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Le blog de Hervé Villard Njiélé

Mouvement d’humeur à la société Foma

15 Juillet 2009, 15:53pm

 

 

Le personnel crie sont ras-le bol

 

Ils ont observé un arrêt des travaux dans l’un des chantiers à Akwa, hier matin, pour manifester leur colère.

 

« Nous travaillons dans cette entreprise depuis cinq ans comme temporaires, sans bulletin de paie, sans date fixe de paiement. Est-ce qu’il y a la loi au Cameroun, monsieur le préfet ? »  « Arrêter de pratiquer l’exploitation de l’homme par l’homme sur le personnel. » « Où sont partis les droits de l’homme au Cameroun? »  Voilà quelques expressions qu’on lisait hier matin, en s’approchant du chantier de la société Foma  sis au carrefour ‘’Idéal’’ à Akwa.

  Ecrites sur des tableaux et disposés juste à l’entrée de ce chantier. Ces expressions disaient long sur les conditions de travail des ouvriers de cette entreprise qui fait dans la construction des bâtiments.  Absence de primes de risque,  salaire minable, non affiliation à la caisse nationale de la prévoyance social (CNPS),  paiement des salaires à volonté. Bref le personnel affirme être mal traité.

Selon les employés de cette entreprise qui manifestaient leur mécontement devant le chantier, la situation perdure depuis près de cinq ans. « Trop c’est trop ! Cette situation a déjà trop duré comme ça ! Il faut que ça change. » S’exclame un employé. « Vous allez payer notre argent, si non  on gâte tout » poursuit il en faisant des va et vient  devant l’immeuble en chantier. Celui-ci vraiment courroucé ne veut plus rien entendre, sauf la résolution des problèmes que posent les employés. Ces derniers réclament deux mois d’arriérés de salaire, leur recrutement par l’entreprise, le paiement de la prime de risque, une période fixe de paiement du salaire, l’assistance en cas de maladie. Bref, l’amélioration de leur condition de travail.  Ces revendications voient le jour tardivement parce que précise un employé qui a requis l’anonymat « A chaque fois qu’on manifestait notre   colère, les patrons  menaçaient de nous licencier.»  Ce débrayage ne fait pas l’unanimité parmi les employés. Pendant que les uns manifestent leur ras le bol, les autres sont du coté des patrons.  Les ouvriers faisant parti de cette  deuxième vague, qui est en marge de tout mouvement de revendication  sont selon les grévistes, les frères du propriétaire de l’entreprise et des responsables..   Ce débrayage selon les ouvriers allait avoir lieu depuis jeudi. Elle a juste été freinée.  Comme mobil du mouvement d’humeur ils décrient la mort d’un ouvrier il y a deux semaines qui n’a bénéficié d’aucune assistance. « L’entreprise était incapable d’acheter une gerbe de fleur.»             Les responsables de cette entreprise qui tenaient une réunion de crise, ont rabroué la presse qui voulait avoir leurs versions des faits. «  Mettez les dehors. On ne les veut pas ici. Sortez ! » ont-ils affirmé. Cette situation a paralysé les travaux dans ce chantier. En attendant la résolution de la réunion de crise, les employés on promis poursuivre le mouvement si rien n’est fait.  La société Foma, Société à responsabilité limitée qui fait dans la construction des bâtiments emploie au moins 800personnes.

 

Hervé Villard Njiélé 

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Thèrese Ngono Etoundi : Une athlète aux prouesses remarquables

15 Juillet 2009, 15:30pm

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15 Juillet 2009, 12:03pm

 

 

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Université de Douala: La Fsega fait sa prromo

15 Juillet 2009, 11:48am

 

 

La 5ème édition du forum de l’entreprise se tient au sein du campus

universitaire de Douala depuis le 12 juillet dernier.

 

Présenter les différentes filières de formation de la faculté des sciences économiques et de gestion appliquées (Fsega) aux entreprises et aux populations, permettre aux étudiants de cette faculté de  présenter leurs savoirs faire, ce sont là, quelques objectifs que vise le 5ème  forum des entreprises organisé par la faculté des sciences économiques et de gestion appliquée (Fsega) de l’université de Douala. En plus de ses objectifs, les étudiants de la Fsega voudraient par ailleurs nouer des contacts avec les entreprises, partager avec elles afin de s’imprégner des réalités du monde professionnel.   Durant ce  5ème forum   qui se tient au campus I dudit établissement du 12 au 19 juillet 2009, les participants auront droit à une panoplie d’activités. Des conférences débats, des tables rondes, des séminaires de formation sur la comptabilité  la gestion et les finances meublent le menu. En plus, une foire exposition vente  permettant aux entreprises de présenter leurs différents produits, de même que  des jeux et attractions diverses sont également au menu du jour.  Selon Albert Mbappe, le président de l’association des étudiants de la faculté des sciences économiques et de gestion appliquée, ce forum permet aux étudiant de Fsga de prouver de quoi ils sont capables «le forum met l’étudiants au devant de la scène. Il permet à ceux-ci de prouver leurs compétences. Bref, le forum permet aux étudiants de Fsega de démontrer leurs savoirs faire.». Les organisateurs ont placé ce 5ème forum de l’entreprise sous le signe de la relance. Car l’année dernière, le forum n’avait pas été  organisé.

Comme particularité, cette 5ème édition, comporte une foire d’exposition vente,  permettant aux entreprises de présenter leur différentes prestations, et des séminaires de formation animés par des professionnels et des enseignants visant à édifier les étudiants sur des thèmes clés de la profession. L’élection de la miss et master de la Fsega n’est pas en reste. Elodie kom, responsable de l’organisation du défilé des miss affirme déjà que la compétition dans cette discipline est rude. « Nous voulons montrer à travers cette rubrique la beauté de l’étudiant de la Fsega. Ce  n’est pas facile mais les résultats seront donnés jeudi prochain »

Au campus un de l’université de Douala où le village de la foire est installé, de nombreuses entreprises exposent déjà leurs différents produits. L’auto école Bosco, qui propose des formations en conduite automobile, l’écotourisme de Dschang qui fait la promotion et vend les destinations touristiques et tant d’autres entreprises  ont pris d’assaut  le site.

Démarré tardivement pour des raisons de financement, la 5ème édition du forum de l’entreprise a effectivement débuté hier matin avec les jeux et attractions diverses. Albert Mbappè,  le président de l’assemblée des étudiants de la faculté des sciences et de gestion appliquée (AE-Fsega) décrie par ailleurs le manque de participation des entreprises à cet évènement.

Hervé Villard Njiélé

 

  

 

 

 

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Université de Douala: La Fsega fait sa prromo

15 Juillet 2009, 11:48am

 

 

La 5ème édition du forum de l’entreprise se tient au sein du campus

universitaire de Douala depuis le 12 juillet dernier.

 

Présenter les différentes filières de formation de la faculté des sciences économiques et de gestion appliquées (Fsega) aux entreprises et aux populations, permettre aux étudiants de cette faculté de  présenter leurs savoirs faire, ce sont là, quelques objectifs que vise le 5ème  forum des entreprises organisé par la faculté des sciences économiques et de gestion appliquée (Fsega) de l’université de Douala. En plus de ses objectifs, les étudiants de la Fsega voudraient par ailleurs nouer des contacts avec les entreprises, partager avec elles afin de s’imprégner des réalités du monde professionnel.   Durant ce  5ème forum   qui se tient au campus I dudit établissement du 12 au 19 juillet 2009, les participants auront droit à une panoplie d’activités. Des conférences débats, des tables rondes, des séminaires de formation sur la comptabilité  la gestion et les finances meublent le menu. En plus, une foire exposition vente  permettant aux entreprises de présenter leurs différents produits, de même que  des jeux et attractions diverses sont également au menu du jour.  Selon Albert Mbappe, le président de l’association des étudiants de la faculté des sciences économiques et de gestion appliquée, ce forum permet aux étudiant de Fsga de prouver de quoi ils sont capables «le forum met l’étudiants au devant de la scène. Il permet à ceux-ci de prouver leurs compétences. Bref, le forum permet aux étudiants de Fsega de démontrer leurs savoirs faire.». Les organisateurs ont placé ce 5ème forum de l’entreprise sous le signe de la relance. Car l’année dernière, le forum n’avait pas été  organisé.

Comme particularité, cette 5ème édition, comporte une foire d’exposition vente,  permettant aux entreprises de présenter leur différentes prestations, et des séminaires de formation animés par des professionnels et des enseignants visant à édifier les étudiants sur des thèmes clés de la profession. L’élection de la miss et master de la Fsega n’est pas en reste. Elodie kom, responsable de l’organisation du défilé des miss affirme déjà que la compétition dans cette discipline est rude. « Nous voulons montrer à travers cette rubrique la beauté de l’étudiant de la Fsega. Ce  n’est pas facile mais les résultats seront donnés jeudi prochain »

Au campus un de l’université de Douala où le village de la foire est installé, de nombreuses entreprises exposent déjà leurs différents produits. L’auto école Bosco, qui propose des formations en conduite automobile, l’écotourisme de Dschang qui fait la promotion et vend les destinations touristiques et tant d’autres entreprises  ont pris d’assaut  le site.

Démarré tardivement pour des raisons de financement, la 5ème édition du forum de l’entreprise a effectivement débuté hier matin avec les jeux et attractions diverses. Albert Mbappè,  le président de l’assemblée des étudiants de la faculté des sciences et de gestion appliquée (AE-Fsega) décrie par ailleurs le manque de participation des entreprises à cet évènement.

Hervé Villard Njiélé

 

  

 

 

 

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Université de Douala: La Fsega fait sa promotion.

15 Juillet 2009, 11:36am

   La 5ème édition du forum des entreprises se tient au sein du campus universitaire de Douala depuis le 12 juillet
dernier.et se poursuivra jusqu'au 19 juillet. 


 Présenter les différentes filières de formation de la faculté des sciences économiques et de gestion appliquées (Fsega) aux entreprises et aux populations, permettre aux étudiants de cette faculté de présenter leurs savoirs faire, ce sont là, quelques objectifs que vise le 5ème forum des entreprises organisé par la faculté des sciences économiques et de gestion appliquée (Fsega) de l’université de Douala. En plus de ses objectifs, les étudiants de la Fsega voudraient par ailleurs nouer des contacts avec les entreprises, partager avec elles afin de s’imprégner des réalités du monde professionnel. Durant ce 5ème forum qui se tient au campus I dudit établissement du 12 au 19 juillet 2009, les participants auront droit à une panoplie d’activités. Des conférences débats, des tables rondes, des séminaires de formation sur la comptabilité la gestion et les finances meublent le menu. En plus, une foire exposition vente permettant aux entreprises de présenter leurs différents produits, de même que des jeux et attractions diverses sont également au menu du jour. Selon Albert Mbappe, le président de l’association des étudiants de la faculté des sciences économiques et de gestion appliquée, ce forum permet aux étudiant de Fsga de prouver de quoi ils sont capables «le forum met l’étudiants au devant de la scène. Il permet à ceux-ci de prouver leurs compétences. Bref, le forum permet aux étudiants de Fsega de démontrer leurs savoirs faire.». Les organisateurs ont placé ce 5ème forum de l’entreprise sous le signe de la relance. Car l’année dernière, le forum n’avait pas été organisé. Comme particularité, cette 5ème édition, comporte une foire d’exposition vente, permettant aux entreprises de présenter leur différentes prestations, et des séminaires de formation animés par des professionnels et des enseignants visant à édifier les étudiants sur des thèmes clés de la profession. L’élection de la miss et master de la Fsega n’est pas en reste. Elodie kom, responsable de l’organisation du défilé des miss affirme déjà que la compétition dans cette discipline est rude. « Nous voulons montrer à travers cette rubrique la beauté de l’étudiant de la Fsega. Ce n’est pas facile mais les résultats seront donnés jeudi prochain » Au campus un de l’université de Douala où le village de la foire est installé, de nombreuses entreprises exposent déjà leurs différents produits. L’auto école Bosco, qui propose des formations en conduite automobile, l’écotourisme de Dschang qui fait la promotion et vend les destinations touristiques et tant d’autres entreprises ont pris d’assaut le site. Démarré tardivement pour des raisons de financement, la 5ème édition du forum de l’entreprise a effectivement débuté hier matin avec les jeux et attractions diverses. Albert Mbappè, le président de l’assemblée des étudiants de la faculté des sciences et de gestion appliquée (AE-Fsega) décrie par ailleurs le manque de participation des entreprises à cet évènement.
Hervé Villard Njiélé

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Incendie à Douala:Deux personnes se brûlent au 2ème degré

9 Juillet 2009, 19:37pm

Deux personnes se brûlent au 2ème degré. Deux personnes se sont brûlés au 2ème degré dans un incendie qui s’est déclaré dans une cité située non loin du lieu dit Mon Essec à Douala. « Me voici tout. Je n’ai plus rien. Tout ce que j’ai, c’est ce que vous voyez sur moi. J’habitais avec mes parents dans cette maison. Nous formons une famille de sept personnes. » Sans tee-shirt, et ayant pour seul vêtement le pantalon Jeans bleu qu’ils porte,Martial Fopi, un jeune garçon d’environ 15 ans fait partie des victimes de l’incendie qui s’est déclarée tard dans la nuit d’hier au lieu dit mont Essec à Ange Raphaël. Sous la pluie qui tombait hier matin, il recherche parmi les objets brûlés quelques pièces importantes qui auraient échappées aux flammes. Il affirme que rien n’a été sauvé lors de cet incident qui a ravagé toute la cité. « Nous avons tout perdu dans cette incendie. On a pu rien sauvé. » Précise –t-il. En montrant le studio qu’il occupait réduit en cendre. Sur le lieu du drame, l’air sent encore le brûlé. Des carcasses de motos de vélo de téléviseurs, de congélateurs, et des ustensiles de cuisines jonchent le sol. Tout près, se trouvent des restes d’armoires de lits et de vêtements consumés par les flammes, le tout dans un mélange de cendre et de charbon issus des objets incendiés. Selon les informations recueillies sur le lieu du drame, l’incendie a été constaté autour de une heure la nuit pendant que tout le monde dormait. La maison étant construite en matériaux provisoires, elle va rapidement s’embraser. Le Feu trop violent, va lécher toute la cité avant de s’attaquer aux chambres du premier étage de l’hôtel Mont Essec situé tout près. Sept chambres de cet hôtel de même que leur contenu subiront les affres des flammes. Seul les occupants vont réussir à s’échapper. D’après les habitants de la cité, c’est la négligence de l’un des habitants de la cité qui est à l’origine de l’incendie. « La femme qui occupait la chambre voisine a abandonné la nourriture au feu en allant raccompagner son mari. C’est ainsi que la maison s’est brûlée. » Témoigne Ezekiel Tetsogo, une victime étudiant en faculté de sciences à l’université de Douala. Selon les victimes, la jeune dame s’est enfuit après avoir constaté son forfait. Des pertes énormes. Daniel Lamafou et Gédeon Tchaffo, brûlés lors de cet incendie sont sortis de l’hôpital Laquintinie hier dans l’après midi, après avoir reçu un soin intensif. Ils y avaient été conduits d’urgence dans la nuit par les riverains en état de choc. Selon Jean Marie Manga le Major des urgences dans cet hôpital ils ont été brulés au 2ème dégré. « Ces victimes ont été conduits ici la nuit. Ils ont été brûlés au 2ème degré. Le feu a brûlé l’épiderme et le derme. Après avoir payé les premiers soins, ils sont sortis. ». Précise-t-il. C’est par la grâce divine que ces derniers ont eu la vie sauve. « Il n’y avait pas moyen de sortir quand l’incendie s’est déclarée. Il y avait le feu partout. Nous nous sommes réfugiés derrière les parpaings qui se trouvent derrière la concession. » Affirme Raoul Tachi Kamta, l’aîné des victimes. En plus de ces victimes des biens d’une valeur importante ont volé en éclat. « J’ai perdu ma moto, deux téléviseurs et une somme de 500.000 francs qui s’est brûlé à moitié » précise une victime en brandissant les billets brûlés. Ngamo Philipe, le responsable de l’hôtel est encore sous le coup de l’émotion. « Je suis déséquilibré. Je ne m’attendais pas à ça. J’étais assis en face quand j’ai vu le feu. » Sans faire de bilan, il reconnaît qu’il est lourd. « Je ne peut pas estimer les pertes maintenant. Mais 7 chambres ont brûlés avec tous leurs contenus(literie téléviseurs climatiseurs) et le 8ème a été pillé par les délinquants pendant l’incendie. » Dix-sept chambres au total ont été consumées par les flammes laissant ainsi des familles sans abris. C’est avec l’aide des sapeurs pompiers arrivés rapidement que le feu a été stoppé. Hervé Villard Njiélé

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Semaine des martyrs: Vers une célébration annuelle.

9 Juillet 2009, 19:19pm

 

 

 

Lors du point de presse qui a marqué la fin de la semaine des martyrs, le député Nintcheu a annoncé que cette semaine sera célébrée annuellement.

 

 

La semaine des martyrs sera désormais célébrée chaque année. Nous tenons à ce que les morts de cette émeute, baptisée émeute de la fin, ne soient pas laissés dans les oubliettes. Il faut que la nation tout entière se souvienne d’eux, et de ce moment, qui a été le tournant décisif de l’histoire du Cameroun. Ainsi s’exprimait Jean Michel Nintcheu le 27 février dernier à la maison de parti du Manidem à Akwa à l’occasion du point de presse qui a marqué la fin de la semaine des martyrs débutée le 23 février dernier à Douala.

Pendant ce point de presse qu’il a tenu avec Anicet Ekane, le président du Manidem, les artificiers de la semaine des martyrs, ont présenté aux hommes de médias présents, le bilan de cette semaine marquée d’intenses activités. Ainsi on a pu apprendre que, la semaine s’est bien déroulée malgré le fait que certains points importants ont été supprimés. Notamment la marche pacifique qui allait se dérouler sur les artères de la capitale économique, et le dépôt de la gerbe de fleur sur le pont du Wouri. Selon Jean Michel Nintcheu, l’objectif de la semaine était d’éviter que les victimes des émeutes de la faim ne soient oubliées. Ce qui a été fait. Il a précisé également que, même si d’aucun ont pensé que l’aménagement du programme était un recul en arrière, ce ne l’était pas en fait. C’était juste une prise de responsabilité. Car une commémoration n’est pas une revendication. Précise-t-il. Et pour cela, il fallait prendre des mesures possibles pour éviter que d’autres personnes ne perdent leur vie durant ce moment. Surtout, qu’il y a eu des tentatives de manipulations, avec des tracts, au début du lancement du mouvement. En plus de cet éclaircit sur le programme qui a été réaménagé, il a promis se battre ou du moins faire tout ce qui lui est possible pour que l’Etat indemnise les familles des victimes. ET, quant aux familles qui n’ont pas reçu la visite de ces élu du peuples, Anicet Ekane a précisé que cela se fera au courant de l’année. ET, qu’il compte sur le député Nintcheu pour que aucune famille ne soit lésée. Interroger sur une probable union entre le Sdf et le Manidem, Anicet Ekane et l’honorable Nintcheu sans rien affirmer, ont du moins pensé qu’une union entre les 2 partis politiques serait la bienvenue, surtout qu’ils ont une proximité politique.

« Pour l’instant, cette union se limite aux actions sociales qui sont réalisées » a précisé Anicet Ekane. D’ailleurs rappelle Jean Michel Nintcheu  « ce n’est pas la première fois que le Sdf et le Manidem se rencontre sur le terrain. Lors de l’affaire des 9 disparues de Bépanda, on était  ensemble »

 

 

Hervé Villard Njiélé

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Douala: Les mécaniciens s'organisent

9 Juillet 2009, 19:08pm

 

 

Un congrès extraordinaire visant à réorganiser la profession de réparateur automobile s’est tenue le 22 mai dernier au lieu dit tunnel Logbaba.

 

Sortir la profession de réparateur de véhicule de machines industrielles et assimilées de la léthargie dans laquelle elle est plongée, modernisée cette profession et surtout l’organiser. C’est l’objectif principal de l’assemblée extraordinaire qui s’est tenue « au garage des amis » face au tunnel Logbaba à Bassa le 22 mai dernier. Organisée par le syndicat départemental des réparateurs automobiles, des machines industrielles et assimilés (Syderami), cette assemblée avait pour but de jeter les bases de l’organisation de ce métier et de sa modernisation. Pour réussir ce pari qu’ils se sont fixés, le préalable était de mettre sur pied un bureau exécutif pouvant tenir le pari. La précédente ayant failli.  La cérémonie qui a drainée plusieurs opérateurs économiques exerçant dans ce métier a vu la participation du délégué régionale du travail et de la sécurité sociale et certains responsables de l’administration. Prenant la parole durant ce congrès extraordinaire, le délégué régionale  du travail et de la sécurité sociale a exhorté les responsables du  Syderami à œuvrer d’avantage pour développer et organiser  ce secteur d’activité qui est encore à la traîne.  En développant ce secteur, on contribuera à la réduction du chômage au et au développement de l’économie camerounaise.

 Reconnue officiellement le 13 janvier 2005 par le certificat d’enregistrement n°E4/140 le syndicat départemental des réparateurs automobiles machines industrielles et assimilées a effectivement vue le jour en juin 2000. Il a été conjointement créé par Bruno Avela, Jean Ngunda et Kamga, tous opérateurs dans ce secteur. Avant sa légalisation, les fondateurs du syndicat s’étaient attelés à la sensibilisation. Un  bureau exécutif  pour diriger le syndicat a également vu le jour et Bruno Avela a été porté à la direction du Syndicat.

Hervé Villard Njiélé  

 

 

 

 

 

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Douala

9 Juillet 2009, 19:01pm

 

 

Des objets confectionnés par les étudiants dudit centre ont été exposés samedi dernier à la paroisse des sept douleurs de New Bell.

 

 Des draps de lit, des couvres lits des cabas, des nappes de table et autres objets encore. Voilà présenté d’une manière succincte, les objets exposé samedi dernier, par les apprenantes du centre de formation féminine de New Bell Aéroport, dans l’enceinte de la paroisse sacré cœur de ce quartier. Organisée à l’occasion de la fin d’année, cette exposition avait pour principal objectif de  rassembler des fonds devant aider la formation des jeunes filles et surtout, de  présenter aux publics les prouesses des apprenantes du centre. C’était aussi un moyen pour sensibiliser les jeunes filles désœuvrées à venir s’inscrire au centre, question de profiter de la formation qui est dispensée. Mais, d’avantage les parents. Car il faut les  amener à envoyer les jeunes filles désoeuvrées se former dans le centre. Cette cérémonie s’est déroulée sous le regards de l’Abbé Joachim Munives, le représentant du curé de la paroisse sacré cœur de New Bell, du représentant du comité diocésain pour les actions sociaux caritatives de Douala (Codas-Caritas) et de Marie Odette Fomekong, chef du service social à la prison de New Bell, qui a d’ailleurs apprécié l’initiative. « Je suis très intéressé par ce qui se passe ici. Parce que, j’ai également des mineurs à la prison de New Bell. Après leur sortie, stigmatisé par la société, ils n’ont pas souvent où aller. J’aimerai bien orienter les jeunes filles dans ce centre pour qu’elles puissent se socialiser. »    

Un centre de socialisation.

Le centre de formation féminine de New Bell a pour vocation de former les jeunes filles désoeuvrer de moins de 22ans pour faciliter leur insertion sociale.  Les apprenantes sont formées en couture,  broderie, tricotage, cuisine et la décoration intérieure. Des cours de français et culture générale  leur sont également dispensés par des étudiants volontaires de l’Institut supérieur de technologie (Ist) de Douala. Judith Djomo a arrêté les classe en 4ème année secrétariat médicale, âgée de 21ans, elle est apprenante dans ce centre depuis 2ans  et est fière de la formation qu’elle reçoit.  «  Je suis très à l’aise ici.  Je peux coudre des pantalons messieurs, je fais aussi la broderie. ». Créé en 2002, le centre de formation féminine de New  Bell connaît de nombreux problèmes qui perturbent son fonctionnement. Des apprenantes qui paient 2000f par mois pour se former n’ont pas de matériel. Selon laure Youmbi coordinatrice du centre, près de cinq jeunes femmes ont déjà été insérées dans la société

Hervé Villard Njiélé

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