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Le blog de Hervé Villard Njiélé

Ethique Professionnel:

26 Février 2018, 21:26pm

Publié par Hervé Villard

photo de famille: Seminaire Faj à Douala du 26 au 27 fevrier 2018

photo de famille: Seminaire Faj à Douala du 26 au 27 fevrier 2018

Ces derniers prennent part depuis le 26 février 2018 à un séminaire de formation organisé conjointement  par la fédération des journalistes africains (Faj) et le syndicat national des journalistes du Cameroun (Snjc).

 

Le conteste social dominé par la crise sociale que traverse l’Afrique centrale en général et Cameroun en particulier interpelle le journaliste appelé au quotidien à couvrir ces différents évènements. Pour rendre compte sans parti pris, pour ne donner que les informations et les bonnes d’ailleurs, le journaliste se doit d’être professionnel et prendre conscience de la responsabilité qui est la sienne de protéger la société. Il doit refuser d’être comme la radio mille collines qui avait contribué à son temps a envenimé la crise rwandaise ayant fait plus de 1074017 morts.

C’est donc pour permettre aux journalistes de la sous région Afrique centrale d’être des journalistes exemplaires, c’est pour permettre à ces derniers d’exercer avec professionnalisme le métier qui est le leur, que la Fédération des journalistes africains organise depuis le 26 février 2018 un séminaire de recyclage des journalistes au Cameroun.

Sous le thème «Journalisme pour la démocratie à l’ère du numérique sur le journalisme éthique», ce séminaire qui s’achève ce 27 février à Douala réunit plus d’une vingtaine de journalistes venus de différents pays de l’Afrique centrale. Ainsi, les journalistes du Tchad, de la République démocratique du Congo, du Cameroun sont bien représentés à  ce seminaire de recyclage qui sera selon le président de la Faj, Mohamed Gerba, étendu à d’autres pays de la sous-région dans l’avenir.

Pendant cette première journée de formation, plusieurs sous thèmes ont permis d’édifier les hommes de médias sur leur métier. A travers les sous thèmes  «Propagande parti pris politique et extrémisme violent», «Discours de haine, diversités d’élections», on a pu apprendre des exposés des différents intervenants que dans la plus part des pays de la sous -région Afrique centrale, il y a une bipolarisation des médias. Les médias à capitaux publics financés par le gouvernement et qui est comme sa caisse de résonance et les médias privés considérés comme celle de l’opposition parce qu’elle critique le gouvernement en place et les politiques gouvernementales. «La presse privée est  le dernier  parti de l’opposition au Cameroun», fait savoir Denis Kwebo dans son exposé.

Pendant les débats houleux qu’il y a eu après les exposés, ont a pareillement appris que le rôle du journaliste n’est pas d’envenimer les situations. Au contraire, il doit s’abstenir de rapporter des propos haineux ou même de les utiliser. Il doit savoir faire utile et toujours faire appel à son sens de responsabilité sociale chaque fois qu’il traite une information. Surtout en tant de crise. Des débats sur le traitement des informations portant sur la crise qui secoue la partie anglophone du Cameroun a pareillement fait partie des différents ateliers ayant meublé cette première journée de travail.

D’après le président du syndicat national des journalistes du Cameroun (Snjc), le séminaire qui se tient à Douala arrive à point nommé. Car, «il va permettre de former des journalistes responsables de rédaction sur l’éthique de la profession. Il va permettre d’atténuer les discours de haine qu’il y a sur les réseaux sociaux dans les journaux et souvent dans les télévisions. Cela va aider le journaliste à promouvoir la cohésion sociale et le développement du Cameroun», affirme Denis Kwébo.

 

Hervé Villard Njiélé

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Ascension du Mont Cameroun:  Buea déjà aux couleurs de l’évènement 

18 Février 2018, 16:47pm

Publié par Hervé Villard

 

 

A 24h du top départ de la 23ème édition de cette compétition, le chef lieu de la région du Sud  Ouest est  déjà prêt pour accueillir la compétition.

Buéa était prêt

Buéa était prêt

 

Le parcours du mont Cameroun balisés, les abords nettoyés, le stade Molyko et les  carrefours des différents quartiers parés aux couleurs de la compétition, les athlètes qui font des tests médicaux. Voilà l’ambiance qui règne à Buea à 24h du top départ de  la 23èmeédition de l’ascension du Mont Cameroun, le plus haut mont du triangle  national haut de 4100

mètres. Malgré la peur qui hante l’évènement, les petits plats ont été mis dans les grands par le comité d’organisation pour que l’évènement soit une  réussite  totale.

En mission avancée  dans cette  partie du Cameroun depuis  trois  jours, le directeur du projet entouré de ses collaborateurs de la fédération camerounaise d’athlétisme sont allés s’assurer que tout était fin prêt pour accueillir la 23èmeédition de  l’ascension du mont Cameroun prévu  ce  17 février 2018.

 D’après ces derniers en parfait harmonie avec les populations du Sud-ouest et d’avantage celles de la ville de Buea, il n’y a aucune inquiétude à ce faire. Le comité local d’organisation chapeauté par le gouverneur de la région du Littoral Bernard Okalia Bilai a abattu un travail titan. Avec l’appui des différents chefs traditionnels de la région, il a sensibilisé les populations sur la tenue de cet évènement et surtout sur le caractère touristique que cela représente pour  toute la région du Sud-ouest. 

Selon des informations, toutes les commissions ont déjà bouclé chacune ses préparatifs. Ils n’attendent que le jour de l’évènement, pour faire découvrir au monde entier ce qui est prévu pour cet évènement sportif devenu un rendez-vous national et international.

 «Toutes les commissions ont bouclé leur boulot. La commission technique a déjà  publié la liste des cinq cent athlètes devant prendre part à cette compétition. La commission médicale est en train de boucler les visites médicales. La commission  communication a affiché partout. Il y a plus de 25 banderoles dans la ville de Buea. Toutes les athlètes sont à Buea de même que les différents officiels. Bref tout est prêt pour que l’évènement commence», déclare Yves Desiré Ekwalla, chef de projet de l’organisation de la 23ème édition de l’ascension du Mont Cameroun.

 Selon des informations, la commission culturelle a elle aussi, déjà fait la sélection des groupes de danses devant participer à la grande parade. La cérémonie traditionnelle  consistant à bénir le Mont Cameroun pour implorer les faveurs des Dieux a eu lieu et  les signes sont  plutôt prometteurs.

 La foire culturelle et commerciale qui se tient au courant de l’évènement a commencé  depuis mercredi selon des informations et  draine des  foules.

Sécurité relevée

Pour le bon déroulement de cet évènement, la sécurité a été renforcée. Le gouverneur de la région du Sud-ouest a donné  des instructions fermes dans ce sens là. Il n’ya  donc pas  raison de  s’inquiéter. « Tous ceux qui sont sceptiques par rapport au defi sécuritaire peuvent être tranquilles. On ne  peut  pas  renvoyer  l’ascension du Mont  Cameroun. La  ville est  prête  pour  accueillir l’évènement et la fête  sera belle »,  rassure  tout serein Yves Desiré  Ekwalla. Ce  dernier  invite  pareillement  les populations  a venir massivement  vivre cet évènement.

Hervé Villard Njiélé

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Ascension du Mont Cameroun  Godlove Gabsibuin et Tatâh Carine champions

18 Février 2018, 16:06pm

Publié par Hervé Villard

 

 Ils ont  battu leurs différents concurrents durant  la 23ème  édition de  l’ascension du  Mont  Cameroun qui s’est  déroulée dans la  ville de Buéa ce  samedi 17 février 2018

 La  joie de Godlove Gabsibuin, le nouveau champion de l’ascension du Mont Cameroun  est incommensurable.  Malgré la fatigue,  il soulève la main en traversant la ligne d’arrivée au Molyko stadium de Buea  pour savourer sa victoire. Essoufflé et à bout de force il réussit quand  même à dire un  mot aux  journalistes, cameraman et  photographes qui l’entourent. « Ce n’était pas  facile. J’ai du  batailler dur pour  sortir champion. Je m’étais certes  préparé  mais c’était plu dur encore de  faire l’ascension du Mont Cameroun. Je suis vraiment  content », déclare-t-il avant d’être  extirpé des mains des hommes de médias par les forces de l’ordre et  l’équipe des  soigneurs bien en place. Pendant qu’il se fait soigner par  l’équipe des soigneurs mobilisés pour la circonstance, le sourire ne quitte pas ses lèvres  malgré la douleur et  la fatigue. Car, après avoir passé trois  années de disette, il vient à nouveau de renouer avec la victoire. Avec les éditions 2012, 2013,2015 remportées de haute lutte, Godlove Gabsibuin totalise désormais dans son escarcelle quatre trophées de vainqueur de la l’ascension du Mont .Cameroun. Il n’est plus qu’à trois longueurs de Sarah Etongue  Liengu  la reine du Mont qui totalise sept sacres.

Endurance

 Parti vers 7h 7 minutes l’heure du coup d’envoie chez les seniors messieurs comme tous les  autres coureurs de cette catégorie, Godlove Gabsibuin à cette compétition, a été  le plus rapide. Il a franchi la ligne d’arrivée à  11h 36 minutes. Avec un chronomètre de 4h 30min 36sec, le natif de la région du Nord-Ouest  s’adjuge pour la quatrième fois,  la première place dans cette compétition. Il bat ainsi Faï Elvis vainqueur de  l’édition 2017 de «la course de l’espoir» arrivé en seconde  position avec un chrono de 4h 38 min. Le podium chez les  Senior  messieurs  est  complété par  le kenyan  Chilemo Luka qui a réalisé un record de 4h 43min.

Tatah Carine

Chez  les dames, Tatah Carine n’a pas lésiné sur les  moyens pour s’offrir les 10 millions de  francs  cfa promis au premier dans sa catégorie. L’athlète de la ligue régionale d’athlétisme de la région du Nord-Ouest a fait des efforts surhumains pour mériter cette place très convoitée par les athlètes seniors de sexe féminin. Elle a battu au sprint à l’allée comme à l’arrivée ses concurrentes grâce à un chrono de 5h 26min 54secondes. Elle remporte ainsi pour  la première fois le titre de champion dans cette compétition. Elle a damé le pion à NGalim Lisette  championne de l’édition 2017 arrivée en seconde position avec un chrono de 5h27 min 03sec Le reste du podium est complété par Yvonne Ngwaya Njibuha vainqueur de  l’édition 2015 classée deuxième  avec un chrono de 5h, 27 min, 56secondes et par Wirngo Kpuufanla classée 3ème. Comme annoncé par le comité d’organisation chapeauté  par le président de  la  fédération  camerounaise d’Athlétisme, Emmanuel Moutomby, les prix ont été remis sur place en  présence du ministre des Sports et de l’Education Physique Ismaël Bidoung  Mkpatt du gouverneur de la région du Sud-Ouest  présent à l’évènement de l’ambassadeur itinérant Albert Roger, invité spécial à cet évènement et du représentant du  ministre sports et de l’Education  Physique.

 En plus  des  seniors  dames et  messieurs, d’autres catégories étaient aussi en compétition. A savoir, les junior dames et  messieurs, les vétérans dames  et messieurs, la course de relais  dame et messieurs. Tous ont reçu les prix pendant la cérémonie de  récompense sponsorisée par  les  brasseries du Cameroun et plusieurs autres partenaires.

D’après Yves Desire Ekwala le chef projet de la 22ème édition de l’Ascension du mont Cameroun, chez les seniors dames et messieurs, le premier a reçu en cash la somme de 10 millions, cinq millions pour le second, et deux millions pour la 3ème place.

Hervé Villard Njiélé

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Fête de la jeunesse: Les populations de Limbé résistent à la sécession

14 Février 2018, 17:48pm

Publié par Hervé Villard

Malgré la menace de boycott qui planait, ces derniers ont massivement prie part à la parade marquant la 52ème édition de la fête de la jeunesse célébrée le 11fevrier 2018 sur l’ensemble du triangle national.

célébration du 11 fevrier 2018 à la place des  fêtes de Limbé

célébration du 11 fevrier 2018 à la place des fêtes de Limbé

 

La place des fêtes de Limbé grouillait de monde ce 11 février 2018. A l’occasion de la célébration de la 52ème édition de la fête de la jeunesse, les écoliers, les élèves, les étudiants, les badauds et les commerçants, ont pris d’assaut le lieu de la cérémonie. Il était question pour eux de vivre en direct la célébration de cette fête nationale et surtout de la  marquer d’une pierre blanche.

Pour y parvenir, les habitants de cette ville eux aussi concernés par la crise sociopolitique qui menace la paix dans toute la région anglophone du Cameroun, ont bravé la menace de perturbation de la paix en vigueur dans la région. Ils ont surmonté leur peur pour participer comme l’ensemble du pays à cette fête nationale et surtout pour laisser leurs progénitures prendre par au défilé organisé à cette occasion. Car, au regard des agressions qui se multiplient dans les villes voisines, des actes de vandalismes et de meurtre commis ça et là, une menace planait sur cet évènement qui s’est heureusement tenu sans heurt.

Parade

Après l’exécution de l’hymne nationale et l’écoute du message du chef de l’Etat à la jeunesse camerounaise, ce sont les tous petits du primaire qui ont ouvert le défilé. Tête haute poitrine bombée, les pas cadencés, ils ont défilé le long de la place de fêtes tous heureux. Recadrés par leurs enseignants les surveillant à la loupe, ces jeunes Camerounais ont agrémenté leur passage par des chants patriotiques, qui appelaient à l’amour à l’union et surtout à la protection de la patrie. Les notions d’unité et de paix sacrées au Cameroun, n’ont pas échappés à ces jeunes qui n’ont besoin que de ces éléments pour grandir et s’épanouir.

A leur suite, les jeunes élèves du secondaire et des écoles de formation professionnelle ont pris la relève. Avec des majorettes et autres démonstrations, ils ont arrachés les applaudissements du public conquis et surtout ceux du préfet du département du Fako Engamba Emmanuel Ledoux qui présidait cette cérémonie.

Après le défilé des jeunes de l’Ojrdpc, c’est le défilé des clubs de sports qui est venu mettre fin à cette parade appréciée à la fois par les populations et les visiteurs. «Je n’ai pas eu peur ce matin en venant au défilé. Certains de mes amis ne sont pas venus. Parce que leurs parents  le leurs a interdit. La fête était  belle», déclare tout heureux Eddy Brice élève en class six au Lottin Nguea primary school. Son assertion est partagée par kely Ngakou enseignante de class three à l’Epc de Bonjo. «Nous vivons en paix ici. Il n’ya pas d’inquiétude à se faire. Il n’y a pas la sécession à Limbe. Les enfants fréquentes normalement. Après les perturbations de début d’année, tout est rentré dans la normal. J’ai un effectif de 35 élèves», déclare toute heureuse cette enseignante d’expression francophone.

Selon Paul Lyonga grand conseiller à la Communauté urbaine de Limbe heureux, la célébration de cette 52ème édition de la fête nationale de la jeunesse a Limbé est une réelle victoire. C’est la preuve que Limbe est débout. «Je suis heureux parce que le  défilé a eu lieu. Les populations avaient des  appréhensions par rapport à cette fête. Cela a eu lieu et on ne peut qu’être heureux. Nous avons vaincu la peur», affirme-t-il.

A la fin du défilé pas du tout militarisé comme on l’annonçait, les populations se sont rendus à Down Beach pour profiter de la brise de l’océan atlantique et continuer les festivités.

Selon les habitants de cette ville,cette dernière est plutôt calme .Et est jusqu’à présent à l’abri des actions de vandalismes et de sécession. «Nous ne voulons pas  que  cela  arrive  chez nous», martèlent-ils

Hervé Villard Njiélé  de retour de Limbé

 

 

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Ligue1:Feutcheu commence par une victoire

13 Février 2018, 14:37pm

Publié par Hervé Villard

Ligue1:Feutcheu commence par  une  victoire

Les poulains du coach MFutila Magloire ont battu Apejes de Mfou (2-1) lors du match  d’ouverture joué au Centenary stadium de Limbe ce dimanche 11 février  2018.

Magloire Mfutila le nouvel entraîneur de  Feutcheu  originaire  du  Congo Kinshassa était  fou de joie. Au coup de  sifflet  final de la  rencontre qui  opposait  son équipe  Feutcheu  football  club à Apejes de Mfou, il a  sauté  de  joie  et a enlacé fortement ses  joueurs  en signe  de  félicitation. L’émotion de ce  dernier  était  grande parce qu’il  vient  de  remporter son premier match de la saison après sa toute première rencontre. Celui qui est venu au Cameroun pour un  nouveau challenge, savait qu’il avait son mot à dire. Mais, ne s’attendait pas à gagner aussitôt. Malgré cette victoire ce dernier garde les pieds sur terre et compte travailler avec ses poulains pour occuper au moins le troisième rang à l’issu du championnat. «On est heureux pour cette victoire. Honnêtement la rencontre n’était pas facile. L’adversaire nous a causé beaucoup de difficultés mais on  bénéficié de ce coup  franc qui  a  été  concrétisé et on ne peut qu’être heureux», déclare-t-il sourire  aux lèvres.

 A coté  de  lui, les  fans  de  Feutcheu, les joueurs partageaient le même  sentiment.  Ils couraient  dans  le  stade et  se  félicitaient  mutuellement. Puisque la rencontre  n’a du tout pas  été  facile. Il a  failli beaucoup d’efforts d’abnégation et surtout un  coaching payant pour sortir du  traquenard  qu’avait tendu  Apejes  de Mfou, leur adversaire du jour.

 Mené à la  60ème  minute  par Apejes de Mfou qui a profité  du mauvais  positionnement de la  défense  de Feutcheu  pour ouvrir la marque  via  Mukete Brandon  Simon, sur  l’une  de  leurs  multiples  actions  offensives,  Feutcheu  rétablit  l’équilibre grâce  à Toko Toko Eric à la  79ème minute. Reprenant  de la  tête un centre d’Ashu Tambe parti du coté gauche de la  défense d’Apejes, il propulse le cuir dans les filets. (1-1). Feutcheu qui était un peu  transparent  à la première manche se métamorphose après  cet  égalisation.

Ashu  Tambe  qui a retrouvé son couloir de prédilection multiplie des centres qui ne sont  malheureusement pas biens exploités. Remuant balle au pied, Ashu Tambe devenu le  joueur le plus  en vue de cette  deuxième manche du  coté de Feutcheu, est fauché à l’entrée de la surface de réparation. Comme un justicier, il sanctionne lourdement cette faute  commise  sur  lieu  en  logeant d’un plat de pied  parfait, le cuir au fond  des  filets pour la première fois de son Feutcheu. Après  une saison  passée dans  l’ombre à Coton sport de  Garoua  pour cause de blessure, Ashu Tambe passeur puis buteur dans cette rencontre, annonce déjà les couleurs de la  saison.

Hervé Villard Njiele de retour de Limbe

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 Ligue professionnel : Timide lancement à Limbe

13 Février 2018, 14:26pm

Publié par Hervé Villard

Le  general Semengue, Me Dieudonné Happi président du Comité de normalisation de la Fecafoot,N'djomo Kevin, Faustin Domkeu

Le general Semengue, Me Dieudonné Happi président du Comité de normalisation de la Fecafoot,N'djomo Kevin, Faustin Domkeu

 Le coup d’envoi de la saison sportive 2017-2018 a été donné ce dimanche 11fevrier 2018 dans l’antre du Centenary stadium de Limbe par le général Semengue, président de la ligue de football professionnel du Cameroun.

 Les responsables du football camerounais concentrés

Les responsables du football camerounais concentrés

C’est dans un stade du Centenary stadium à moitié vide que la nouvelle saison sportive a été lancée ce dimanche dans la ville de Limbe, département du Fako, région du Sud-ouest. L’ambiance un peu morose qui a régné à l’occasion de cette cérémonie ne surprenait personne. Encore moins les hommes de médias. Car, il fallait s’y attendre.

En choisissant la date du 11 février, date de la célébration de la fête nationale de la jeunesse au Cameroun, il était certains que l’évènement, même s’il est sportif, ne rassemble pas autant de foule comme ce fût le cas les années précédentes. Puisque les activités de cette fête devaient occuper une bonne partie de cette population pourtant accueillante. Et ce fut le cas.

 Cependant l’aspect morose de la cérémonie n’a en rien empêché le lancement officiel de cette saison sportive, pourtant porteuse d’espoir pour le Cameroun. Eliminé de manière prématurée au dernier championnat d’Afrique des nations de football, qui s’est déroulé au Maroc du  12 janvier au 4 février 2018, le Cameroun compte sur le bon déroulement de cette saison sportive pour rehausser le niveau de ses joueurs locaux et améliorer son palmarès dans cette compétition africaine.

Lors de ce lancement officiel qui a rassemblé tous les responsables de la Ligue de football professionnel du Cameroun, de la Fédération camerounaise de football et les responsables administratifs de la ville de Limbe , au rang des quels le préfet du Fako, le sous-préfet le délégué du gouvernement auprès de la commune urbaine de Limbe, le maire, Me Dieudonné Happi le président du Comité de normalisation, Djomo  Kevin, l’un des membres de ce comité, le général Semengue a invité tous les acteurs du football à avoir un esprit sportif et surtout au respect du Fair-play.

Respect des règles éthiques

Aux populations de la région du Sud Ouest à qui il a adressé sa gratitude, le général Semengue les a rappelés que leur région sera très sollicitée au courant de la saison sportive. Car, des rencontres de ligue 1 et ligue 2 ont été délocalisée dans la zone. Ces dernières devront donc de ce fait, se mobiliser pour venir soutenir les  équipes en compétition et découvrir des spectacles. Evoquant le fait que le Sud-ouest  accueillera l’une des poules de la Can 2019, le général Semengue dans son discours de circonstance a prescrit le strict respect des règles éthiques édictées par la Fifa et l’esprit patriotique au  courant de  cette  nouvelle saison sportive.

Bien avant le coup d’envoie de la rencontre inaugurale opposant  Feutcheu Football club contre Apejes de Mfou, rencontre remportée par Feutcheu par deux  buts+ contre un, le maigre public du Centenary stadium a eu droit à des prestations musicales ayant rehaussé  l’éclat de  l’évènement.

Hervé Villard Njiélé de retour de Limbe

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Tour Cycliste international du Cameroun : Le parcours est déjà connu

9 Février 2018, 20:49pm

Publié par Hervé Villard

 

Selon les responsables de la fédération camerounaise de cyclisme qui ont tenu une réunion  préparatoire ce 9 janvier 2018 à Yaoundé, cette compétition se déroulera uniquement  dans  cinq régions.A savoir  le Centre, le Sud, le Littoral,  Sud-Ouest et  l'Ouest

 

Honoré  Yossi  le président de la Fecacyclisme a présidé ce 9 février 2018 au siège de la fédération à Yaoundé la première  réunion préparatoire du Tour Cycliste international du Cameroun prévu du 10 au 18 mars 2018. Au cours  de  cette  réunion à laquelle prenait  part ses principaux collaborateurs que  sont le Directeur Technique National et l'entraîneur national, il  était question de  statuer sur le bon déroulement de cette compétition et surtout  de  mieux  s'organiser pour la  réussir. Car, après l'organisation réussite du championnat d'Afrique des national de cyclisme qui s'est déroulé  du  31 janvier  au  4 février 2018 dans les  régions du Littoral, du Sud-Ouest et du Centre, Il n'est  point question de s'amuser. Il faut s'activer pour maintenir la flamme  allumée pour pousser les  camerounais à aimer et à intéresser aussi  au cyclisme.

 

Pour réussir ce pari, ces derniers ont commencé par la définition du parcours  de  cette compétition parrainé désormais par l'Union du  cyclisme international (Ucy). Ainsi,  le parcours  arrêté  se  décline  en  8 étapes.La 1ère étape qui se court le 10 mars Pouma- Kribi, la 2eme le 11 mars Kribi- Douala, la 3eme le 12 mars Douala- Douala ( critérium), la 4 ème étape le 13 mars Douala -Limbe ( Semé Beach), la 5 ème étape le 15 mars Mbanga- Bafang, la 6 ème étape le 16 mars Bafoussam- Dschang- Bafoussam, la 7 ème étape le 17 mars Tonga- Bangangte- Tonga, la 8 ème et dernière étape le 18 mars Bafia- Yaoundé.

 

 Selon les  membres de  la  fédération  camerounaise  de cyclisme 10 équipes venues d'Afrique, d'Europe et du Cameroun seront invitées à prendre part à la compétition..

La compétition est inscrite sur le calendrier de l'Union cycliste internationale en classe 2.2 qui a déjà désigné le président du jury des commissaires de course.

 

Hervé Villard Njiélé

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Tour de l’espoir: Joseph  Areruya  remporte le  trophée  final

9 Février 2018, 14:45pm

Publié par Hervé Villard

Le vainqueur de la tropicale Amisa  Mbongo a dominé la 1ere édition du championnat d’Afrique de cyclisme des moins de 23ans  qui s’est déroulé au Cameroun du 31 janvier au  4 février  2018.

image  archive  tour de l'Espoir

image archive tour de l'Espoir

Annoncé parmi les cyclistes favoris, qui prenaient part au championnat d’Afrique des nations de  cyclisme des moins de 23ans, organisé pour  la première fois en Afrique et  au Cameroun,  Joseph Areruya a respecté son  rang. Mieux que  ça, il a remporté le premier trophée africain de cette compétition. En dominant de bout en bout les intrépides cyclistes érythréens, marocains, sud-africains, algériens, congolais et burkinabés rompus à la tâche. Le coureur  rwandais vainqueur de  la  13ème édition du tour cycliste Amisa Mbongo qui s’est déroulé  au Gabon,  a été déclaré vainqueur de ce Championnat africain, après la dernière étape courue entre Akonono et Yaoundé, long de 80.5km. Bien que  remportée par l’Erythréen Muluebehan Henok avec un chronomètre de 1h50’44’’ c’est Joseph Areruya classé quatrième au classement par étape  avec 1h50’47’’ comme  chrono  derrière  le marocain Chokri El Mehdi (1h50'44'')deuxième et l’algérien Bengayou  Abdelraouf (01h50'47'') troisième,  qui  occupera  la première place au classement  général. 

Stratégie

 Il faut dire que Joseph Areruya le long de cette compétition aura été patient. Sachant à l’avance qu’il était attendu par les autres coureurs professionnels présents dans le tour notamment ; les Erythréens revanchards, les Marocains, les Burkinabés(…), il les a laissés  prendre légèrement de l’avance. Et a sorti les grands coups de pédales dans les dernières étapes.

 La preuve, lors des  deux  premières  étapes  courues  dans  la  ville  de Douala,  remportées  successivement par les Erythréens Mebrahtom Natnael (02h25'24'') et Habtemchael Daniel (3h41'32''), il n’était pas présent sur le podium. Car n’a remporté aucun des prix distribués. A savoir ;le maillot vert, maillot blanc à pois rouge, prix de la combativité. Il a fait mentir les  commentateurs de ce tour qui plébiscitaient l’Erythéen Selemun Zemenfes comme vainqueur de cette compétition puisqu’il a conservé le maillot vert de meilleur sprinteur durant deux  étapes.

Resté coller à la roue des  Erythréens pendant ces deux premières étapes, c’est à la 3ème étape que Joseph Areruya trahit son ambition d’être vainqueur de cette compétition africaine en terminant maillot jaune. Bien que classé 2ème a l’issue de cette étape remportée par son compatriote Mugisha Samuel (2h28'40''), il améliore sensiblement son chronomètre et réalise  son rêve à 4ème et dernière étape de ce tour. Son sacre qui ne surprend pas ses encadreurs,  permet une fois de plus de démontrer la suprématie du cyclisme rwandais sur le continent.

Le Cameroun à l’école

Pendant ce championnat d’Afrique des nations de cyclisme des moins de 23ans compétition dominée de fond en comble par les cyclistes rwandais, Erythréens ,Marocains qui ont eu au moins chacun un prix, les cyclistes camerounais n’ont pas été ridicules. Bien qu’incapable de remporter la moindre étape à domicile, ils n’ont pas abandonné la course comme certains cyclistes. Zang Ondoa Jacques Kamdem Fodjo Jordan, Priso Lobe Alain Junior,Voukeng Kemtsop Ismael ont mouillé le maillot et s’en sortent avec une mention honorable. Ce qui pousse Honoré Yossi à dire que «le cyclisme camerounais a des beaux jours devant lui».

Organisé par le groupe Vivendi Sport et la fédération camerounaise de  cyclisme, la première édition du championnat africain de cyclisme des moins de 23ans tenu au Cameroun a rassemblé 15 nations.

Hervé Villard Njiélé

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Ascension du mont Cameroun:  Les problèmes anglophones menacent l’organisation de la compétition

9 Février 2018, 14:16pm

Publié par Hervé Villard

Selon les organisateurs de l’évènement les annonceurs rechignent à accompagner la 22ème édition de la course de l’espoir  prévue le 25 février 2017 prochain.

 

L’ascension du mont Cameroun encore  baptisé  «course  de l’Espoir»  est entrée dans sa dernière  phase préparatoire. Pendant que les  athlètes des  différentes régions peaufinent les derniers entraînements, le comité  d’organisation  quant à lui est à pied œuvre pour s’assurer du bon déroulement de l’évènement.  Sur le plan organisationnel, il n’y a vraiment aucune  inquiétude à se  faire.  Avec la  construction du stade de Molyko de Buéa  par l’Etat  du Cameroun  lors de la préparation de la Can féminine 2016, le  gros du  travail a été  fait. «On a  plus  besoin d’aller aménager le site et installer  les  tentes  comme  cela se faisait par le passé. Il y a le stade et les gradins. Le gros  du  travail à faire a déjà  été facilité  avec l’aménagement de  ce  stade.  Il reste  juste  la pose  des  tartans  pour la  piste  d’athlétisme»,  signale Yves  désiré Ekwalla, secrétaire  régionale  d’athlétisme  pour le Littoral et chef  de projet d’organisation de la «Course de l’espoir».Pour parachever l’organisation de cette compétition qui revêt désormais un caractère  traditionnel, une  dernière  réunion avec le  ministre des Sports et de  l’Education Physique  est  prévue  ce  jeudi à Yaoundé. Il sera question de  revenir sur les  difficultés rencontrées  pour la tenue de la 22ème édition de cette compétition et de  trouver rapidement les  solutions avant  le  jour-j. 

 Si tout semble marcher  comme sur des roulettes pour le Comité d’organisation au four et au moulin depuis la clôture de la 21ème édition de la course de l’espoir,   C’est  du  coté  des annonceurs  que  vient le  hic.  Ces  derniers  n’accourent pas  beaucoup. Et évoquent  comme  raison  la situation sociopolitique en vigueur dans la partie  anglophone du pays. Ils craignent pour  la mobilisation et l’engouement autour de l’évènement. Et pensent que l’évènement sera  un fiasco. «Ils ont peur que les populations de Limbé  Buéa, de Bamenda qui viennent souvent à l’évènement  ne viendront  plus», tente d’expliquer Yves  Désiré Ekwalla chef de projet de la course de l’espoir. Malgré les assurances apportées par les autorités administratives, les chefs traditionnelles et même les  populations des régions  autochtones qui  promettent tout faire pour que tout se déroule normalement, l’organisation de l’évènement reçoit des  coups durs de ce  coté là.  Les annonceurs rechignent à soutenir l’évènement comme ce fût le cas par le passé ce qui complique un peu la situation. «La course de l’espoir n’intéresse pas trop  les  annonceurs. Ceux que nous avons approché peinent à s’associer à l’évènement. Ils  sont dubitatifs  quand  à la  tenue de  la  22ème édition de  la course de  l’espoir », fait savoir avec un  peu  déçus Desiré  Ekwalla. 

Malgré cette situation, précise Charles Kouoh Kotte le secrétaire générale à la fédération  camerounaise  d’athlétisme, « la  fête  sera  belle ».  Car, la course de  l’espoir a  développé  la  ville de  Buea,  sur le  plan économique  cette  compétition est très  attendue  par  les  populations locale principaux  bénéficiaires « le nombre d’hôtels qu’il y a à Buea  aujourd’hui grâce à  de la course du mont  Cameroun rivalise avec d’autres grande ville du pays. Qu’était la ville de Buea avant l’avènement du mont Cameroun. Ce sont les populations  qui tirent le meilleur partie de cet évènement dont  elles  ne peuvent pas le boycotter. La  course de l’espoir est plus qu’une fête  nationale dans cette partie  du pays», explique Charles Kouoh Kotte tout en dénonçant l’attitude des annonceurs camerounais. «Dans d’autres cieux, ce sont les annonceurs qui courent après des évènements comme celui-ci. C’est quand  même désolant  dans notre pays  que des gens se cachent derrière cette pseudo raison  pour  ne pas soutenir l’évènement. Nous on sait comment les annonceurs  fonctionnent dans notre pays et c’est  regrettable» s’offusque ce dernier avant d’inviter massivement les populations à cette  grande fête nationale.*

Coup d’envoie

Sur le plan technique et pratique, toutes les régions sont déjà prêtes et  n’attendent que  le  coup d’envoie. Les tests  de  sélections   ont déjà  eu  lieu et  les  athlètes ne font que des derniers rodages. « Nous au Littoral sommes prêts », affirme Charles Essome président de l’association des marathoniens  du Littoral. «on a fait  travailler les cotes la  dernière  fois  dimanche dernier  sur le mont Beedi. Maintenant nous allons entamer la course de  fond ce  dimanche au stade omnisports de Bepanda. Nous avons des bons athlètes on espère qu’au niveau des courses individuelles cette année nous aurons des prix», espère-t-il. Selon des informations près  de 95 athlètes dans la région du Littoral attendent avec impatience le 25 février 2017 pour montrer de quoi ils  sont capables.

Hervé  Villard Njiélé

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Conseil Constitutionnel:Clement Atangana prend les commandes

7 Février 2018, 21:29pm

Publié par Hervé Villard

 

 Votre Blog a saisi l’occasion de la nomination des responsables de cette institution, pour revenir sur le rôle que cette dernière joue sur le plan constitutionnel et vous présenter la  biographie de ce  nouvel homme fort  de la République du Cameroun

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 Il s'appelle Clément Atangana, au moment de  sa nomination, il était magistrat hors hiérarchie  de 1er Groupe en service  à la Cour Suprême. Il devient  par cet  acte du chef de l’Etat Paul Biya  le premier  président de la Cour constitutionnelle de l’histoire politique du Cameroun, institution créée par la loi N°96/06 du 18 janvier 1996 par le chef de l’Etat Paul Biya.

Comme mission,  selon la constitution, c’est  lui avec l’appui de  ses membres qui  constatent la vacance du Président de la République, son incapacité à assumer ses fonctions de président de la République. C’est cet organe qui organise l’intérim et facilite donc l’organisation des élections  présidentielles pour remplacer  le président  sortant, incapable ou décédé.  Le Conseil constitutionnel  entre en fonction au moment où doivent se tenir au Cameroun, au cours de cette année, les élections législatives, municipales, sénatoriales, et présidentielles.

 Comme autre mission, le Conseil Constitutionnel  modifie les opérations liées à la proclamation des  résultats des scrutins en vue, le Conseil constitutionnel étant chargé de veiller à la régularité des élections présidentielles et parlementaires et d’en proclamer les résultats. Jusqu’ici, les résultats de la présidentielle étaient lus par le président de la Cour suprême. Cet organe est, par ailleurs, compétent pour statuer de la constitutionnalité des lois avant leur promulgation par le chef de l’Etat, ainsi que sur les conflits entre les institutions de l’Etat, entre l’Etat et les régions, ou entre les régions.

 

Portrait du premier homme fort de la Cour constitutionnelle

Né Le 20 septembre 1941 à Ekoumeyek dans  l’arrondissement de Ngomedzap, Département du Nyong et So’o, région du Centre, Clément Atangana fait ses  études Primaires à l’Ecole Régionale de Yaoundé jusqu’à l’obtention de  son  certificat d’étude  primaire et é (C.E.P).

Entré au Collège François Xavier Vogt de Mvolyé à  Yaoundé ilobtient avec brio son Brevet d’étude du Premier cycle la première(B.E.P.C.) et une partie de son Baccalauréat.  L’année suivante  sa  migration au Lycée de Manengouba à Nkongsamba lui permet d’obtenir  son  baccalauréat, 2eme partie, série Sciences expérimentales. Il s’inscrit à la Faculté de Droit et des sciences économiques de l’Université Fédérale du Cameroun et passe  avec  brio sa  la licence en droit privé.

Par la  suite,  il est admis à la division judiciaire de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature jusqu’à l’obtention du diplôme de ladite école, puis s’en va l’Institut Internationale d’Administration Publique de Paris.

Intégré dans la Magistrature le 20 décembre 1968, a occupé tour à tour ;Juge d’Instruction au tribunal de première instance de Nkongsamba, Président des tribunaux d’instance d’Eséka, chargé de l’action publique, Président des tribunaux d’instance Bafia, chargé de l’action publique, Président des tribunaux d’instance Mora, chargé de l’action publique, Président des tribunaux d’instance Sangmélima, chargé de l’action publique. Il connait  une  promotion et est nommé Juge aux tribunaux hors classe de Douala et de Yaoundé, Président du tribunal hors classe de Yaoundé, Directeur Adjoint des Affaires judiciaires et du Sceau au Ministère de la Justice.  Sa riche  carrière lui permet d’occuper les  fonctions de Procureur général près la Cour d’Appel du Nord, Président de la Cour d’Appel du Centre, Conseiller à la Cour Suprême, et Président de la Chambre Administrative de la Cour Suprême.

Distinctions

Clément Atangana a par ailleurs été Président de la Commission Nationale de Recensement général des votes pour les élections législatives et pour l’élection présidentielle depuis 1997. Membre du Comité des Droits Economiques, sociaux et culturels des Nations Unies depuis trois mandats. Membre titulaire du Conseil Supérieur de la Magistrature. Il a reçu la distinction d’Officier de l’Ordre national de la valeur.

Le  nouveau président de la Cour suprême  déjà fatigué est marié, père de 8 enfants.

Hervé Villard Njiélé

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