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Le blog de Hervé Villard Njiélé

Le Tour de l'Espoir:l'Érythrée remporte  le critérium de Douala

31 Janvier 2018, 22:26pm

Publié par Hervé Villard

Le Tour de l'Espoir.

Le Tour de l'Espoir.

Érythrée remporte le critérium de Douala

en jaune

Nathanael Nebrahtom de l’équipe de nationalité Erythréenne a remporté la première étape de la première édition de la coupe d’Afrique des nations de cyclisme de la catégorie de moins de 23ans qui se tient au Cameroun du 31 janvier au 4 février 2018.

 

Il est tout essoufflé.Pour arpenter les marches qui conduisent au podium de la première étape de la coupe d’Afrique des nations de cyclisme des moins de 23 ans, Nathanael Nebrahtom est obligé de faire des efforts supplémentaires. Malgré cela, son visage rayonne de joie. Car, il a remporté la première étape  de cette compétition africaine de cyclisme organisée par  le  Cameroun pour la première fois. Avant de se faire habiller par Dieudonné Ivaha Diboua le gouverneur de la région du Littoral venu lui remettre son prix, il reconnait que  la compétition était rude et que le jeu d’équipe a primé dans sa victoire. « Mon  partenaire Selemum Zemenfes m’a laissé gagner. Après avoir abattu un véritable travail, il m’a donné mon opportunité. Je profite de l’occasion pour lui dire merci de même qu’à toute l’équipe et à tous nos  encadreurs», explique-t-il.

Classé premier à  l’issue de ce critérium qui s’est déroulé à travers les artères de la ville de Douala avec un chronomètre de 2h,25min 24 secondes il a  arraché la première victoire de cette compétition et par ricochet le premier maillot jaune. Il a pédalé plus vite que les 83 cyclistes issus des 15 nations présentes à cette coupe d’Afrique des nations du vélo. Et s’est donc adjugé la première place de cette étape sous les youyous du public camerounais chaleureux et séduit par ses prouesses.

Heureux de ce premier titre, le nouveau  maillot  jaune  de cette compétition qui sera sur piste ce jour, durant la deuxième étape Idenau-Douala long de 147km, espère remporter à nouveau le maillot jaune et pourquoi pas, remporter ce tournoi qui s’annonce rude.

Autres  prix

Classé 2ème avec un chronomètre de 2h,25min51secondes, l’Erythréens Selemum Zemenfes a remporté le maillot vert réservé au meilleur sprinter de cette  première  étape. Le maillot blanc à pois rouge, celui de meilleur grimpeur est revenu au marocain  Chokri El Mehdi, vice  champion du Maroc des U23. Joseph Areruya de nationalité rwandaise quant à lui, a été classé 4ème au classement  général. Vainqueur  de la  13ème édition de la tropical Amissa Bongo qui s’est déroulée au Gabon, il s’en sort avec le prix du coureur le plus combatif de cette  première étape.

Les  camerounais à la traîne

 Au départ de cette course, les cyclistes camerounais n’ont pas  été  ridicules. Bien  que n’ayant  pas  remporté  de prix  durant  cette première étape, ils ont  promis  mieux  faire durant la  seconde  étape qui  commence ce  jour à Idenau. Voukeng Kemtsop Ismaël le  premier camerounais à franchir la ligne d’arrivée  était classé 14ème au classement général de. Les autres à savoir Kamdem Fodjo Jordan 36ème, Priso Lobe Junior Et Zang Ondo Jacques successivement 46ème et 47ème et le dernier Kuere Nounawe 52ème. Selon ces derniers  pas  démotivés, c’est  le jeu de l’équipe qui a primé durant cette première étape.

Organisée par le groupe Vivendi avec l’aval de la  fédération camerounaise de cyclisme, la  coupe  d’Afrique des nations de  cyclisme des moins de 23ans baptisée «le Tourde l’Espoir» qui se tient au Cameroun pour la  première fois , réunis 15 nations. A savoir, le Cameroun, le Maroc, le Rwanda, l’Erythrée, la Copte-d’Ivoire, la République démocratique du Congo, le Mali, le Vietnam, l’Egypte, l’Ethiopie, la Tunisie, l’Algérie, l’Afrique du Sud, l’Ile Maurice, le Burkina  Faso. Il est  qualificatif pour le  tour de l’Avenir en France

Hervé Villard Njiélé

 

 

 

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Complexe multisports de Yassa: Les travaux évalués à 20%

18 Janvier 2018, 15:53pm

Publié par Hervé Villard

Selon les responsables de la société Yenigun en charge de la construction de ce complexe sportif devant abriter la Can 2019, le stade sera  livré à temps

 Le  squelette  du stade omnisports de Japoma (vue du 16 janvier 2018)

Le squelette du stade omnisports de Japoma (vue du 16 janvier 2018)

Le comité local et régional d’organisation de la Can 2019 pour le Littoral a organisé une réunion visant à accueillir la mission de contrôle des chantiers de la  Can  2019 ce  jeudi  11 janvier 2017. Soucieux de la bonne marche des travaux et surtout du respect des délais impartis, le gouverneur de la région Ivaha Diboua, a pris le poule de l’avancement des travaux du complexe multisports de 50.000 places à Yassa.

D’après le responsable de l’entreprise Yenigun qui a rassuré tous les responsables du Comité local régional d’organisation que le chantier sera livré à temps, les travaux avancent avec sérénité. «Le  niveau d’avancement des  travaux  du stade de Japoma est de plus de 20%. Nous travaillons jours et  nuits sur le site avec des équipes  de  relais. D’ici le mois de septembre 2018, tous les stades seront prêts», déclare le porte parole de l’entreprise turque Yenigun. En présence. du préfet du Wouri, des sous-préfets de Douala, des responsables de différents corps de l’armée police et gendarmerie, des délégués régionaux et de plusieurs autres responsables le responsable de l’entreprise turque Yenigun Construction Industry & Comm réalisatrice des travaux a promis tout mettre en jeu pour que la date avancée soit respectée

Une descente sur le site de ce chantier, a du moins permis au reporter de La Nouvelle à qui  l’accès au chantier a été interdit, de découvrir que le chantier avance effectivement malgré le, les retards accusés dans son lancement en février 2017 dernier. Le stade commence à prendre forme. Les ouvriers s’activent à réaliser les multiplient tâches qui leurs sont assignés. Le terrassement terminé depuis des mois, c’est l’achèvement de la construction des différents poteaux dont plusieurs sont déjà élevés qui préoccupent. Et le parachèvement de la tribune officielle dont on peut apercevoir le squelette.Tandis que les uns s’attèlent à tisser les fers constituant le squelette des poteaux, d’autres plus concentrés apprêtent le matériel de coffrage. Sur le site des engins vont et viennent. Des bétonnières placées à des coins du chantier tournent sans repos. Elles moulent du béton directement utilisé pour la construction des poteaux et des différentes dalles. Des grues installées sont en pleine manutention. Tandis que certaines transportent le béton et les déverse dans  des coffrages bien aménagés, d’autres déplacent le matériel lourd d’un point à l’autre. Plusieurs poteaux dont la construction est  achevée sont visibles. Le tracé des différentes parcelles de ce stade est visible

Non loin, les ingénieurs turcs et camerounais veillent au grain pour s’assurer que c’est le travail demandé qui est fait. Ils ne s’empêchent pas de passer eux même à l’action pour montrer le bon exemple. Car, il faut tenir le pari

Parlant de cette phase importante dans l’évolution du chantier, Zeki Bozkurt le directeur du projet de construction du stade omnisports de Yassa  affirme qu’ils sont à l’étape finale des  travaux de la fondation. «On est  à la phase  des fondations. Les ouvriers sont à pied d’œuvre pour cette phase  décisive. Nous  travaillons jour et nuit  pour que les travaux avancent vite. Dans quelque jours on va finir cette étape», tente de rassurer» le technicien turque qui  reconnait cependant  que  les  travaux  ont  connu un retard.

 Son optimisme est partagé par Leonard Tsakem, le responsable du Groupe Leonardo  partenaire dans ce  projet.  «Le taux d’avancement des  travaux  est de  20%. Nous avons  déjà réalisé le premier plancher, les travaux  du  second plancher sont en cours, nous allons  finir  cette  partie d’ici la  fin du mois  d’octobre. Nous travaillons  jour et  nuit. Deux  équipes se  relaient sur le site et nous comptons respecter nos  délais », renchérit le responsable du groupe Leonardo. Avant d’ajouter que les ouvriers camerounais et turcs travaillent en  harmonie  sur le site.

Sur le site, les ouvriers sont assez concentrés et ne se laissent pas distraire. Ils effectuent  chacun la tâche qui est le sien. Six grues immobilisées sur le site tournent à plein régime.. 

Matériaux  préfabriqués

 On aperçoit également parquer dans  un coin de ce chantier, des outils repartis en désordre.  Des conteneurs une cinquantaine sont rangés dans un coin. Certains  déjà ouverts laissent découvrir des matériaux destinés à la construction de ce joyau architectural, d’autres   hermétiquement  fermés, sont bien disposés. «Ce  sont   les  matériaux  préfabriqués  qu’il y a  dans les conteneurs. Certains parties du stade ont été  fabriquées en Turquie on les transportés par bateau. Cela va permettre d’accélérer les  travaux», précise Zekier Bozkurt directeur de projet. Il ajoute d’ailleurs qu’après l’étape des fondations les travaux du gymnase multisports avanceront  plus  vite.

En attendant de voir les résultats des travaux en cours, il faut dire que ces derniers ont moins de dix sept mois pour livrer  le chantier.  Le complexe qui s’étend sur un espace de près de 45 hectares sera constitué d’un stade olympique couvert de 50 000 places, de deux terrains d’entrainement d’une capacité de 2000 sièges, d’une piscine olympique de 1000 sièges, de courts de tennis, parkings et espaces paysages, d’une annexe de l’Académie nationale de football. L’ouvrage était sensé être livré en 2018. Après le site de yassa, la délégation a pareillement visité le stade  de  la réunification qui sera bientôt  fermé pour  travaux.

Hervé Villard Njiélé

 

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Can 2019: Les stades d’entrainement traînent les pas

14 Janvier 2018, 16:32pm

Publié par Hervé Villard

Stade de la Reunification de Douala, la  honte

Stade de la Reunification de Douala, la honte

A quelques heures du passage dans la ville de Douala de la mission de Caf, les travaux de réfection de ces infrastructures n’ont pas toujours débuté.

 

 Pour faciliter le bon déroulement de la Can 2019 dans la ville de Douala et permettre aux équipes devant résider dans la capitale économique du Cameroun de mieux se préparer, le ministère des sports et de l’Education physique avec l’accord de la Fédération camerounaise de football, avaient retenu les stades de la Réunification de Bépanda, Mbappe Lepe d’Akwa et celui de Bonamoussadi comme des stades devant servir d’entrainement aux différentes équipes de la poule de Douala. Il était cependant question de refaire ces infrastructures avant le début de la compétition prévue en janvier 2019 prochain.

 Dix sept mois avant la compétition, l’état des lieux est de ses infrastructures donne froid dans le dos. Ces stades qui devaient subir une cure de jouvence sont restés l’ombre d’eux mêmes. Pis encore, celle-ci se sont d’avantage dégradés au vu et au su des membres du Comité d’organisation de cette compétition qui pointe à l’horizon. Selon des informations, la réfection de ces infrastructures indispensables pour la tenue de la Can 2019 au Cameroun et dans la ville de Douala débutera bientôt. Le coût de réalisation de ces travaux est estimé à 60 milliards de francs Cfa et dureront entre deux et huit mois d’après les sources proches de ce dossier. A quelques  heures du passage  de la mission de contrôle de la Caf sur ces  différents  site, votre blog a saisi l’occasion pour faire une descente dans ces différents stades question de vous  présenter  l’état dans lesquels se trouvent ces différentes infrastructures sportives en attente de réfection.

Hervé Villard Njiélé

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Les Lionnes  U20 jouent leur destin

12 Janvier 2018, 13:02pm

Publié par Hervé Villard

Les filles Charles Kamdem jouent contre le Ghana ce week-end dans le cadre du dernier tour éliminatoire de la coupe du monde de leur catégorie qui se joue en France en Aout  2018

Lionnes U20, "on fera  de  notre mieux"

Lionnes U20, "on fera de notre mieux"

Le rêve de toutes joueuses de l’équipe nationale  de football féminin des moins de 20 ans du Cameroun c’est bel et  bien de prendre part  pour la première fois, à une phase finale de la coupe du monde. Comme leurs ainées Gabrielle Aboudi Onguene ou encore Deborah Enganamouit, alexandra Takounda, Soline Djoubi et les autres veulent vivre en direct la coupe du monde de football féminin des mois de 20ans qu’organise la  France.

Seulement, pour rendre ce rêve vrai, elles devront d’abord éliminer l’obstacle ghanéen qui se dresse avec audace sur leur passage. Après un premier tour de qualification assez facile fait de large victoire sur leurs adversaires puis,  de victoire sur tapis vert pour cause de désistement de certains adversaires, les Lionnes indomptables  du Cameroun devront vaincre le Ghana en aller et retour pour obtenir l’un des deux tickets africains donnant lieu à ce rendez-vous.

Pour mettre la chance de leur coté ce dimanche, elles devront blesser sérieusement leur adversaire en la battant durant cette phase aller, avant de l’achever une semaine après dans son propre terroir à Accra. Cependant, il faut dire que la tâche ne sera pas facile pour les bébés lionnes. Car, le Ghana est une équipe assez expérimentée. En plus d’être bien organisée, la sélection ghanéenne est  rompue à la  tâche. Elle bénéficie  d’ailleurs d’un palmarès qui plaide en sa faveur. Parmi les meilleures  équipe du continent de cette catégorie si non la meilleure, le Ghana a déjà participé à plusieurs phases finales de coupe du monde. Notamment en 2010, 2012,2014 et 2016. Elle a représenté valablement l’Afrique à ces compétitions et  en est sorti pétri d’expériences. Expériences  qui pourront leur permettre de dominer l’équipe du Cameroun.

Attaque foudroyante

 Avec une attaque foudroyante qui lui a permis d’arriver à ce niveau de la compétition, le Ghana est un sérieux adversaire et totalise des arguments pouvant déstabiliser la bande à Alexandra Takounda. Ses adversaires en 2017 en ont payé le prix. C’est d’abord l’Algérie qui passe à la trappe au premier tour de ces éliminatoires. A l’aller comme au retour, les bébés algériens ont encaissé au total dix buts. Soit cinq pour chacune des rencontres. L’équipe Kenyane rencontrée au second tour subit le même sors à la seule différence qu’elle réussit l’exploit d’inscrire un but. C’est avec un carton de dix buts encaissés sur l’ensemble des deux matches que le Kenya a quitté la partie. C’est donc une équipe prête qui a inscrit 20 buts en quatre matches que les lionnes vont affronter dimanche prochain.

Espoir

Malgré le palmarès chatouillant de l’équipe  ghanéenne, tout n’est cependant pas perdu par les bébés lionnes. Car, rien n’est encore joué. La solidité de l’équipe de Charles Kamdem peut être un atout. Ensemble depuis des mois pour préparer cette compétition, la complicité entre Ngah, Voulania, Soline Djoubi, Ndzana, Alexandra Takounda, Tsadia et les autres coéquipiers peut permettre de faire la différence. Surtout que l’attaque des bébés lionnes est l’une des meilleures de cette campagne française. Si le milieu de terrain est tout aussi garni avec des joueuses capables d’animer le système de l’entraineur, en défense, le talent et l’expérience ne sont les qualités les plus recherchées. D’ailleurs lors d’un match amical contre une sélection conduite par Aboudi Onguéne deuxième meilleure footballeuse d’Afrique, la sélection d’Emmanuel Kamdem s’est imposée par une  large victoire de six buts contre 1. Un résultat qui démontre à suffire que la sélection féminine de football U20 aura son mot à dire ce dimanche au stade militaire de Yaoundé.

Hervé Villard Njiélé

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Can 2019 Le cœur du Cameroun bat la chamade

12 Janvier 2018, 11:05am

Publié par Hervé Villard

A quelques heures de la visite d’inspection de la mission de la Caf au Cameroun, c’est le branle bas dans tous les états majors ayant la responsabilité de l’organisation de cet événement.

Réunion du Comité local d'organisation de la Can 2019 présidé  par  le gouverneur Dieudonné  Ivaha Diboua

Réunion du Comité local d'organisation de la Can 2019 présidé par le gouverneur Dieudonné Ivaha Diboua

Faire bonne figure devant les émissaires de la caf en visite au Cameroun du 11 au 24 janvier 2019. Rassurer ces derniers sur le fait que le Cameroun est à mesure d’organiser la première édition de la coupe d’Afrique des nations qui se joue avec 24 clubs. Voilà l’objectif visé par le comité d’organisation de la Can 2019 qui multiplie des réunions avec ses membres depuis le début de la semaine. Si à Yaoundé le ministre des Sports et de l’Education Physique Ismaël Bidoung Mpkatt a déjà organisé au moins deux réunions publiques pour affirmer la détermination du Cameroun à respecter ses engagements, dans les régions, c’est la même mobilisation qui s’observe. Les différents présidents de comité régional d’organisation des régions qui seront visitées s’assurent eux-aussi que tout sera prêt dans leur région au moment du passage des équipes de la Caf.

Dans la région Littoral l’une des régions les plus attendues dans l’organisation de cette compétition au Cameroun, Dieudonné Ivaha Diboua le gouverneur de la région du Littoral, président du comité local d’organisation à tenu hier jeudi 11 janvier 2019 une réunion d’évaluation de l’état des préparatifs.

Au cours de cette réunion à la quelle prenaient part tous les responsables de commissions, il était question d’évaluer l’état d’avancement des travaux dans la région du Littoral. Et surtout préparer l’accueil de la délégation de la caf qui séjournera dans la ville de Douala du 18 au janvier prochain.

Pendant les échanges, il en ressort que la région du Littoral accuse des retards au niveau de ses différents chantiers et que des efforts doivent être fait pour que la commission soit satisfaite du niveau des travaux. Parlant de l’aménagement des stades points névralgiques de l’organisation de cette compétition, On a constaté dans la région du Littoral, qu’en dehors du stade de Japoma de 50.000 places où les travaux sont en évolution (20%), les autres chantiers n’ont pas commencé et attendent avec impatience les premiers coups de pioches et de pelles. Il s’agit bien sur des stades de Mbape Lepe, stade de la Réunification de Bepanda, stades annexes omnisports de Bepanda et du stade de Bonamoussadi. Tous ces stades dont la réfection a été attribuée aux sociétés françaises et Canadiennes Alcor et Maguil sont encore en friche. Malgré les problèmes administratifs avancées pour justifier ce retard, Dieudonné Ivaha Diboua a instruit les différents responsables à se mettre résolument au travail avant l’arrivée des émissaires de la Caf.

La bonne santé des hôtels

Si l’état d’avancement des stades inquiète malgré l’assurance des  constructeurs, il faut bien reconnaître que du coté des établissements hôteliers c’est plutôt une bonne nouvelle. Car pour des besoins de compétitivité, plusieurs ont refait leur mue sans attendre le son de cloche des responsables du comité d’Organisation de la Can. Même si des derniers réglages restent à faire, le plus important semble avoir été fait. «Nous avons fait des rénovations depuis plusieurs mois. Nous avons également formés notre personnel», affirme le responsable de l’Hôtel La Falaise. Même son de cloche à l’hôtel Sawa et Star Land Hôtel. Selon ces derniers si «la Can se tenait demain, les hôtels de Douala seraient prêts pour la fête».

Malgré ces nombreux retards, les promesses faites si elles sont tenues rassurent sur la bonne organisation de cet évènement au Cameroun. Mais, en attendant, le sort du Cameroun réside dans les rapports de la mission de la caf déjà au pays.

Hervé Villard Njiélé

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Police nationale: Le groupement mobile d’intervention(Gmi2) en deuil

8 Janvier 2018, 15:11pm

Publié par Hervé Villard

 

Le commandant de cette unité d’intervention dans la région du Littoral, le Commissaire de police principale Aldjim Gérard est décédé très tôt ce samedi des suites de courte maladie.

Laissez moi allez me  reposer. Ma mission au sein de la police est  terminée.je ne pouvais pas  rester eternel

Laissez moi allez me reposer. Ma mission au sein de la police est terminée.je ne pouvais pas rester eternel

Stupeur émotions, les mots sont insuffisants pour traduire l’ambiance qui règne au sein de la police dans la région du littoral et plus précisément au sein du Groupement mobile d’intervention numero2. En effet depuis l’annonce du décès du Commissaire de police principale Aldjim Gérard, commandant du Gmi n°2, les éléments de ce corps en charge de la sécurité publique et de la lutte contre le grand banditisme dans la région du littoral sont dans tous leur état. Beaucoup ne croit pas a ce qui s’est passé et on de la peine à accepter et à digérer la nouvelle. Car, le décès du commissaire principal est subit.

En effet, le commandant du Gmi est décédé très tôt le samedi 6 janvier 2017 matin des suites de courte maladie. Il a fait une crise à son domicile et a rendu l’âme à l’hôpital, à la surprise générale.

Selon des informations, les proches du commissaire de police principal l’on conduit d’urgence à la polyclinique Muna, située à quelques encablures de son domicile à Bonanjo où, il est décédé. Le personnels soignants en service ce samedi, ont eu de la peine à annoncer le décès de ce dernier quelques minutes après.

Pour l’instant, les causes réelles de son décès ne sont pas encore évoquées, seule une autopsie permettra de savoir avec exactitude de quoi le commandant du Gmi N°2 de regrettée mémoire est effectivement décédé.

Au sein de ce corps de la police, c’est tous les éléments qui sont en larme. Ils sont tous abattus. C’est avec beaucoup de peines qu’ils se prononcent sur le décès de celui qui était pour eux plus qu’un grand frère, un père, un ami «Il n’y aura plus de chef dans la police comme le commandant Gérard Aldjim. C’était un chef exemplaire, pieux, respectueux. Quand il apprenait que tu étais malade, il te rendait immédiatement visite. Il ne menaçait ni ne mettait la pression à ses collaborateurs. Pendant la fête de ramadan, il distribuait du sucre à ses collaborateurs musulmans», déclare tout éploré le commissaire Mephire en service au Gmi «C’était un chef pas comme les autres, il était doté d’une qualité humaine exceptionnelle. La police camerounaise vient de perdre un grand homme. Sa disparition subite nous plonge tous dans un émoi indescriptible», commente un autre de ses collaborateurs en larme

Aperçu en public pour la dernière fois le vendredi 5 janvier 2017, lors de la visite Ernest Gbwaboubou, ministre des Mines, de l’industrie et du Développement Technologique à Fermencam, entreprise de distillerie et de fabrication de liqueur victime d’un incendie le 1er janvier 2017, le commissaire Aldjim Gérard apparemment bien portant selon des informations, représentait le délégué régionale a la sureté nationale a cet évènement.

D’après des sources d’informations, il sortait de trois jours de repos maladie. Ce samedi matin, après un échange avec ses collaborateurs, il a fait un malaise aux environs de 10h et a été conduit d’urgence a la policlinique Muna d’où il sortira les pieds devant. Son corps a été conduit à la morgue de la garnison militaire.

Biographie

Ne en 1969 à Yagoua, le commissaire de police Principal Aldjim Gérard était commandant du Groupement mobile d’intervention numéro 2 depuis 2014. Il provenait de la région de l’ouest et de la ville de Bafoussam où il a tour à tour servi au commissariat du 4eme arrondissement et au commissariat central de la même ville commissaire par intérim.

 Admis à l’école de police le 2 novembre 1998 sur concours direct dans le contingent Espoir, le commissaire de police principal Gérard Aldjim sort parmi les majors de sa promotion commissaire de police. Affecté en complément d’effectif au Groupement mobile d’intervention n°2 (Gmin°2) à Douala, il est affecté plus tard comme commissaire de police de la sécurité publique à Bafang. Il part de Bafang pour la ville de Bafoussam avant de rebondir comme commandant du Gmi2 à Douala Ses états de service sont exemplaires. A Bafoussam, comme commissaire du commissariat centrale, son passage a permis de lutter contre la grande criminalité de démanteler des gangs de malfrats au quartier Haoussa, traquer des médicaments trafiqués, lutter contre les présumés auteurs des crimes rituels à Bafoussam. Aldjim Gérard a bâti son autorité à la tête de ce commissariat en déployant un dispositif spécial pour limiter les arnaques des hommes en tenue lors des contrôles en milieu urbain à Bafoussam. Aussi, il s’est évertué à limiter les abus au poste de police, notamment lors des gardes à vue. A Douala, il a reproduit presque la même chose. Ila été sollicité  pour lutte contre la grande criminalité dans l’extrême Nord où sévit Boko Haram, au Sud Ouest. Bref, c’était un homme de terrain.

Son décès est une grande perte pour le corps de la sécurité nationale. Car, en plus d’être un homme dévoué pour son travail et d’un état de service exemplaire, le commissaire principale Aldjim Gérard, était pareillement doué d’une qualité humaine exceptionnelle, très rare dans le corps des forces de l’ordre. Il était toujours disponible, nous apprend-on.

Herve Villard Njiele

 

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Listes des lauréats des Awards de la  Caf 2017

8 Janvier 2018, 12:00pm

Publié par Hervé Villard

Listes des lauréats des Awards de la  Caf 2017

Joueur africain de l'année

Mohamed Salah (Egypte et Liverpool)

Joueuse féminine de l'année

Asisat Oshoala (Nigéria et Dalian Quanjian)

Meilleur jeune

Patson Daka (Zambie et Liefering)

Entraîneur de l'année

Hector Cuper (Egypte)

Club de l'année

Wydad Athletic Club (Maroc)

Équipe nationale de l'année

Egypte

Équipe nationale féminine de l'année

Afrique du Sud

Légende

Sunday Ibrahim (Ghana)

Prix ​​de Platine

Nana Addo Dankwa Akufo-Addo - Président du Ghana

George Weah - Président élu du Libéria et ancien Joueur Mondial, Africain et Européen de l'Année

Onze-type de l’année

Gardien : Aymen Mathlouthi (Tunisie et Etoile du Sahel)

Défenseurs : Ahmed Fathi (Egypte et Al Ahly), Eric Bailly (Côte d'Ivoire et Manchester United), Ali Maâloul (Tunisie et Al Ahly)

Milieux de terrain : Mohamed Ounnajem (Maroc et Wydad Athletic Club), Karim El Ahmadi (Maroc et Feyenoord), Ajayi Junior (Nigeria et Al Ahly), Achraf Bencharki (Maroc et Wydad Athletic Club)

Attaquants : Khalid Boutaib (Maroc et Yeni Malatyaspor), Mohamed Salah (Egypte et Liverpool), Taha Yassine Khenissi (Tunisie et Espérance)

 

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Awards de la Caf: Le Cameroun ne remporte rien

5 Janvier 2018, 18:19pm

Publié par Hervé Villard

En compétition dans deux catégories durant les awards de la Caf, le Cameroun n’a rien remporté lors de la fête du Gala du football continental ce 4 janvier à Accra au Ghana.

 Je ne  comprends pas  ce  qui se passe. Je me suis  battue comme j'ai pu.

Je ne comprends pas ce qui se passe. Je me suis battue comme j'ai pu.

Aboudi Onguene en lice pour le poste de meilleure joueuse africaine de l’année 2017 n’a pas remporté la prestigieuse récompense continentale tant  convoitée. La meilleure chance du  Cameroun à cette cérémonie de  récompense des acteurs du  sport  roi en Afrique, a échoué au pied du podium. Elle a  une fois de plus été coiffée au poteau par sa concurrente de la dernière édition, la  nigériane Asisat Oshoala. L’attaquante des  super Eagle a été élue  pour la troisième fois meilleure joueuse africaine de l’année 2017.

 Devant  la nigériane,l’attaquante camerounaise n’a pas fait mieux qu’une  deuxième place. Elle  a  devancé la Sud africaine Chrestina Kgatlana classée troisième. 

Les camerounais qui attendais avec impatience le couronnement du virevoltant milieu de couloir de  l’équipe nationale de football féminin ont tout  simplement été  déçus. Plusieurs  d’entre  eux  ont  d’ailleurs pensé  à un complot contre le Cameroun. Car, Aboudi Onguéné  présentait  des  atouts  pour ce sacre. Mieux  que  l’année dernière.

Meilleure joueuse de la Can 2016 et finaliste de cette compétition, l’attaquante camerounaise  a plutôt  eu  une  bonne saison au championnat.

Troisième  meilleure buteur du championnat  russe  avec 11 réalisations, championne de Russie avec son club Cska de Moskou, Aboudi Onguéné méritait certainement mieux qu’une  deuxième place, la même  occupée en 2016 après  la finale perdue devant le Nigeria (0-1) à Yaoundé.

Avec ce nouveau sacre, la nigériane Asisat Oshoala devient la première joueuse du  continent la plus titrée avec trois titres continentaux remportés successivement en  2014,2016 et 2017.

Mohamed Salah sacré Meilleur joueur africain de l’année

L'Egypte meilleure  équipe africaine

Après le titre de meilleure joueuse africaine perdue, le Cameroun en course pour  la meilleure équipe d’Afrique, s’est vu une fois de plus évincé. Malgré la  can 2017 remportée  au Gabon, ce titre est revenu à l’équipe nationale d’Egypte malheureuse finaliste de cette coupe d’Afrique des nations organisée en terre gabonaise.

Chez les hommes, après la disqualification incomprise d’Aboubacar Vincent,  Mohamed Salah qui faisait partie du trio final avec Pierre Emerick Aubameyang et Sadio Mane a arraché le sacre de ballon d’or africain. L’attaquant égyptien couronné Roi d’Afrique 2017, a totalisé 625 points tandis que son équipier à Liverpool, le Sénégalais Sadio Mane, a obtenu 507 points .Le Gabonais de Dortmund Pierre-Emerick Aubameyang, lauréat en 2015 a fini  troisième  avec  311 points. C’est la première fois depuis la création du trophée par la CAF en 1992, qu’un joueur égyptien est distingué N°1 d’Afrique. 

Dans les autres catégories, l’argentin Hector Cuper a remporté  le prix de meilleur entraîneur du continent, le Zambien Patson Daka élu Meilleur jeune de l’année tandis que le Wydad Athletic Club de Casablanca, champion d’Afrique, a été récompensé du titre de meilleur club de l’année.

Deux Platinum Awards, ont été décernés au Président du Ghana, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, et à l’ancienne gloire du football mondial, George Weah, désormais Président élu du Liberia.

 

Hervé Villard Njiélé

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 Can 2019:  Paul Biya  est jaloux  sa  compétition

4 Janvier 2018, 13:42pm

Publié par Hervé Villard

Lors de son discours à la nation le 31 décembre 2017 le président de la république a reprécisé que le Cameroun accueillera bel et bien cette compétition prévue se tenir en 2019.
 Can 2019:  Paul Biya  est jaloux  sa  compétition
 
 «En 2019 comme vous le savez, notre pays accueillera la grande famille du football continental à l’occasion de la coupe d’Afrique des nations. Ce sera l’occasion au-delà de l’aspect purement sportif de faire profiter à nos hôtes la chaleur de l’hospitalité camerounaise. Je n’ai nul doute que comme nos sportifs, nos populations sauront se montrer à la hauteur de l’évènement et présenter le meilleur visage du Cameroun. Notre pays sera prêts pour cette grande fête de l’amitié j’en ai pris l’engagement».
Cet extrait de discours est du président Paul Biya président de la république du Cameroun. Lors de son adresse à la nation le 31decembre 2017 dernier, il a rappelé à tous ceux qui voulaient l’entendre que le Cameroun accueillera bel bien cette compétition. Nonobstant les difficultés d’organisation que son pays rencontre, il sera prêt avant le déroulement de la compétition prévue au mois de juin et juillet 2019.
La réaction de Paul Biya, qui n’est que le remake de celle faite lors de la cérémonie de réception des Lions Indomptables du Cameroun, vainqueurs de la Can 2017 au Gabon, le 8fevrier dernier au palais de l’unité, permet de réaffirmer son engagement pour l’organisation de cette compétition.
Si en février 2017 Paul Biya répondait de manière indirecte au président de la Caf Ahmad Ahmad qui déclarait lors de son passage au Benin que le Cameroun ne pouvait pas organiser une Coupe d’Afrique des nations avec quatre équipes, Paul Biya dans son discours du  31 décembre 2017 voulait rassurer tous les sceptiques sur le fait que le Cameroun sera prêts. Et surtout mettre la pression à tous ceux qui sont affectés à l’organisation de cette compétition. Car, il n’est pas question qu’on arrache cette  compétition au Cameroun.
Sur le plan politique, selon des observateurs de la scène sportive mondiale, Paul Biya par cette déclaration met un peu de pression aux experts de la Caf en mission au Cameroun du 11 au 23 janvier 2018 prochain
En effet, le cabinet Roland Berger, chargé de faire l’audit sur l’état d’avancement des préparatifs de la Can Total 2019 que le Cameroun organise séjournera au Cameroun pendant cette période pour examiner les chantiers. Et la déclaration du président de la république, sonne à cet effet comme un engagement total du Cameroun et de l’Etat à accueillir cette compétition.
Retard
Malgré cette déclaration du premier sportif camerounais, il faut reconnaitre que les chantiers devant accueillir cette compétition internationale, n’avancent pas toujours comme on aurait souhaité. Plusieurs travaux restent à la traine malgré les délais qui courent. Notamment la construction des stades, l’aménagement des aires de jeu d’entrainement dans les villes et surtout la construction des routes et autres infrastructures importantes.
Si à Douala, l’avancée des travaux de constructions du complexe multisports de Japoma de cinquante milles places avancent considérablement, les autres stades  sont à la trainent. C’est le cas du stade de la Réunification de Douala Bepanda qui devait être fermé pour la réfection. Ici, les travaux de réfection n’ont jamais commencé et on ne sait pourquoi. Au stade Mbappe Lepe la situation est quasiment la même. Fermé pour travaux depuis plus de deux mois, les travaux débutés sont aux arrêts depuis plusieurs semaines. Idem  pour le stade annexe omnisports de Bepanda et le stade de Bonamoussadi qui attendent toujours les premiers coups de pioche. Du Coté de Yaoundé, le stade Paul Biya trainent encore les pas. La situation d’avancement des travaux ne convainc pas encore les amoureux du Ballon rond qui attendent la Can 2019 au Cameroun de pied ferme.
 
Hervé Villard Njiélé

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Stade Paul Biya: Les matériaux préfabriqués déjà au Cameroun

4 Janvier 2018, 12:29pm

Publié par Hervé Villard

 
Le bateau italien transportant la seconde vague de ces matériaux a accosté au Port autonome de Douala dans la nuit du mardi 2 janvier 2018 aux environs de 20h.
 
Photo des matériaux préfabriqués pour la construction du stade Olembé de Yaoundé

Photo des matériaux préfabriqués pour la construction du stade Olembé de Yaoundé

Les premiers conteneurs des matériaux préfabriqués destinés à la construction du stade Paul Biya de 60 milles place à Olembé de Yaoundé sont dans la capitale politique du Cameroun depuis hier. Ils n’attendent plus d’être utilisés par les ouvriers en service sur le site.
Partis de Douala aux environs de midi hier mercredi 3 janvier 2018, ces conteneurs étaient escortés par des éléments de la police et de la gendarmerie qui assuraient sa sécurité. Selon des informations, c’est une série de quinze camions transportant chacun un conteneur qui a quitté le port autonome de Douala ce mercredi. Et cette serie, n’est que le premier d’une longue autre series de camions qui feront des va et vient entre le chantier du stade Paul Biya et le Port autonome de Douala. Car, la quantité de matériaux préfabriqués arrivés au Port autonome de Douala est importante.
D’après notre source d’informations au Port autonome de Douala, le bateau immatriculé HHL Mississipi transportant ces matériaux préfabriqués a accosté au Port Autonome de Douala le mardi 2 janvier 2017 aux environs de 20h 45min, partie des usines de l’entreprise italienne Piccini basée en Italie le 17 décembre 2017, le bateau ayant à son bord un équipage russe, a passé 15 jours en mer avant de rejoindre le port autonome de Douala. Il transportait 6500 tonnes de matériels destinés à la construction du stade Paul Biya. Ainsi, c’est 232 conteneurs de matériaux préfabriqués qui ont été déchargés au port de Douala. Dans les conteneurs apprend-on, se trouvaient des matériaux pour les revêtements du sol, des piliers et des matériaux pour la construction de la toiture.
Pour s’assurer de la bonne manutention de ces matériaux et surtout de leur sécurité, le Directeur général du Port autonome de Douala a visité le site de dépôts de ces matériaux hier mercredi. Celui-ci voulait par ailleurs s’assurer que les consignes données par le chef de l’Etat concernant le dédouanement des matériaux pour la construction des stades de la Can 2019, sont respectées.
 Selon Gérard Ngaha, le responsable des entreprises Piccinni au Cameroun, la prochaine livraison des matériaux préfabriqués pour la construction du stade Paul Biya est prévue au mois de février 2018.
 A titre de rappel, il faut dire que, le bateau transportant les matériaux préfabriqués destinés à la construction du stade d’Olembé à Yaoundé ayant accosté au Port autonome de Douala le 2 janvier 2018, est le deuxième bateau arrivé au Cameroun. Le premier ayant accosté le 1er décembre 2017.
Avec l’arrivée de ces matériaux préfabriqués, le rêve de voir les travaux du stade de Yaoundé au ralenti, s’accélérer se précise et l’espoir de voir le stade en fin sur pied s’agrandit. Lors d’un point de presse en août dernier, Marc Debandt, le directeur du projet du stade d’Olembe, rassurait le gouvernement et les Camerounais sur le fait que le stade sera prêt pour la dernière inspection de la Confédération africaine de football. «Car, Piccini, entreprise expérimentée, a déjà construit des stades similaires, notamment celui de Rome, en seize mois», précisait-il.
 
Hervé Villard Njiélé

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