Blog a caractère informatif éducatif et culturel qui vise la formation de tous ses lecteurs. Blog important à visiter. ce blog vous renseigne sur l'actualité camerounaise en générale et africaine.
L’une des curiosités du défilé du 20 mai à Douala a été le passage des défilants avec des chaussures aux talons cassés. Alors que l’on croyait que la scène ne se reproduirait plus après ce qui s’est passé l’an dernier (une défilante avait eu un déboitement de la cheville pendant le défilé). Une enseignante de surcroit s’est illustrée négativement.
Pendant la parade des établissements et plus particulièrement lors du passage du collège Saint Esprit pourtant très bien habillé, cette enseignante à eu de la peine à parcourir les deux cent mètres de marche prévus à cet effet. Ne pouvant sortir des rangs ni enlever sa chaussure elle a perturbé l’harmonie qui y avait dans ce groupe, décidé à remporté le prix réservé aux établissements qui se sont distingués durant le défilé. En lieu et place des pas cette dernière à passer le temps à traîner le pied pendant la parade. Elle ne respectait plus aucun rythme ni cadence.
Cette situation qui a donné un goût amer à cette fête, à sidérer Junior Kaparan, journaliste à Stv. Selon lui pour éviter que de tel acte se reproduise et perturbe l’harmonie une fête d’une aussi haute facture, il faudrait que de tel acte soit sanctionné par l’administration et les responsables d’établissements.
N’eût été l’intervention énergique des militants du Social Democratic Front,(Sdf), Hervé Villard pour le blog hervevillard.over -blog.com aurait terminé la fête de la réunification dans on ne sait quel geôle de la capitale économique du Cameroun.
Pendant qu’il prenait les images de l’altercation qu’il y a eu entre les forces de l’ordre et les militants du parti de la balance le 20 mai à la place de l’Udeac, il a été froissé par un agent des renseignements généraux non identifié. où. Après avoir arraché l’appareil photo du reporter l'agent en question l’a sommé de le suivre.
heureusement pour lui, un responsable du parti de la balance, qui a vécu la scène, s’est immédiatement interposé. C’est Après de longues disputes qui ont attiré l’attention des militants du Sdf venus à la rescousse que le reporter sera relâché et son appareil rendu. Bernard Tchami venu en alerte après information à eu de la peine à retrouver la tribune des journalistes après la fin de l’incident. Il a fallu qu’il se laisse fouiller par les éléments des forces de l’ordre qui avaient érigé une barrière de sécuriter à cet endroit pour finalement regagner la tribune des reporters.
Après l’altercation qu’il y a eu entre les forces de l’ordre et les militants du sdf, les militants des autres partis politiques qui participaient au défilé étaient soumis à une fouille systématique. Les hommes les comme les femmes étaient soumis à cet acte qualifié « d’ignoble » par les spectateurs venus nombreux à ce défilé. Il était question pour les éléments des forces de l’ordre de s’assurer que les militants n’ont pas de tracts dissimulés sur eux.
Les poches de kabas, des pantalons et chemises des militants étaient soigneusement fouillées par les bidasses rompus à la tâche. Tous ceux qui portaient des sacs à main ou à dos étaient tout simplement sortis des rangs sans une autre explication. Une attitude quia surpris les militants suscité le courroux de ces derniers plusieurs. «Je ne sais pas pourquoi on m’a sorti des rang. Je n’ai rien fait et je n’ai rien à cacher dans mon sac » affirme un militant expulsé des rangs par les forces de l’ordre, en présentant sa sacoche qui contient ses portables et quelques pièces de monnaie. Celui-très courroucé de ne pas participer au défilé n’a pas digéré sa colère. « Ces gens là se prennent pour qui ? On n’est venu les voir ici ? On n’est plus libre de défilé dans son pays ? » a- fulminé le militant avant d’ajouter : « ça va finir un jour ». Comme lui, plusieurs autres personnes y compris des mamans ont subi le même sors
Une banderole réclamant l’organisation des élections libres et transparentes au centre de cette décision des autorités administratives de la ville de Douala.
Les nombreuses personnes qui se sont déplacées pour la place de l’Udeac le 20 mai 2011 à Douala, pour vivre en direct le défilé marquant la célébration de la 37ème édition de la fête nationale de la réunification du Cameroun ont été désagréablement surpris de ne pas voir la parade du Sdf, premier parti politique d’opposition au Cameroun.
Pour cause, le parti de Ni John Fru Ndi à littéralement été bloqué lors de son passage par un escadron des forces de l’ordre constitué d’une patrouille mixte. Policiers anti émeutes, les éléments de la gendarmerie nationale et ceux du bataillon d’intervention rapide (Bir) ont formé un mur infranchissable devant les militants de ce parti, les empêchant ainsi de participer au défilé. Chaque mouvement des militants du sdf était contrôlé et surtout stoppé par ce mur des forces de l’ordre qui se mouvait en fonction des déplacements qu’effectuaient des militants du Social Democratic Front (SDF).
Une situation qui a occasionné une vive dispute entre les responsables du Sdf de la ville de Douala parmi lesquelles : l’honorable Jean Michel Nintcheu, député Sdf de la zone Wouri 3, Jean Robert Wafo, communicateur régional du Sdf dans le littoral, d’autres membres influents de ce parti et les forces de l’ordre.
Cet incident a notamment perturbé le déroulement du défilé pendant plus d’une demi –heure créant ainsi la colère des membres du parti de la balance qui voulait participer au défilé nationale.
Après moult explications et négociations, les deux parties n’ayant pas pu trouver un accord, les militants et les responsables de ce parti ont quitté les lieux en défilant en sens contraire.
Diviser en deux groupes, les militants ont quitté le défilé en chantant. Pendant que le 1er groupe remontait par l’axe qui va de la place de l’Udéac au « carrefour des fleurs », le second groupe lui, a fait le chemin inverse en passant par l’hôtel le Méridien. C’est au Carrefour mobile Bonakamouang que ces militants du social democratic front ont achevé leur défilé. Non sans exprimer leur mécontentement. « Ma déception est totale. Car nous constatons tout simplement que le président de la république est dictateur. » a affirmé un militant.
Pour un autre très prétentieux, cet acte des autorités est la preuve qu’ils craignent. Le Sdf « On est fier parce que les militants du Sdf ont influencé le gouverneur. Pour moi c’est une victoire » déclare –t-il.
La banderole à problème
Au centre de cet épineux problème qui a paralysé le défilé du 20 mai pendant plus d’une demi -heure à Douala, une banderole du sdf réclamant la suppression d’Elecam et l’organisation des élections libre et transparentes au Cameroun. Sur ladite banderole blanche d’environ sept mètres de long était marqué l’écrito suivant « Non à Elecam le SDF est pour des élections libres transparentes ». Les forces de l’ordre qui ont bloqué les militants du Sdf disent respecter la décision du gouverneur de la région du littoral Fai Yengo Francis.
Selon cette décision prise quelques jours avant le défilé par le gouverneur de la région du littoral, il était interdit aux partis politique de défiler avec des messages. Mesure que le Sdf selon les autorités a violée. Bien qu’ayant décidé de mettre de coté la banderole et d’accomplir comme le reste des militants des autres partis politiques leur devoir civique, les militants du sdf seront à nouveau interdits de participer au défilé. Ils seront sommés de se laisser fouiller. Chose que le député Nintcheu n’a pas apprécié. « Ces messieurs nous ont imposé une fouille au corps comme si nous entrions dans une zone sensible. Nous avons alors décidé que cela ne valait pas la peine et nous nous sommes retirés» affirme le député courroucé. Il s’est saisi de cette occasion pour tancer les autorités camerounaises en place : « Nous avons été interdit de défiler pour une affaire de banderole. Nous constatons que le pouvoir de Biya est devenu fébrile. Nous ne comprenons pas pourquoi ils nous ont empêchés de défiler. Et en plus, notre message n’avait rien de tendancieux ou de provocateur. Nous ne voyons pas en quoi ce message était plus provocateur que ces messages et encenseurs que brandissaient les militants du Rdpc. » Fustige-t-il.
La première réunion préparatoire de cet événement s’est déroulée le 7 mai 2011 au siège de l’association des jeunes élèves et étudiants Bana (AJEEB) de la cité Cicam à Douala.
Réfléchir sur les innovations à apporter aux colonies de vacances qui se tiendront à Bana (arrondissement du Haut-Nkam) du 1er au 15 août 2011, tabler sur les activités qui meubleront le programme d’activité durant ses deux semaines d’études et de détentes. Voilà résumer d’une manières succincte les objectifs visés par la réunion extraordinaire des présidents des associations des jeunes Bana du Cameroun qui s’est tenue au siège de l’AJEEB de le Cité-Cicam le 7 mai dernier.
Durant cette réunion extraordinaire, l’ordre du jour a porté sur le plan d’action des colonies de l’année 2011. Il était question de rompre avec la monotonie des éditions précédentes et bâtir un plan d’action solide comportant des innovations pour rénover l’événement.
Suite au débat houleux qui a eu lieu durant cette séance, les activités suivantes devant faire partie du programme des les colonies de vacances ont été arrêtées.
Au chapitre du nettoyage général, les investissements humains dans les édifices publics, les lieux administratifs, le nettoyage des châteaux d’eau, auront une place importante dans le chronogramme des activités. Les jeunes visiteront pareillement les centres de santé de l’arrondissement de Bana ; à savoir Bakassa, Bana, Bakotcha et BAtcha. Ils en profiteront pour remettre des dons à certains malades et aux responsables des dits lieux.
Pour d’avantage dynamiser les rapports qui existent entre les responsables sanitaires et la population villageoise, des conférences portant sur les maladies vénériennes seront organisées.
Au niveau Culturel, des ateliers seront organisés pour initier les jeunes à la fabrication des chaises traditionnelles, à l’apprentissage des danses traditionnelles et la formation aux techniques de culture agricole.
En plus de ces activités, des entretiens avec le Chef Bana, les notables et les patriarches du village auront lieu autour du thème baptisé « Soir au village ». Ce sera l’occasion pour les jeunes ressortissants de ce village de flirter avec les anciens et apprendre la culture du terroir. Des contes et légendes du village leurs seront contés à cet effet. Pour clôturer le chapitre culturel, le film des jeunes Bana intitulé « Za Nou dédé » sera diffusé en live.
Sur le plan sportif le bureau national de l’association des jeunes Bana du Cameroun entend former une équipe de football qui prendra part au tournoi baptisé ‘’Orange foot’’ qui se déroule à Bana pendant les vacances.
Comme jeux et divertissements, des compétitions de jeux de dame, Scrabbles monopolis, et d’autres attractions diverses seront organisés. Les deux semaines de flirt avec la tradition et surtout plein de divertissement s’achèvera par une soirée de gala au cours de la quelle de nombreux prix seront remis aux jeunes qui se seront démarqués durant ces deux semaines de festivité.
Comme innovation, précise un membre du bureau national « c’est l’élection de la « miss Bana » du Cameroun. Et pour être candidat à ce poste, ajoute-t-il, toute jeune fille Bana doit d’abord être investie par une association de jeunes Bana, savoir parler et écrire l’une des deux langues nationales, à savoir le français où l’anglais et parler couramment la langue Bana. Il faut par ailleurs proposer un projet de développement fiable que le bureau nationale devra financer.»
Evènement qui se tient après deux ans, les colonies de vacance au village Bana sont financés par les élites de ce village. C’est une occasion à ne pas rater car précise Dieudonné Yamessi le chargé culturel au bureau national des jeunes Bana « C’est une occasion pour connaître sa culture. » C’est pourquoi poursuit-il « J’invite les jeunes Bana à passer s’inscrire dans les centres pour que les noms figurent sur la liste des participants et je les garanti qu’il y aura des surprises positives durant l’édition de cette année comparativement aux éditions précédentes. C’est également pour les jeunes Bana d’apprendre la langue vernaculaire et en savoir d’avantage sur leur culture. Car, la culture est ce qui reste quand on a tout perdu » affirme-t-il.
Pour participer à cet évènement qui suscite beaucoup d’engouement au sein de la jeunesse Bana, il faudra être âgé de 2 à 40ans, être investi par un bureau et payer sa carte d’adhésion qui s’élève à 500 FCFA.
Elles ont pris part aux journées portes ouvertes des associations organisées par la communauté urbaine de Douala. C’était du 20 au 21 novembre 2012 à la salle des fêtes d’Akwa.
«Le développement et l’embellissement d’une ville comme la notre n’est plus une affaire seulement des pouvoirs publics, de la communauté urbaine, des mairies d’arrondissement mais, c’est l’affaire de tous. C’est une coproduction. Et, avec la décentralisation, il ne faudra plus que les populations soient toujours bénéficiaires de ce que l’Etat apporte. Mais il faut qu’elles contribuent aussi, et y participent activement. Cette démarche participative nous amène à impliquer tout le monde. C’est pourquoi, la communauté urbaine de Douala a créé cette plate forme d‘échange avec les associations, pour former un réseau cohérent où, les uns et les autres se connaissent. Où, on s’efforce de connaitre les activités des uns et des autres afin de travailler avec synergie. Les associations sont des relais sûrs dans les quartiers. Ce qui fait que chaque année, nous organisons une journée porte ouverte avec les associations»
Ces phrases sont de Fritz Ntone Ntone le délégué du gouvernement au près de la communauté urbaine de Douala. Rencontré pendant la cérémonie de clôture des journées portes ouvertes des associations, qui s’est tenue à la salle des fêtes d’Akwa du 20 au 21 novembre 2012, il a précisé l’importance d’une telle journée pour la ville de Douala.
Pour le délégué du gouvernement, les journées portes ouvertes des associations permettent d’échanger et de et de partager les expériences. C’est une occasion importante pour recycler les responsables et membre des associations, sur les différentes stratégies de développement possibles. «L’échange est indispensable. Car, ça permet de savoir ce dont les uns et les autres ont besoin et surtout ce qu’il y a lieu de faire pour avancer », précise le délégué. Il a pareillement invité tous ceux qui étaient présents pendant les deux jours de travaux de faire bon usage des informations reçues.
Pendant ces travaux avec les responsables de la communauté urbaine de Douala, les participants ont eu droit à des exposés, des conférences et surtout des travaux en atelier. Ils ont été formés sur les méthodes de recherche de financement, de communication et surtout des moyens de sensibilisation.
En marge de cette activité, une mini foire des associations a été organisée à l’esplanade de la salle des fêtes. Plusieurs produits variés y ont été d’ailleurs exposés. Il s’agit des vêtements, des objets d’arts, des produits naturels, du miel et autres objets importants.
Charlin Chouagam, président du cercle d’animation et de réflexion des jeunes de Makepe (Carjm) s’est estimé heureux. «J’ai appris beaucoup de choses. Surtout les techniques de montages de projet, Comment développer des ressources pour auto financer les projets de l’association. L’expérience était bénéfique », a-t-il déclaré.
Plusieurs associations ont d’ailleurs saisi cette occasion pour décrier le manque d’assistance et les problèmes financiers qu’ils connaissent au quotidien.
L’équipe nationale du Cameroun est passée de la 48ème à la 49ème place du nouveau classement Fifa publié hier sur le site internet fifa. Com.
L’équipe nationale de football du Cameroun est en ballotage défavorable au niveau de l’instance faitière du football FIFA. Sa côte à cette bourse a chuté et ce, depuis qu’elle réalise des mauvais résultats durant ses rencontres internationales. Ce n’est pas le dernier classement Fifa qui nous démentirait. Selon ce tableau publié hier sur le site internet FIFA.com et qui classe les équipes en fonction de leur performance, le Cameroun occupe désormais la 49ème place. Derrière l’Algérie(41), le Sénégal (40) le Nigéria (39) l’Afrique du Sud (37) l’Egypte (36), la Côte d’Ivoire (21) et Le Ghana(15). Selon ce classement du mois de mai, le pays de Roger Milla et de Samuel Eto’o fils perd ainsi une place. Il passe de la 48ème place qu’il occupait au mois d’Avril à la 49ème.
Ce déclassement du Cameroun qui n’est pas de nature à plaire aux supporters des lions indomptables ne surprend du moins pas les observateurs avertis du football, au regard des résultats que cette équipe, (qui faisait pourtant il y a encore quelques années seulement la fierté de tout un continent) réalise depuis ces derniers temps C’est la preuve que le football camerounais va mal. Et qu’il est temps pour les dirigeants du Cameroun d’oublier les anciens trophées conquis, les anciens succès réalisés par les lions indomptables du Cameroun et de mettre une vrai politique sur pied pour rebâtir le football et conquérir de nouveau trophée et succès.
Dans ce classement, l’Espagne occupe la première place avec1857 points devant les pays –bas (1702) 2ème le brésil (3ème), l’Allemagne 4ème et l’Argentine 5ème. La première place africaine revient au Ghana classé 15ème (918points) devant la France (19ème) qui totalise 883 points
L’orage qui s’est abattu sur la ville de Douala dans la nuit de lundi à mardi dernier a endommagé la connexion Internet dans la capitale économique du Cameroun. Toute la ville a de ce fait été paralysée.
«N’y a-t-il pas également de connexion Internet dans votre cyber Café ? J’ai déjà fait le tour des autres cybers de la ville sans succès. J’ai une communication urgente à passer à mon cousin à l’étranger. Je ne sais comment le faire sans la connexion Internet. La panne apparemment doit être générale ».
Telle est l’affirmation de Manefo Sandrine, une citoyenne camerounaise rencontrée au« Point prestige », un cyber Café situé non loin du carrefour dit « ancien collège des travailleurs » à Akwa.
Cette dernière, par ces mots, exprimait son indignation face à l’absence de la connexion Internet dans la ville de Douala ce jour là. Sortie communiquer avec son frère depuis la Belgique, elle ne le fera pas ce jour, du moins pas à cet instant. Ceci à cause de l’absence de réseau Internet.
Au «cyber café le Campus » situé non loin du lieu dit à Ange Raphaël, la situation est la même, et les internautes ne cessent de ce plaindre. « Qu’est ce qui se passe avec le net ce jour » ? « Je dois dialoguer avec mon blanc depuis l’Espagne. Il vient de m’appeler et il n’ y a pas de réseau que vais-je faire » L’absence du réseau Internet nous cause beaucoup de dommages »
A coté de ces multiples plaintes qui fusent de par et d’autres, l’un des cas les plus pathétiques, est celui de Ngako Joseph. Etudiant à l’université de Douala, il est venu envoyer son devoir de sociologie via le net à son enseignant . « Le date ligne de ce devoir est fixé ce jour. Si je ne parviens pas à faire parvenir mon devoir, au prof aujourd’hui, il va m’attribuer la note zéro au contrôle continu (CC) ; et je vais reprendre la classe » déclare-t-il avec inquiétude.
A l’origine de se désagrément une panne technique causé par un violent orage qui s’est abattu sur la capitale économique du Cameroun la veille. Selon un responsable du service client à Orange Cameroun, interpellé pour la circonstance, la rafale qui s’est abattue sur la ville à endommagé un des relais de transmission de la connexion, ce qui justifie l’absence du réseau Internet. Celui-ci rassure du moins les abonnés sur le retour imminent du réseau. « Nos agents sont en train de résoudre le problème, ne vous en faites pas ça sera rétablit bientôt » affirmait-il.
D’énorme perte économique.
L’indisponibilité de la connexion Internet dans la ville de Douala et dans le Cameroun tout entier a crée de nombreuses pertes économiques.
Selon les responsables des cybers café de la ville de Douala, la journée de lundi est « tombée à l’eau. » «Quand il n’ y a pas la connexion Internet moi je ne gagne pas. La journée est gratuite chez moi. Puisque les clients ne peuvent ni surfer ni passer des appels internationaux, domaines dans lequel j’exerce. Vous comprenez donc c’est une journée difficile pour moi. » Affirme Bolo gérant de cyber.
Pour Martin Ngounou, gérant du cyber Point Prestige à Akwa, «Cette journée de lundi est une journée blanche. Les impressions que je fais habituellement et certains documents que je scanne sont tirés du net. Les appels internationaux aussi se font grâce à la connexion Internet, J’ai presque rien gagner aujourd’hui précise -t-il ».
A ces pertes réalisées par les gérants des cybers café, viennent s’ajouter ceux des micro finances faisant dans les transferts de crédits. Ici il était impossible d’envoyer au clients des messages les informant de l’envoie ou du retrait des mandats.
Dans d’autres entreprises les pertes se situaient au niveau des échanges de services. Il était pratiquement impossible de communiquer.
Cette situation regrettable pour l’économie du Cameroun, pourtant en malaise économiques depuis quelques années, suite à la crise économiques qui a frappée notre pays vient remettre sur la sellette le problèmes des infrastructures de communications dans notre pays et plus particulièrement celui de la gestion et la promotion des nouvelles techniques de l’information et de la communication dans notre pays.
Secteur en pleine expansion en Europe et qui contribue au rayonnement de leur économie, il est grand temps que le Cameroun accorde du sérieux au développement de ce secteur et de ses services s’il veut sortir du sous développement dans lequel il se trouve.
Dans une conférence au centre culturel Blaise cendras de Douala il a demandé à ces derniers de réfléchir sur les problèmes qui minent le Cameroun et l’Afrique.
Le rôle de l’intellectuel est de réfléchir sur les problèmes de la société. Il a pour mission à traversles débats sociaux qu’il soulève,les réflexions qu’il mène d’influencer positivement la marche de la société et surtout de contribuer à son développement et de son épanouissement. Il joue un rôle capital dans une nation c’est pourquoi il est indispensable. Pour assumer parfaitement son rôle, pour demeurer convainquant, il doit se documenter, se former et s’informer en permanence.
Ainsi peut se résumer le message que Hubert Mono Ndjana, professeur des universités et chef de départements de philosophie à l’université de Yaoundé I a adressé à la communauté intellectuelle du Cameroun, d’Afrique, et aux membres sympathisants du « Club du Mardi » le 26 avril 2011 dernier. C’était au centre culturel Blaise Cendras de Douala (CCF) à partir de 17h 30 minutes.
Pendant la conférence qui a servi de cadre à cette communication et qui avait pour thème « le Rôle de l’intellectuelle africain dans la société actuelle : Cas du Cameroun», le professeur Hubert Mono Ndjana a instruit le public présent sur la notion de l’intellectuelle. Ainsi, on pouvait apprendre que, bien que qu’il soit polysémique, le mot intellectuel, qui tire son origine du latin ’’inteligere’’, désigne celui qui cherche à comprendre les rapports qui existent entre les choses. Ce terme permet de désigner tout spécialiste qui quitte son domaine de spécialisation pour s’intéresser aux problématiques plus globales. Il n’est plus qu’un simple diplômé d’université mais quelqu’un qui essaye de trouver le rapport qu’il existe entre son domaine de spécialisation et la société.
Pour être un intellectuel, il faut s’intéresser aux problématiques de l’heure. S’attaquer aux problèmes de gouvernance, de corruption, de démocratie, en actualité aux Cameroun et en Afrique, afin de proposer des pistes et des solutions pour lutter efficacement contre ces fléaux qui inhibent le développement de l’Afrique
Pour illustrer sa pensée et justifier le rôle prépondérant que joue l’intellectuel au sein de la société à laquelle il appartient, Hubert Mono Ndjana a fait allusion à l’influence des philosophes des lumières sur la politique gouvernementale des pays européens au 18ème siècle. «C’est grâce aux réflexions qu’ils ont menées et la rédaction du Contrat Social par Rousseau qu’ils ont renversé le régime politique en place. Les monarchies de droit divin ont ainsi cédé la place à la république » a-t-il affirmé. « Comme les philosophes de lumières, les intellectuelles africains et camerounais devraient agir de la sorte pour impacter la société, pour contribuer à son évolution » précise-t-il.
L’auteur de l’ouvrage l’Idée social Chez Paul Biya, s’est également intéressé aux différents conflits qui se déroulent en Afrique durant cette conférence. Il a décrié l’ingérence de la communauté internationale dans la crise Ivoirienne et Libyenne. Pour lui, c’est une injustice criarde que les intellectuels africains doivent dénoncer. Ces derniers doivent questionner le mode de gouvernance des Nations Unies et réinterroger cette politique de gestion du monde. Cet enseignant de rang magistral pense par ailleurs que, le moment est venu pour les intellectuels camerounais et africains, de réfléchir et de proposer aux politiques des mesures de contournement de cette politique étrangère. Même s’ils ne sont pas souvent compris, il a exalté ces derniers à plus d’engagement et à plus d’efforts.
Dans une conférence au centre culturel Blaise cendras de Douala il a demandé à ces derniers de réfléchir sur les problèmes qui minent le Cameroun et l’Afrique.
Le rôle de l’intellectuel est de réfléchir sur les problèmes de la société. Il a pour mission à traversles débats sociaux qu’il soulève,les réflexions qu’il mène d’influencer positivement la marche de la société et surtout de contribuer à son développement et de son épanouissement. Il joue un rôle capital dans une nation c’est pourquoi il est indispensable. Pour assumer parfaitement son rôle, pour demeurer convainquant, il doit se documenter, se former et s’informer en permanence.
Ainsi peut se résumer le message que Hubert Mono Ndjana, professeur des universités et chef de départements de philosophie à l’université de Yaoundé I a adressé à la communauté intellectuelle du Cameroun, d’Afrique, et aux membres sympathisants du « Club du Mardi » le 26 avril 2011 dernier. C’était au centre culturel Blaise Cendras de Douala (CCF) à partir de 17h 30 minutes.
Pendant la conférence qui a servi de cadre à cette communication et qui avait pour thème « le Rôle de l’intellectuelle africain dans la société actuelle : Cas du Cameroun», le professeur Hubert Mono Ndjana a instruit le public présent sur la notion de l’intellectuelle. Ainsi, on pouvait apprendre que, bien que qu’il soit polysémique, le mot intellectuel, qui tire son origine du latin ’’inteligere’’, désigne celui qui cherche à comprendre les rapports qui existent entre les choses. Ce terme permet de désigner tout spécialiste qui quitte son domaine de spécialisation pour s’intéresser aux problématiques plus globales. Il n’est plus qu’un simple diplômé d’université mais quelqu’un qui essaye de trouver le rapport qu’il existe entre son domaine de spécialisation et la société.
Pour être un intellectuel, il faut s’intéresser aux problématiques de l’heure. S’attaquer aux problèmes de gouvernance, de corruption, de démocratie, en actualité aux Cameroun et en Afrique, afin de proposer des pistes et des solutions pour lutter efficacement contre ces fléaux qui inhibent le développement de l’Afrique
Pour illustrer sa pensée et justifier le rôle prépondérant que joue l’intellectuel au sein de la société à laquelle il appartient, Hubert Mono Ndjana a fait allusion à l’influence des philosophes des lumières sur la politique gouvernementale des pays européens au 18ème siècle. «C’est grâce aux réflexions qu’ils ont menées et la rédaction du Contrat Social par Rousseau qu’ils ont renversé le régime politique en place. Les monarchies de droit divin ont ainsi cédé la place à la république » a-t-il affirmé. « Comme les philosophes de lumières, les intellectuelles africains et camerounais devraient agir de la sorte pour impacter la société, pour contribuer à son évolution » précise-t-il.
L’auteur de l’ouvrage l’Idée social Chez Paul Biya, s’est également intéressé aux différents conflits qui se déroulent en Afrique durant cette conférence. Il a décrié l’ingérence de la communauté internationale dans la crise Ivoirienne et Libyenne. Pour lui, c’est une injustice criarde que les intellectuels africains doivent dénoncer. Ces derniers doivent questionner le mode de gouvernance des Nations Unies et réinterroger cette politique de gestion du monde. Cet enseignant de rang magistral pense par ailleurs que, le moment est venu pour les intellectuels camerounais et africains, de réfléchir et de proposer aux politiques des mesures de contournement de cette politique étrangère. Même s’ils ne sont pas souvent compris, il a exalté ces derniers à plus d’engagement et à plus d’efforts.