte» et fera certainement plaisir aux mélomanes des villes du Cameroun, de l’Afrique et du monde entier. Fruit d’un effort quotidien et de beaucoup de recherches, le nouvel album de Kareyce Fotso a été dédicacé ce vendredi 16 mai 2014 à l’institut Français. La première dédicace qui s’est déroulée à Douala a permis aux mélomanes de la capitale économique du Cameroun, et à ses fans de découvrir ce nouveau bébé qui fait déjà la fierté des amoureux de la musique.
Pendant cette cérémonie de dédicace annoncée en grande pompe par les médias locaux et nationaux, Kareyce Fotso a fait un a capela, question de donner un avant goût, du contenu de cet album de 12 titres, qu’elle vient de commettre sur le marché discographique camerounais et mondial.
Sorti en Europe depuis le mois de mars, «Mokte», ce nouvel album de Kareyce fotso qui signifie «Espoir» en langue Bandjoun, est une galette musicale qui permet à l’artiste de communier avec ses fans, les mélomanes et surtout avec les populations du monde entier. À travers cet opus, la starlette de la musique camerounaise partagé son état d’esprit. Elle invite tout le monde à garder espoir malgré les vicissitudes de la vie. Elle inspire la confiance surtout la foi. Car, même si rien ne marche aujourd’hui, les choses pourront changer demain. « Mokte » est en effet une prière, un conseil, un état d’esprit. Bref, c’est une manière de vivre que partage l’auteur de ce chef d’œuvre, déjà présent sur le marché discographique.
En plus de ce message plein de sens et de vie, en plus de la mélodie qui est teintée de la quasi totalité des rythmes du terroir, Kareyce Fotso plonge le public dans un univers dont elle seule connait le secret. Avec sa voie suave et envoutante avec des messages profonds qui renvoient à la vie de tous les jours, l’artiste camerounaise, fait rêver. Elle prône un idéal de vie et invite tous le monde à s’y accommoder. L’espoir étant la seule chose qui maintient l’homme à la vie, qui le pousse à faire beaucoup d’efforts dans la vie, il demande aux habitants de la terre de rester confiants, de ne pas se décourager. «Mokte» en fin est une forme d’appel au travail ardu, un appel à la résistance.
Ces messages importants pour l’humanité, kareyce Fotso les délivre dans les douze titres de cet opus. De «Te Vouan ne ma» à «Ndolo», sans oublier «comment ça va ? », «Azany » «Manke», «Just Believe», «Kak Pou tseu», «Kowadi, «Messa», «Tiwassa», «Youmbata», « ke Wouac A» et «Aya», kareyce Fotso, évoque l’amour, la foie et le courage. Avec ce nouvel opus, la native de Bandjoun vient de porter à trois le nombre d’albums qu’elle a déjà commis sur le marché.
Portrait
Née en pays Bamiléké Kareyce Fotso est élevée chez les Béti. Après des études réussies (biochimie et BTS audiovisuel), elle gagne le droit de s’adonner à sa passion, le chant. Elle débute dans les cabarets de Yaoundé et devient choriste. Elle se fait remarquer au sein du groupe Korongo Jam d’Erik Aliana par sa présence scénique et sa voix exceptionnelle.
En France, dans le cadre de sa résidence «Visas pour le création » (mai à juillet 2009), elle travaille sous la direction artistique de François Kokelaere, qui dirigeait l’Ensemble National des Percussions de Guinée et permis au groupe guinéen Wofa de se produire dans le monde entier.
De cette rencontre naît un spectacle en solo où Kareyce Fotso, accompagnée par sa guitare, offre de jolies mélodies au public. Avec une voix puissante, originale, teintée d’un voile légèrement éraillé issu du blues et de la tradition africaine, la fille de Bandjoun séduit tout le monde. Elle espère marquer les esprits avec ce nouvel album comme ce fut le cas pour les autres titres. (Mulato, Kwegne)
Hervé Villard Njiélé